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domingo, 24 de febrero de 2013

Les personnes qui pratiquent un culte consomment moins de stupéfiants et d'alcool, selon une étude britannique.

Être croyant et pratiquant protégerait des addictions



Parmi les 7 403 Britanniques interrogés, 35 % déclaraient avoir 
une vision religieuse de l'existence (ce sont des croyants pratiquants), 
19 % se qualifiaient de croyants mais non pratiquants et 
46 % étaient athées
Beaucoup d'enquêtes se sont penchées sur les liens entre croyances religieuses et troubles mentaux ou neurologiques. Une étude menée en Israël il y a quelques années avait montré que la fréquentation des lieux de culte réduisait le risque de maladie d'Alzheimer, peut-être du fait d'une socialisation accrue associée à la vie cultuelle. D'autres travaux aux États-Unis ont lié pratique religieuse et bien-être.

Cette fois, ce sont des chercheurs britanniques qui se sont intéressés aux effets de la pratique religieuse sur la santé mentale, en se basant sur 7 403 personnes impliquées dans une grande étude sur la morbidité psychiatrique en Grande-Bretagne. Les résultats, disponibles sur le site du National Health Service (NHS), dont le Journal international de médecinea rendu compte sur son site la semaine dernière, sont très intéressants.

Parmi les 7403 Britanniques interrogés, 35 % déclaraient avoir une vision religieuse de l'existence (ce sont des croyants pratiquants), 19 % se qualifiaient de croyants mais non pratiquants et 46 % étaient athées.

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Lire ici: sante.lefigaro.fr

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