Par PIERRE BEYLAU
"J'adore la politique familiale de la France, je souhaiterais que l'on s'en inspire dans mon pays." Ursula von der Leyen nous tenait récemment ces propos en marge de l'anniversaire du traité franco-allemand.
La ministre allemande du Travail, qui fut aussi ministre de la Famille, se sent particulièrement concernée par le sujet : elle est mère de sept enfants. Un cas totalement atypique outre-Rhin où la démographie connaît une véritable bérézina.
Ainsi, à l'heure où Berlin cherche à redresser un taux de fécondité particulièrement calamiteux (1,4 enfant par femme contre 2 en France), le gouvernement français envisage placidement de matraquer les familles nombreuses : fiscalisation éventuelle des allocations familiales, nouvelle baisse du quotient familial.
En ligne de mire, ces "Ménages Aisés ayant Tiré leur Épingle du Jeu" selon une définition formulée jadis par Martine Aubry et qui avait fait florès à ses dépens.
Qui sont ces fameux "MATEJ" : les couples de cadres parents de trois enfants ou plus. C'est-à-dire les citoyens qui paient déjà le plus d'impôts, de cotisations sociales et coûtent le moins cher à la collectivité.
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Lire ici: www.lepoint.fr
Qui sont ces fameux "MATEJ" : les couples de cadres parents de trois enfants ou plus. C'est-à-dire les citoyens qui paient déjà le plus d'impôts, de cotisations sociales et coûtent le moins cher à la collectivité.
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