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domingo, 31 de marzo de 2013

Il nous faut comprendre que se déroule sous nos yeux une nouvelle étape de la véritable guerre menée depuis deux siècles contre l’identité de la France

Démocratie, populisme et Manif Pour Tous

Jean-Pierre Maugendre

La démocratie montre son vrai visage. 
Où sont nos voies de salut ?
 Derrière quel chef ?
Certains s’étonnent, voire se scandalisent, en constatant que le gouvernement de François Hollande ne semble tenir aucun compte, à propos de ses projets de dénaturation du mariage, de l’opposition populaire concrétisée par le million de manifestants du 13 janvier dernier, les 700 000 signatures rassemblées et déposées, sans résultat, au CESE et les 1,4 million de manifestants du 24 mars. C’est n’avoir rien compris à ce qu’est la démocratie moderne.

La démocratie classique est un système politique, parmi d’autres, qui se caractérise par le choix, par voie électorale, des gouvernants par les gouvernés. Dans les sociétés traditionnelles, les gouvernants, issus ou non de l’élection, sont soumis à un ordre qui les dépasse : ce sont les lois éternelles auxquelles Antigone en appelle contre Créon, le Décalogue que le peuple juif a reçu de Dieu en personne sur le mont Sinaï et auquel il ne peut changer un seul iota, les lois fondamentales du royaume auxquelles le roi de France lui-même est soumis.

La démocratie moderne

La démocratie moderne est tout autre chose. Il s’agit d’abord du seul mode de gouvernement considéré par ses promoteurs comme légitime : la démocratie n’est plus un moyen comme un autre de désignation des gouvernants mais un but en soi.
Ensuite, selon l’article 3 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Le principe de toute souveraineté repose essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. » Nulle autorité n’est légitime hors du processus démocratique.
Enfin, logiquement, elle décide souverainement de ce qui est bien et de ce qui est mal. Il n’existe plus aucune protection contre la volonté dite démocratique, ce qui est la porte ouverte à tous les totalitarismes.

La démocratie serait donc la volonté du peuple exprimée par le vote. Populus locutus est, causa finita est. Le peuple a parlé, la cause est entendue. Si cela était, comment expliquer le mépris dans lequel ont été tenus les résultats des référendums irlandais, français ou néerlandais sur la construction européenne ? Comment expliquer la complaisance internationale dont a bénéficié la junte militaire au pouvoir en Algérie en 1990 écrasant dans le sang, au prix de centaines de milliers de victimes, les islamistes du Front Islamique du Salut assurés de la victoire aux élections municipales alors en cours ?

Il y a à cela une explication simple, que donne Jean-Jacques Rousseau dans Le Contrat Social : « L’homme est un tout parfait et solitaire. » Parfait, il décide lui-même de ce qui est bien et de ce qui est mal. Solitaire, il ne dépend de personne et n’est en aucune manière déterminé par la nature, l’histoire, la langue, le sexe... L’homme démocratique est libéré des préjugés et des fanatismes, selon l’éclairante terminologie de Vincent Peillon, car chacun le sait : « La loi naturelle est fasciste. » Toute la philosophie des Lumières suinte cette haine des « paysans », des « sauvages », des « brigands », des « fanatiques », des « barbares »… La volonté du peuple qui doit être respectée est celle de l’homme démocratique absolument libre de tout conditionnement extérieur.
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Les dirigeants de La Manif Pour Tous disposent, avec la bienveillance de l’épiscopat français, d’une masse de manœuvre de plusieurs millions de personnes, ce qui est considérable.

La démocratie montre son vrai visage

La succession des dénis de démocratie n'est pas étonnante

"La démocratie classique est un système politique, parmi d’autres, qui se caractérise par le choix, par voie électorale, des gouvernants par les gouvernés. Dans les sociétés traditionnelles, les gouvernants, issus ou non de l’élection, sont soumis à un ordre qui les dépasse : ce sont les lois éternelles auxquelles Antigone en appelle contre Créon, le Décalogue que le peuple juif a reçu de Dieu en personne sur le mont Sinaï et auquel il ne peut changer un seul iota, les lois fondamentales du royaume auxquelles le roi de France lui-même est soumis.

La démocratie moderne

La démocratie moderne est tout autre chose. Il s’agit d’abord du seul mode de gouvernement considéré par ses promoteurs comme légitime : la démocratie n’est plus un moyen comme un autre de désignation des gouvernants mais un but en soi. Ensuite, selon l’article 3 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Le principe de toute souveraineté repose essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. » Nulle autorité n’est légitime hors du processus démocratique. Enfin, logiquement, elle décide souverainement de ce qui est bien et de ce qui est mal. Il n’existe plus aucune protection contre la volonté dite démocratique, ce qui est la porte ouverte à tous les totalitarismes. [...]

Concrètement, dans les actuels débats sur la dénaturation du mariage et loin des artifices pseudo-démocratiques, la personnalité la plus cohérente est sans doute le rapporteur socialiste du projet de loi au Sénat, Jean-Pierre Michel, qui affirme : « Le fondement du juste est le rapport de forces. » En face de lui se place une foule déterminée et motivée dont les représentants semblent évoluer dans un monde de bisounours festif et ludique. Mais la vocation des « forces de progrès » a toujours été de faire accoucher, dans la douleur si nécessaire, les sociétés conservatrices figées dans leurs préjugés et leurs croyances superstitieuses.


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Lire ici: lesalonbeige.blogs.com

Pour la première fois, une application a été créée pour permettre aux gens d'explorer la sainte relique en détail sur leurs téléphones intelligents et leurs tablettes

Le Saint-Suaire bien contemporain
 de l'époque du Christ

Selon le Daily Telegraph, des chercheurs de l'université de Padoue ont mené de nouvelles recherches sur le Saint-Suaire de Turin et leurs résultats indiquent qu'il ne s'agit pas d'un tissu médiéval, mais qu'il a pu être contemporain de la vie de Jésus. Ces nouvelles recherches contredisent donc les premières datations qui avaient été faites au carbone 14, en 1988, et qui avaient conclu que les fibres provenaient d'une période comprise entre 1260 et 1390.

Selon le Pr Fanti, qui a dirigé ces travaux, les prélèvements de 1988 ayant été sans doute "contaminés" par des fibres utilisées au Moyen Âge pour réparer la précieuse relique endommagée lors d'un incendie. Le professeur Fanti n'est pas en mesure d'expliquer scientifiquement comment cette silhouette a pu s'imprimer avec une telle netteté sur le tissu.

Sur ce sujet, l'ouvrage de Daniel Raffard de Brienne est toujours d'actualité.

Lire ici: lesalonbeige.blogs.com

The Turin Shroud is not a medieval forgery, as has long been claimed, but could in fact date from the time of Christ's death, a new book claims.


Turin Shroud 'is not a medieval forgery'


The Turin Shroud is not a medieval forgery, as has long been claimed, but could in fact date from the time of Christ's death, a new book says.


Experiments conducted by scientists at the University of Padua in northern Italy have dated the shroud to ancient times, a few centuries before and after the life of Christ.
Many Catholics believe that the 14ft-long linen cloth, which bears the imprint of the face and body of a bearded man, was used to bury Christ's body when he was lifted down from the cross after being crucified 2,000 years ago.
The analysis is published in a new book, "Il Mistero della Sindone" or The Mystery of the Shroud, by Giulio Fanti, a professor of mechanical and thermal measurement at Padua University, and Saverio Gaeta, a journalist.
The tests will revive the debate about the true origins of one of Christianity's most prized but mysterious relics and are likely to be hotly contested by sceptics.
Scientists, including Prof Fanti, used infra-red light and spectroscopy – the measurement of radiation intensity through wavelengths – to analyse fibres from the shroud, which is kept in a special climate-controlled case in Turin.
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Read more here: www.telegraph.co.uk

Pope Benedict XVI has written that Christianity is not primarily about morality or doctrine. Christianity is about the encounter with an event, a Person, Jesus Christ, who gives life a new horizon and decisive direction.

“Vital Tension” as 
the Creative Spiritual Energy of History

by Charles Klamut

Jesus Christ came to reveal to men that 
they have no enemies but themselves.– Pascal

It is this vital tension between two worlds and two planes of reality
 which makes the Christian way of life difficult but which is also
 the source of its strength.– Christopher Dawson

My college education was unusual. In the early nineties, when most college students were learning the typical narrative of Christianity as a tool of Western imperialism, I was learning how Christianity was the source of Western culture’s greatest personal and cultural achievements. While they were coming to believe that Christianity produced little but inquisitors, conquistadors, and benighted Galileo-bashing prelates, I was being shown how it provided the creative inspiration and spiritual capital behind the Gothic cathedrals, Palestrina, and the Divine Comedy. While they saw the legacy of the Christian West in misogyny, homophobia, and smug eurocentrism, I was coming to see it in monasticism, martyrdom, and sanctity. While they learned identity politics, I was discovering Christian humanism. While they were learning the Borgias, Richelieu and Cortes, I was meeting St Francis, St Ignatius, and St Teresa of Avila. In short, I was educated into the conviction that Christianity is far more solution than problem. For this, the credit, or blame (depending on one’s point of view) goes largely to Christopher Dawson.

I somehow stumbled into the “Humanities and Catholic Culture” major as a sophomore at the Franciscan University of Steubenville in 1992. Clueless and lacking direction, I decided to pay a visit to the office of my admired history professor, James Gaston, to investigate this strange program I had read about in the university course catalog. On a grim November afternoon, Gaston barraged me with information about why Christopher Dawson, whose vision underlies the major, was basically the most brilliant and enlightened historian of the twentieth century, and the man with many of the answers. I did not even know the questions; but no matter, that is now beside the point. Gaston spoke with great zeal and passion of Dawson’s ideas of Christianity as the soul of Western culture. Regretfully, I probably understood all of about ten percent of what he said. Thankfully, it was enough to intrigue me and, in the end, convince me . Happily, I signed up. Thus began a trajectory which is still bearing fruit in my life today.

The rest of this essay is an attempt to explain some of what I learned, why it is important, and how it can continue to help us.

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Modern man is a spiritual failure.

This is the provocation with which Christopher Dawson begins the first chapter of Understanding Europe, written in 1952. It is a theme that runs throughout his works. Why is modern man a spiritual failure? Because he has proven unable to control the new forces he has created. Educated, economically shrewd, technologically advanced, materially successful… none of these have been enough to hold at bay the centrifugal, de-unifying tendencies unleashed by the abandonment of the Christian ideal of personal conversion and a universal spiritual society. Evidence of these tendencies is seen in the trajectory of history for especially the past four or five centuries, up through today’s postmodern era of widespread alienation and division and global volatility, and in the nihilism and despair which stifle and censor serious attempts at higher meaning and authentic human aspiration, at least in the developed, post-industrial Western world.

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The coming of God as man into history through the Christ event, and the subsequent new way of life this event generated, Dawson insisted, introduced a dynamic and creative spiritual process into the consciousness and history of Western culture which is the source of its greatest accomplishments and achievements, both personal and collective. European culture, in the best sense of the term, “is the external expression of a dynamic spiritual process” – rather than the accomplishment of political, national, racial, or tribal interests, conflicts or rivalries. Christianity provided the inspiration for the internal combat against the darkness within through the grace and power of Christ – rather than the old pagan dualistic pattern of external combat against tribal enemies . Its ideal is the “perfection” of the Father revealed and embodied in his Son sent to earth, as articulated in the call to repentance and the Sermon on the Mount:


Why do you see the speck that is in your brother’s eye, but do not notice the log that is in your own eye? Or how can you say to your brother, ‘Let me take the speck out of your eye,’ when there is a log in your own eye? You hypocrite, first take the log out of your own eye, and then you will see clearly to take the speck out of your brother’s eye.[1]

Dawson, himself a Christian and early twentieth-century English convert to Catholicism, spent his life’s work studying and discussing the relationship between religion and culture. A central thesis of his work is that religion is the soul of culture, its chief animating principle; and that a culture’s neglect or abandonment of its religious ideals leads to the decline of that culture. Dawson insisted and sought to demonstrate continually through his works that Christianity was the soul of Western culture.

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The Postmodern Era

There is today a widespread, though not often clearly articulated, sense that what has gone before us is a failure, including Christianity, and we are left with nothing compelling to put in its place. The current postmodern era of the aftermath of the wars and the catastrophes of the twentieth century has, despite its understandable intentions, seen a continuous descent into ever more strident movements of negation, rather than creation. Contemporary ideologies have become more and more boldly anti-. One need only think of such examples as the renouncing of language (deconstructionism), gender (radical feminism), ethics (relativism), meaning and destiny (nihilism), spirituality (technological, materialistic consumerism), dialogue (fundamentalism, terrorism), contemplation (the absurd activism and corresponding spiritual acedia of modern life). Reason itself has been reduced to positivism, leaving everything but hard science and mathematics relegated to the domain of the subjective, the sentimental, and the sectarian. What is left is one’s own very personal project of creating an individual meaning for him- or herself; or, more typical, accepting the meaning imposed by power.

Even Christians have been left confused. Christianity has to a large degree been slow to recognize and respond to this bewildering state of affairs. Sterile dialectics between liberal and conservative, traditional and progressive, etc, have polarized even Christians into ideological camps.

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Preside la Pastoral Social porteña y es el encargado de hablar con políticos, sindicalistas y dirigentes sociales

Carlos Accaputo:
el gran operador político de Bergoglio




Preside la Pastoral Social porteña y es la mano derecha del Papa; es el encargado de hablar con políticos, sindicalistas y dirigentes sociales

Los detalles varían según el interlocutor, pero la sentencia es unánime: "«El Gordo» es el operador de Bergoglio, su brazo político. Hablar con él es hablar con Bergoglio".

"El Gordo", como le dicen en confianza, es el padre Carlos Accaputo, presidente de la Pastoral Social de la Arquidiócesis de Buenos Aires y mano derecha del hoy papa Francisco . Poco conocido para las cámaras y los flashes, su nombre es una fija de la agenda de los políticos, empresarios, sindicalistas y líderes sociales que protagonizaron la vida política de los últimos 20 años.

Porteño, de 61 años, Accaputo conoció a Bergoglio cuando el ex cardenal era vicario de Flores. Volvía de Roma, donde estudió sociología. Igual que el Papa, hizo el seminario en Devoto, del que fue administrador, y donde Lucio Gera fue uno de sus maestros.

En plena crisis, a principios de 2002, participó del armado de la Mesa de Diálogo Argentino y, desde entonces, se convirtió en el operador político por excelencia de Bergoglio .

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Leer aquí: www.lanacion.com.ar


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La nutrida comitiva que irá con Cristina
a la asunción del Papa

Timerman, Lorenzetti, Caló, Alfonsín y Macri
 viajarán a Roma para asistir a la entronización de Francisco.

Una comitiva oficial integrada por nueve personas será la que acompañará a la presidenta Cristina Fernández de Kirchner a la ceremonia de entronización del papa Francisco, que se llevará a cabo el martes próximo en Roma.

Según se informó oficialmente, la comitiva estará integrada por 
  • el canciller Héctor Timerman; 
  • el presidente de la Corte Suprema Ricardo Lorenzetti; 
  • el presidente de la Cámara de Diputados Julián Domínguez; 
  • el diputado radicalRicardo Alfonsín; 
  • el presidente de la Conferencia Episcopal Argentina José María Arancedo; 
  • el director del Departamento de Pastoral Social de la Arquidiócesis de Buenos Aires Carlos Alberto Accaputo; y 
  • los sindicalistas Antonio Caló, Omar Viviani y Omar Suárez.
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Leer aquí: wap.perfil.com

Livres: La Grande Terreur en URSS, 1937-1938, de Tomasz Kizny et Dominique Roynette




Tomasz Kizny exhume des archives le visage de la Grande Terreur en URSS. Une bouleversante et inédite galerie de portraits des victimes de ce crime de masse.

URSS, 1937. Vingt ans après la révolution d'octobre, "l'ordre socialiste" rêvé par Lénine est en lambeaux. La "Grande Terreur", elle, s'étend sur tout le territoire; elle est au zénith. Entre 1937 et 1939, 1,7 million de personnes sont arrêtées pour "crime contre l'État". Parmi les raflés, 800 000 sont envoyés dans les camps du goulag pour dix ans de travaux forcés, 750 000 sont tués. En deux ans. Un rapide calcul et l'on arrive à 1 000 exécutions par jour. Comme englouties dans le ventre de l'URSS, ces dizaines de milliers de victimes ont disparu, jetées en silence dans des fosses communes aux quatre coins de l'horizon soviétique. Des années plus tard, ou peut-être jamais, leurs familles seront informées de leur fin féroce. À partir des années 1960, des informations commencent à filtrer sur ces évènements, des réhabilitations juridiques ont lieu, mais jamais sous la forme d'une reconnaissance à l'échelle mondiale. Le processus de mémoire est long, celui de la compréhension aussi.

Polonais, Tomasz Kizny est photographe et journaliste (en bas à droite). Après l'instauration de l'état de guerre dans son pays, en 1982, il fonde l'agence photographique clandestine Dementi, qui, jusqu'en 1989, parvient à déjouer la censure communiste. En Russie, en Ukraine, en Biélorussie, et en collaboration avec l'association Mémorial de Moscou, qui défend les droits de l'homme en Russie, il a enquêté, fouillé dans les archives - partiellement ouvertes - du NKVD et du KGB, jusqu'à en extraire les images poignantes qui constituent la première et majeure partie du livre.

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Lire ici: www.lepoint.fr

sábado, 30 de marzo de 2013

North Korean leader Kim Jong-un was welcomed by a crowd of cheering soldiers as he arrived islands near the South Korean border where military units are based.

The country is continuing its posturing 
towards South Korea after saying that
it will end its non-aggression pact its neighbour





Lawrence Auster - Conservador, judío, episcopaliano... controvertido y polémico, murió como católico.



Lawrence Auster (1949-2013) era primo del novelista Paul Auster, y murió este Viernes Santo en el seno de la Iglesia. Judío de nacimiento, un Jueves Santo de hace quince años dio un paso hacia el cristianismo y se hizo episcopaliano, aunque, decía, "más en tiempo histórico que en tiempo presente", pues la ordenación de mujeres y homosexuales le fue alejando cada vez más de la obediencia anglicana: "Ha dejado de ser una comunidad cristiana", afirmaba.

Controvertido y polémico, murió como católico.

Su aproximación al catolicismo se completó en el lecho de muerte, en concreto el Domingo de Ramos en el hospicio de West Chester (Pennsylvania). Hacía tres años que padecía cáncer de páncreas, que en la última semana se había agravado de forma acelerada. El día 24 fue recibido en la Iglesia católica y recibió los sacramentos, incluida la extremaunción. Continuó trabajando, incansable, hasta que el lunes, tras responder unos e-mails, apartó de sí el portátil y dijo "Basta por hoy", sin saber que bastaba ya para siempre. A partir de entonces la sedación le mantuvo dormido casi todo el tiempo, hasta que, tras una noche de agonía el Jueves Santo, murió a las cuatro de la madrugada de este Viernes Santo.

Lawrence Auster, licenciado en Filología Inglesa, ha sido uno de los pensadores conservadores norteamericanos más incisivos y polémicos de los últimos lustros, sobre todo a raíz de la publicación en 1990 de The Path to National Suicide [El camino hacia el suicidio nacional], donde denunciaba las consecuencias de la ley de Inmigración de 1965 y el cambio étnico y cultural que implicaría para Estados Unidos la recepción masiva de inmigrantes hispanos o asiaticos.

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Leer aquí: www.religionenlibertad.com




Posted by Lawrence Auster on March 24 at 07:56 PM

Today I have received many emails that were sent to me starting Monday and I have replied to those few that were reply-worthy. It’s too hard to explain why I had not received them until today.

In any case, please know that I am still alive, that my life as a Christian (though hardly a good one) continues, and that I am not in imminent danger of death. I am leaving the hospital probably tomorrow and within a week will probably be back at my friend’s home.

Why am I not saying more about myself and my circumstances? It’s simply too complicated, given the objective situation, and too difficult, given my physical situation, to say more.

Read more: www.amnation.com

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Traditionalist Lawrence Auster
Has Ended His Life as a Catholic

Edit: sometimes death can reveal friends we never knew, and throw light on a life of bright and perspicacious industry, lived out on a crystal page of light. Life can also show God’s providence for those who are paying attention. But it’s almost as if the conservative writer and God had planned things this way. Lawrence Auster was a Jewish convert to Christianity by way of the Anglican Church on Holy Thursday 15 years ago.

He received Extreme Unction and the Sacraments as he was received into the Catholic Church on Monday.

His blog will remain on line for those who did not get to know him while he was alive.

Lawrence Auster died today at 3:56 a.m., Eastern Daylight Time, at a hospice in West Chester, Pennsylvania. His death came after more than a week of rapidly worsening distress and physical collapse caused by the pancreatic cancer he endured for almost three years.

On Monday evening, after arriving at the hospice in the late afternoon, Mr. Auster read and responded to a few emails. He then closed his battered and medicine-stained Lenovo laptop for the last time. “That’s enough for now,” he said, holding his hands over the computer as if sated by an unfinished meal.

He did not expect that to be the last.

But the blogging career that stands out on the Internet and in the history of American letters as a tour de force of philosophical and cultural insight was over. Mr. Auster entered a state of sedated and sometimes pained sleep the next day, after a night of agony. He spoke no more than a few words during the next two days and died peacefully this morning after about ten hours of unusually quiet and mostly undisturbed rest.

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Read more: eponymousflower.blogspot.com




A funeral mass for Lawrence Auster is scheduled for 1 p.m. 
Tuesday, April 2 at Church of St. Michael the Archangel, 
140 E. Mount Airy Avenue, Philadelphia PA.
Visitation at the church; noon to 1 p.m. Burial to follow.


by Laura Wood

LAWRENCE AUSTER: JANUARY 26, 1949 – MARCH 29, 2013

Lawrence Auster died today at 3:56 a.m., Eastern Daylight Time, at a hospice in West Chester, Pennsylvania. His death came after more than a week of rapidly worsening distress and physical collapse caused by the pancreatic cancer he endured for almost three years.

On Monday evening, after arriving at the hospice in the late afternoon, Mr. Auster read and responded to a few emails. He then closed his battered and medicine-stained Lenovo laptop for the last time. “That’s enough for now,” he said, holding his hands over the computer as if sated by an unfinished meal.

He did not expect that to be the last.

But the blogging career that stands out on the Internet and in the history of American letters as a tour de force of philosophical and cultural insight was over. Mr. Auster entered a state of sedated and sometimes pained sleep the next day, after a night of agony. He spoke no more than a few words during the next two days and died peacefully this morning after about ten hours of unusually quiet and mostly undisturbed rest.

Only extreme incapacitation could have brought that career to a close. For many of us, it was a marvel, a form of essential daily food. No man gave more to his readers. No writer responded more energetically to the people who took in his words and either approved or rejected them. No thinker, except perhaps Plato, jousted more ably with his students or left such an elegant and finished record of philosophical conflict and resolution. He was philosopher, journalist, guru and cultural psychoanalyst in one. And no writer on culture and politics had sounder judgment about the world around us, or more brilliant observations.

The relationship between Mr. Auster and the hundreds of often-anonymous correspondents who wrote to him over the years was like that between a boxing coach and his fighters. He trained his followers in the art of intellectual combat — and the price was a staggering workload as he edited the debates that have appeared here over the years. He paid tireless tribute to the fight for truth. But, as he insisted, he wasn’t a hero. He was just doing what came naturally. He was doing what he had to do.

Sadly, as of today, View from the Right, except for an entry about his funeral and possibly more on his death, will become inactive. He wanted it that way. VFR could not continue beyond Mr. Auster’s death because it is the creation of an utterly unique personality and mind.

The site will, however, remain online permanently, as long as the Internet exists. There are also plans to collect his writings, both those found here and those unpublished, in book form. At the time of his final siege of illness, he was working hard to make that happen.

His work will continue to be read and appreciated. The number of “vile sycophants” will grow. Falsehoods will for many years more be overturned by those who have come in contact, directly or indirectly, with Mr. Auster. I am certain of that.

Readers will note the synchronicity of Mr. Auster’s death. He died on Good Friday. He said repeatedly that becoming a Christian believer was the most important event of his life. Born a Jew, he was baptized as an Anglican on Holy Thursday 15 years ago. And, he was received into the Catholic Church and took the sacraments, including Holy Unction, in his hospital room on Sunday.

There is much more to be said — about the man and the ideas. But today is a day for grief, as well as for gratitude. His almost unimaginable suffering is ended.

Soon we can feel wonder too. We can sit back and marvel at what we had — and still have. The loss of this great fighter invites us to love even more the ideas, principles and heritage that Lawrence Auster loved. It behooves us to love America, even a deceased America, as much as he did; to love Western civilization; to love the written word and unfettered intellectual discourse. His combativeness sprang in part from an internal wellspring of affection.

But we cannot help but also love less. For the world is less without him.






Read more here: www.thinkinghousewife.com

UNA FORMA ORIGINAL DE RECORDAR, NÚMEROS EN MANO, EL PRECIO DE LA REDENCIÓN...


...y, de paso, el valor infinito de nuestra deuda con Dios, que sólo su Hijo, con su sacrificio expiatorio, podía saldar
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Fuente: www.religionenlibertad.com

There's almost a Germany-of-the-1930s feel in the air. It seems, America is spiraling downward ...



Exchanges were bad enough back when Proposition 8 was voted on in California, and again in the subsequent court appeals of it when people were yelling at the opposition and demonstrations got physically confrontational and some high profile people even got death threats. 


The passion and vitriol grew and spread after that. 

This week, when the Supreme Court began hearing arguments from both sides of the marriage divide, media coverage showed that we’re not having a debate of different views. 

We’re having a culture war.

Here’s a snapshot, in three parts…
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Read more: www.mercatornet.com

Livres: Le Grand Empire, Albin Michel, et Napoléon chef de guerre, Tallandier, De Jean Tulard

Quand Napoléon gouvernait l’Europe




1811. Tout part de l’Empereur, tout remonte à lui. 
Il ne tolère que des exécutants : ministres, préfets, 
énéraux, commissaires généraux de police… 
Tous obéissent et rendent compte. 
Bousculés, accablés par ses lettres et instructions.

À la naissance du roi de Rome, fils de Napoléon, l’Europe est faite, et elle est napoléonienne. À la France proprement dite se sont ajoutés la Belgique, divisée en départements dès la Révolution, le Luxembourg, la Hollande annexée le 13 décembre 1810, les villes de la Hanse dont Hambourg, la rive gauche du Rhin avec Trèves, Coblence et Mayence, Genève, Turin et le Piémont, Gênes, la Toscane, Rome, après l’arrestation du pape en 1809, sans oublier les Provinces Illyriennes (Trieste, la Croatie et la Dalmatie) qui disposent d’un statut spécial. La Catalogne suivra en 1812.


La France est passée de 83 départements en 1790 à 130 en 1811. C’est déjà une petite Europe, « la France-Europe », selon Mme de Staël. Mais Napoléon est aussi roi d’Italie avec Milan comme capitale, médiateur de la Confédération helvétique et protecteur de la Confédération du Rhin, qui a remplacé le Saint Empire romain germanique et englobe tous les États allemands, de la Saxe à la Bavière. À cette Confédération est rattaché le duché de Varsovie.
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Lire ici: www.valeursactuelles.com

Livres: Les Mystères de la gauche, de Jean- Claude Michéa

La gauche française et ses contradictions


Le vieux clivage droite-gauche est-il encore 
un marqueur politique pertinent en France ? 

Après Cornelius Castoriadis, un certain nombre d’intellectuels contemporains ne le pensent pas, même si cette position, selon Albert Thibaudet, connote une position droitière. On ne saurait suspecter Jean-Claude Michéa de penchants aussi “infamants”, et pourtant, lui aussi estime que « le refus de remettre cette question en chantier — et de tirer ainsi les leçons de l’histoire de notre temps — explique en grande partie l’impasse dramatique » dans laquelle se trouve le “peuple de gauche”. Comme il tâche de le démontrer dans son nouvel essai, le terme de “gauche”, appellation contrôlée mais sujette à péremption, est aujourd’hui inapte à jouer le rôle fédérateur qu’il a tenu depuis l’affaire Dreyfus. Et, plus encore, à rassembler ceux qui ne se reconnaissent pas dans le libéralisme autour d’un « programme de sortie du capitalisme » que l’auteur appelle de ses voeux.

Ancien communiste, le philosophe Jean-Claude Michéa s’est fait connaître par ses essais sur George Orwell et sa pensée, ainsi que par sa critique radicale du libéralisme et d’une gauche française qui, à ses yeux, a renié les idéaux socialistes au profit de la religion du progrès. Si l’auteur a conservé du marxisme la notion de dialectique et certains concepts majeurs, son originalité est d’avoir greffé sur le logiciel marxiste la conception orwellienne de la liberté et d’une « société décente ».
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France - Hollande est le chef de l’État le plus impopulaire de la Ve République

Hollande, le président catastrophe



Dégringolade. À peine plus de trois cents jours après son élection, 
Hollande est le chef de l’État le plus impopulaire de la Ve République. Méthode, bilan : même ses amis n’y croient plus. 
Et pendant ce temps, la France coule.

« Dissolution ». Dix mois seulement après l’arrivée de François Hollande à l’Élysée, de plus en plus nombreux sont ceux qui estiment que le chef de l’État n’aura bientôt plus d’autre choix pour tenter de reprendre la main. « Il lui reste la carte du changement de gouvernement après les municipales, dit un grand patron récemment reçu à l’Élysée. Mais après ? S’il ne s’agit que d’un nouveau casting, cela ne changera rien. Dissoudre n’est pour l’heure pas dans ses intentions. Mais aura-t-il le choix ? » Il y a encore deux mois, les visiteurs du président ressortaient de son bureau avec l’image d’un homme sinon indifférent, du moins insensible à son décrochage dans l’opinion. Convaincu, mordicus, que la politique est d’abord affaire de temps. Et que celui-ci jouait en sa faveur. « C’est un éternel optimiste, il est persuadé qu’il a une bonne étoile au-dessus de la tête, que la croissance va revenir », confie un député PS. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.
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El tenis es católico, el golf protestante

Una metáfora sugerente

Al final, el pesimismo luterano siempre acaba apareciendo 
como opuesto a la esperanza católica, 
canalizada por el sacramento de la confesión.

Se trata de una metáfora, desde luego, pero sirve para una pequeña reflexión sobre el pecado y la gracia, y sobre los efectos, sanadores en la raíz (posición católica) o meramente de cobertura (posición protestante) del perdón de Dios. Al final, la idea de la corrupción absoluta de la naturaleza que sostenía Lutero termina aflorando como una de las herejías en la historia de la Iglesia que más militan contra la esperanza cristiana.

Quien plantea la cuestión es un personaje del dramaThe old boy, de A.R. Gurney, estrenado en 1991 y que está representando estos días la Keen Company en el Teatro Clurman de Nueva York. Y esto ha suscitado el recuerdo de las palabras de uno de los personajes, Dexter, un pastor episcopaliano que no duda en lanzar la afirmación: "En el tenis la posibilidad de salvación es infinita, en el golf impera la predestinación protestante".

El ministro lanza esta idea en respuesta al lamento de otro personaje, la anciana Harriet: "En el tenis, cada juego, cada punto, permite una nueva oportunidad. Todo lo contrario que en el golf, donde arrastras un error en el primer hoyo hasta el final del recorrido".

Queda así planteada la gran disyuntiva: la absolución del sacerdote católico limpia el alma auténtica y verdaderamente y permite un nuevo comienzo, como el tenista que, dos sets abajo, con 5-0 y 40-0, aún puede remontar elmatch ball y ganar el partido; por el contrario, la justificación cosmética que plantea el protestantismo, en la que los pecados no se imputan, pero continúan ennegreciendo el alma, se parece al golfista que comete un doble bogey a las primeras de cambio, y sabe que, salvo milagro, perderá el Masters de Augusta.
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Leer aquí: www.religionenlibertad.com

“I don’t care what the Supreme Court does. This is inevitable. And it’s inevitable because we lost the language on this.”

Both sides optimistic, uncertain 
as gay marriage arguments end



Attorneys who are challenging and defending California’s ban on gay marriage before the Supreme Court struck an optimistic tone as they emerged from arguments on Tuesday, even if they conceded they have no idea how the justices will rule about three months from now.

Theodore B. Olson and David Boies, who were on opposing sides in the landmark Bush v. Gore case, faced the cameras to provide their personal take on oral arguments in Hollingsworth v. Perry



Rush Limbaugh: Gay marriage now ‘inevitable’


Conservative talk-show host Rush Limbaugh has some words of defeat for traditionalists who are holding out hope in the Supreme Court to issue a clear-cut ruling on marriage as between a man and a woman: Let it go.

No matter what the Supreme Court does, legalization of same-sex marriage in this country is “inevitable,” he said, during his Thursday broadcast.

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Read more: www.washingtontimes.com


viernes, 29 de marzo de 2013

The games may be an attempt to remind the Middle East that Russia is an important player


In The Middle Of The Night, Putin 
Reminded The World Of Russia's Strength





Russian President Vladimir Putin's sudden announcement of enormous military exercises on the Black Sea has taken many by surprise, and many observers see the sudden announcement as Putin flexing Russia's military muscles.

There was no international warning about the war games — even Russia's military leaders were caught off guard by the announcement, which came at 4 a.m. Moscow time as Putin returned from Durban, South Africa, where he had attended a summit with Brazil, India, and China.

It's not a small exercise either. Various reports say some 36 warships and almost 7,000 personnel will take place in the exercises on the Black Sea (it's worth noting that any procedures with more than 7,000 troops would require Russia to notify other nations).

This video shows Russia's preparations:

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Read more: www.businessinsider.com

Argentina - Muchos " creen que, si bien los que se entregaron a la lucha armada cometieron lo que llaman "errores", eran idealistas heroicos, demócratas cabales "

El demonio de la violencia política

por James Neilson

Con sinceridad sorprendente, la líder de la agrupación Abuelas de Plaza de Mayo, Estela de Carlotto, dice que "fue hermoso" lo hecho por las organizaciones guerrilleras en al Argentina de hace aproximadamente cuarenta años, ya que "hubo una juventud que dejó la vida y nos posibilitó la democracia". A su juicio, fue una gesta libertadora plenamente comparable con la emprendida por San Martín. Aunque pocos se animan a decirlo en voz alta, muchos kirchneristas, izquierdistas y "progresistas" sueltos comparten la opinión de Carlotto. Creen que, si bien los que se entregaron a la lucha armada cometieron lo que llaman "errores", eran idealistas heroicos, demócratas cabales, que querían hacer de la Argentina un país mejor.

Por desgracia, la verdad es un tanto distinta. A los montoneros en el fondo neofascistas, los erpistas marxistas y sus aliados coyunturales de una cantidad desconcertante de sectas peronistas, no les interesaba la democracia tal y como es habitual definirla en el mundo actual. Al contrario, eran elitistas iluminados, de mentalidad militarista, tan convencidos de su propia rectitud que mataban y secuestraban a quienes no tendrían lugar en sus utopías particulares. Era tal su fanatismo que no vacilaban en "ejecutar" a compañeros sospechosos de desviaciones doctrinarias o éticas. Pero, decían, nuestros fines revolucionarios son tan espléndidos que pueden justificarse hasta los medios más truculentos, mientras que oponérsenos es de por sí evidencia de complicidad con "la derecha" capitalista e imperialista, o sea que es un crimen imperdonable que en algunos casos merece la pena capital.

La proliferación de estas bandas y los estragos que provocaban plantearon una serie de dilemas al gobierno legítimamente elegido de los presidentes Juan Domingo Perón e Isabelita. Combatirlas en el marco de la ley sería difícil; algunos jueces y muchos abogados simpatizaban con los terroristas y otros se sentían intimidados. Por lo demás, el apego del general, su esposa y sus colaboradores a los valores democráticos distaba de ser fuerte. Optaron por su propia versión, "reaccionaria" conforme a las pautas de la izquierda "marxisante", de la lucha armada, de ahí la Triple A. Una vez caído el gobierno de Isabelita, los militares hicieron lo mismo. Puesto que en aquel entonces el poder civil se negaba a asumir responsabilidad alguna por lo que, andando el tiempo, un mandatario norteamericano calificaría de "la guerra contra el terror", los militares estaban libres para aplicar las normas despiadadas que les son propias, actuando como han hecho todos sus equivalentes cuando les correspondían "pacificar" un territorio sin tener que preocuparse por los reparos de políticos civiles conscientes de la necesidad de pensar en las consecuencias a largo plazo de lo que hacían. Se inspiraron en el ejemplo brindado por ciertas unidades franceses en la guerra de Argelia que habían adoptado métodos ya perfeccionados por regímenes revolucionarios, pero a diferencia de ellas no les sería dado replegarse hacia una metrópoli ubicada en otro país.
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I imagine that Lewis did not mind. He had something better to think about.

Lost and Found in the Cosmos: 
Lovecraft, Lewis & the Problem of Alien Worlds

by C.R.Wiley

Recently some astronomers discovered two earth-sized planets orbiting Kepler-20, a star roughly 1,000 light years away. Congratulations to them; their detective work was nearly as awe-inspiring as the news. A flurry of articles followed the find, speculating on the nature of these worlds, along with a little speculation on whether or not we will ever get to them for some firsthand research. Almost immediately another flurry followed, speculating on the significance of the find for our world. Predictably, the religious were informed that they must readjust their doctrines to make room for extraterrestrial life, the writers apparently unaware that the religious have always believed in extraterrestrial life.

The whole thing reminded me of a similar phenomenon that occurred some hundred years ago, when earlier astronomers announced similar findings. The worlds they discovered were not so far away, but they were no less alien. Interest was so pervasive that even literary types took up the subject. Two writers to do so were H. P. Lovecraft and C. S. Lewis.

The two men, in many ways, were opposites. Lovecraft was a recluse from an old New England family, deeply insecure, an autodidact keenly aware of the gaps in his education. Lewis was a boisterous and gregarious man, classically educated in English boarding schools, a public intellectual justly celebrated in his own time.

Yet both had experienced childhood loss, Lewis losing his mother at age ten and Lovecraft his father to mental illness at age three and ultimately to death when he was almost eight. As children, both were sensitive boys with rich imaginative lives. Both, amazingly, married Jewish admirers and later lost those wives, Lewis famously losing Joy Davidman to cancer and Lovecraft losing Sonia Greene due to his incapacity to provide for a wife when doing so was both a cultural expectation and a practical necessity. And they were contemporaries, sharing the same cultural moment; Lovecraft was born in 1890 and Lewis in 1898. Finally, of course, both were pioneers of the fantastic, writing fantasy, science fiction, and in the case of Lovecraft, horror.

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For those who do believe, the story ends quite differently. Lewis also died unnoticed. Someone even more famous than he died on the same day. That day was November 22, 1963—the day John F. Kennedy was shot.

But I imagine that Lewis did not mind. He had something better to think about. I share his faith, and I believe he saw the person that inspired Aslan and inspired these words: “There was a real railway accident,” said Aslan softly. “Your father and mother and all of you are—as you used to call it in the Shadowlands—dead. The term is over: the holidays have begun. The dream is ended: this is the morning.”


Read more: www.theimaginativeconservative.org


Death is the common lot of man—the great democratizing element in our lives. The only question that remains is whether or not it will be a good death.

Good Friday and Good Death:
 A Meditation on Michelangelo’s Crucifix




As morbid as this may sound, one of the main functions of the Catholic Church is to teach us how to die. Death is the common lot of man—the great democratizing element in our lives. The only question that remains is whether or not it will be a good death. A good death is one that ushers us willingly and without remorse from the world we know into one that we comprehend only vaguely, as “through a glass darkly.” A good death is a death to attachment to objects or vices. A good death embraces its own suffering as purgation, fears not the coming judgment, and looks boldly forward to the promises of heaven and eternal bliss. A good death is a Christ-like death.

The spiritual function of sacred art has always provided a parallel to the Church’s teachings. Sacred art illuminates our understanding of doctrine and tradition by providing a tangible metaphor. It is one thing to affirm that Jesus Christ died for our sins, but it is quite another thing to experience and witness that death, albeit second hand, through the vividness of a sculpture or painting. As Catholics, when we interact with great works of art, we should be both intellectually and emotionally aware, responding with wonder to the great mysteries of our Faith made tangible.

Through His crucifixion, Jesus teaches His Church the lesson of a good death. This is true of the artistic depiction of His sacrifice. Every time we enter a Catholic church, we are thrust into confrontation with the image of Our God hanging naked and abused on a cross of wood. This is the great truth of our religion, the core of our creed. It is right that this image forms the central focus point of our churches, for by the contemplation of this image we have the opportunity to model our behavior in imitation of Christ Jesus and prepare for eternity.
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Manif pour Tous : comparaison avec les manifs en Russie vues par la presse française

Petites réflexions sur la Manif pour tous


Source: Le Salon Beige


Photo : http://www.lamanifpourtous.fr
De Bolotnaïa aux Champs-ElyséesCe dimanche 24 mars à Paris des centaines de milliers de français ont défilé pour montrer leur désaccord envers un projet de loi autorisant le mariage pour les couples homosexuels. La précédente manifestation à Paris avait été un énorme succès et rassemblé 340 000 manifestants selon la police et un million selon les manifestants.
Ce dimanche 24 mars, le fossé s’est encore agrandi puisque les organisateurs revendiquent 1,4 millions de participants et la police 300 000 manifestants. Des différences d’estimations risibles (voir ici ou ) et qui dépassent largement la bataille des chiffres auxquels s’étaient livrés les autorités russes et les manifestants hostiles au pouvoir en 2011, batailles des chiffres qui avaient entrainé des accusations de désinformation massive à l’encontre du pouvoir.

A titre de comparatif avec la Russie cela aurait amené à une manifestation de 2,5 millions de personnes à Moscou. Lorsqu’on sait que 70 000 manifestants en Russie avaient suffi à ce que de nombreux journalistes et commentateurs français parlent de « printemps russe » ou « d’aube du système Poutine » (il est intéressant plus d’un an après de voir à quel point ces prévisions sont justes…), on se demande comment ceux-ci interprètent les deux gigantesques manifestations de ce début 2013.
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Une analyse politique réflechie de la situation pré-révolutionnaire dans laquelle la France se trouve désormais

Manif pour tous : 
Pourquoi le 24 mars 2013 va entrer
 dans l'Histoire de France



Le 24 mars 2013, une date désormais inscrite dans l'Histoire de France. Comme un tournant, ou le début de quelque chose... DR

Non, ce n'est pas une incatation auto-suggestive, mais une analyse politique réflechie de la situation pré-révolutionnaire dans laquelle notre pays, la France, se trouve désormais, quatre jours après la manifestation historique du 24 mars 2013, et à quelques heures de l'intervention télévisée du président de la République dont personne n'attends rien. En particulier pas les 51 % de Français qui pensent que François Hollande est un mauvais président, selon un sondage CSA pour BFM TV.
Dimanche, 300 000 Français - selon l'estimation des commissaires politiques de la Stadt Sicherheit (Stasi) parisienne, 1,7 million selon les organisateurs bénévoles improvisés de la Manif pour tous - 1 million si l'on accepte le principe d'un compromis en faisant la moyenne des deux, sont "montés" à Paris pour défendre... non pas des intérêts catégoriels mais un principe, une vision de la Société.
Retenez bien ceci : pour la première fois, un mouvement populaire, assis sur une myriade de structures associatives embryonnaires, dont aucune n'a été conçue pour organiser et piloter un mouvement de cette ampleur, a su lever une armée d'hommes, accompagnés de leurs femmes, enfants et parents puisque la manifestation était prévue et présentée comme "familiale".
Une armée qui, jusqu'au 24 mars 15h00, était effectivement totalement pacifique, bien que déjà considérablement échauffée par le camouflet de Valls Mielke (Erich Mielke était ministre de la sécurité intérieure de la RDA en 1989, NDLR) qui a fait interdire les Champs-Elysées, mais aussi la moitié de la place de l'Etoile, pourtant promise par le préfet de police de Paris, moins de quatre jours avant la manifestation.
La suite ? vous la connaissez. On peut dire ce que l'on veut sur les médias, ils ont fait le job. En insistant lourdement sur les "débordements", les télévisions ont fait ce qu'elles savent le mieux faire, à savoir montrer des images en mouvement, plus attractives qu'une foule statique. Mais surtout, ils ont prouvé ce qu'était la Manif pour Tous, et ceux qui y ont participé : le Peuple. Le vrai peuple français. Des hommes, des femmes, des enfants, des personnes âgées, dont 9 sur 10 ne sont jamais allé manifester de leur vie dans la rue.
Compilation de scènes des forces de l'ordre, en pleine action de neutralisation de "casseurs"


Or, ce peuple n'est pas descendu dans la rue pour défendre l'universalité des allocations familales. Ni non plus les droits à la retraite des femmes au foyer ou la retraite à 55 ans pour les travails pénibles. Le jour de carence dans la fonction publique. La semaine de 4 jours à l'école. La prime de charbon. 
Ce peuple est descendu, entendez bien Messieurs Hollande Honecker et Vals Mielke, pour défendre un principe absolu : la liberté de penser différemment, et la liberté de pouvoir l'exprimer.

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Lire ici: www.economiematin.fr/

Le Projet de loi Taubira - notre opposition est politique, mais n’est pas électorale

Contre la « loi Canada Dry » :
 de la contestation à la reconstruction




Extrait d'un texte de Philippe Maxence :

L’ampleur de la manifestation contre le projet de loi Taubira du 24 mars a été une surprise pour beaucoup, au nombre duquel je me compte. Parvenir à mobiliser autant de monde pour la deuxième fois, après le succès (sur le plan de la mobilisation) de la manifestation du 13 janvier dernier n’était pas gagné d’avance. Cette récidive dans la capacité de mobilisation change, me semble-t-il, du tout au tout la caractéristique de l’opposition qui s’est manifestée contre le projet de loi dit de mariage pour tous.

Un mouvement historique est né. Je ne parle pas ici des structures qui animent pour l’instant la contestation. Je désigne ici la volonté affirmée d’une grande partie de la société civile, de ceux que j’appelle en m’inspirant d’une formule de Vaclav Havel, les « sans pouvoirs ».

N’étant pas un stratège politique, je ne m’aventurerai pas plus avant dans la définition des modes opératoires à mettre en œuvre désormais pour parvenir au but premier de cette contestation, à savoir le retrait définitif du projet Taubira. 

En revanche, il ne me semble pas inutile d’avancer quelques réflexions sur l’objectif à poursuivre tant il m’apparaît souhaitable de profiter de ce mouvement pour passer de la contestation à la reconstruction.
  • Notre opposition est politique, mais n’est pas électorale ...
  • Notre opposition est politique, mais n’est pas partisane ...
  • Notre opposition est politique, mais elle est celle de la société civile et doit le rester ...
  • Notre opposition est politique, mais elle dépasse l’opposition à ce gouvernement ...
  • Notre opposition est politique, mais elle doit devenir un mouvement de reconstruction ...
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L’enjeu est d’envergure et nécessitera encore bien des précisions et des réflexions. Mais la question de départ est celle-ci :

– voulons-nous simplement le retrait d’une mauvaise loi pour continuer à vivre avec un dispositif général qui permet de mettre en place de tels projets ?

– Ou, au contraire, voulons-nous, à l’occasion du retrait de cette loi, donner à notre pays une nouvelle impulsion décisive en reconstruisant une société fondée sur la famille.
Aujourd’hui, nous devons passer d’une paradoxale (et fausse) « présidence normale » (fausse parce que son apparente « normalité » n’est que le cache-sexe d’une « anormalité » subversive) à la construction d’une société normale.

Celle où les familles peuvent naître, grandir et s’épanouir ; celle où elles travaillent et entreprennent dans la liberté et la responsabilité parce qu’elles possèdent leur outil de production ; celle où elles nouent avec d’autres des relations sociales de voisinage, fondement d’une vie politique, hors de l’artificialité des partis politiques.
Les familles de France se sont réinvitées dans le paysage politique français. Il ne faut plus qu’elles en sortent.



Leer aquí: caelumetterra.hautetfort.com