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martes, 30 de noviembre de 2021

L'actualité de la Semaine 48 - Le Salon Beige


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Lundi : Voir tous les articles du jour


Accusé de viols, Jean-Luc Lahaye se défend en évoquant le couple Macron

  • Mis en examen, le chanteur sexagénaire, déjà condamné pour corruption de mineure, est écroué depuis…
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> Suicide collectif et stérilisation choisie
> Vers l’effondrement du système hospitalier que le monde nous envie ?
> La grande peur des franc-maçons : le terrorisme ? le covid ? La restriction des libertés ? Le populisme



Mardi : Voir tous les articles du jour


Victoire de Renaissance catholique face au lobby LGBT
  • La doctrine catholique sur le mariage n’est pas hors-la-loi. Le tribunal correctionnel de Paris a prononcé la relaxe de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique, poursuivi par deux associations LGBT…
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> La pandémie ne sera terminée que lorsque nous aurons décidé qu’elle l’est
> Éric Zemmour veut supprimer le passeport sanitaire
> 13 000 immigrés clandestins à Marseille


Mercredi : Voir tous les articles du jour


L'archevêque de Paris dans la tourmente

  • Le Point a publié un article à charge sur l’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, dans lequel il apparaît comme un prélat coupé de son clergé, sans sollicitude pastorale. Rappelant…
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> Incontinence verbale macronienne : nouvel échantillon à Marcoussis
> La principale raison de la proposition de loi Gaillot est le refus croissant des médecins de pratiquer l’avortement
> YouTube censure TV Libertés




Jeudi : Voir tous les articles du jour


Dictature: nous sommes les générations de la dernière chance

  • De Jean-Pierre Aussant, essayiste catholique, pour le Salon beige: En réalité, si la dictature de l’hygiène s’occupe aussi des enfants (lesquels, rappelons-le, ne meurent pour ainsi dire jamais de la…
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> Philippe de Villiers : “Voici venue l’heure du capitalisme de surveillance”
> “Nous confondons miséricorde et complaisance avec le péché”
> Les toxicos du vaccin




Vendredi : Voir tous les articles du jour


L’ industrie cosmétique se range du coté des partisans de l’avortement

  • De plus en plus de pays dans le monde – ils sont désormais 41 – interdisent l’expérimentation animale pour les cosmétiques. Dernièrement, c’est le Mexique qui a adopté une loi…
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> Eco-anxiété et suicide démographique
> Un nom et un prénom pour les enfants mort-nés ?
> Une élue condamnée à 24 mois de prison, dont 18 ferme pour avoir harcelé le père d’une victime des attentats de Paris



Samedi : Voir tous les articles du jour



Violences faites aux femmes : les pressions pour les obliger à avorter

  • Confrontées à une grossesse imprévue, non désirée, nombre de femmes subissent harcèlement et pressions pour les conduire à avorter. Pressions et harcèlement sont des réelles violences faite aux femmes qui…

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> La naissance d’un enfant peut entraîner un préjudice qui mérite une réparation financière !
> Le professeur Deray soutient la politique covid macronienne comme la corde soutient le pendu
> Antilles : face à la violence, le gouvernement recule


Dimanche : Voir tous les articles du jour



Huit membres de l'Académie catholique de France critiquent le rapport de la CIASE : le pape renonce à rencontrer Jean-Marc Sauvé

  • Selon Jean-Marie Guénois dans Le Figaro : Cette étude de huit membres éminents de l’Académie catholique de France, dont Hugues Portelli, son président, et le philosophe Pierre Manent, sans être…

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> Le prêtre est-il toujours l’Homme du sacré ?
> Pousser la porte d’une église …
> Notre-Dame de Paris : vers un massacre de la cathédrale ?







lunes, 29 de noviembre de 2021

L'inquiétant endoctrinement en cours...Les déconstructeurs gagneront, car ils tiennent les programmes scolaires…



Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, en visite à l'école élémentaire Richomme dans une classe de Ce1, Paris, le 16 Novembre 2021. © Jacques Witt/SIPA. Numéro de reportage : 01048946_000001

Il n’y a pas que les médias qui intoxiquent nos jeunes. L’école endoctrine bien nos enfants, quoi qu’en disent tous ceux qui sont tombés à bras raccourcis sur la dernière une du Figaro Magazine. Les déconstructeurs s’en foutent de ce que peuvent dire les médias réac, ils gagneront, car ils tiennent les programmes scolaires…


Voici comment nos futurs professeurs sont formés à l’idéologie LGBT, à la théorie du genre, et au wokisme en général.

Sur son site, L’Observatoire du décolonialisme et des idéologies identitaires retranscrit une conférence donnée à l’ESPE (École supérieure du professorat et de l’éducation) de l’Académie de Paris intitulée “Enseigner l’égalité des sexualités : Penser les pratiques pédagogiques en terme de ruptures et de dilemmes”, et destinée aux professeurs en formation[1]

Cette conférence est en réalité une opération d’entrisme militant LGBT dans l’école via le déconstructivisme wokiste : il n’est plus seulement question de lutter contre les discriminations ou contre l’homophobie mais de déconstruire le monde de « celles et ceux qui incarnent la norme, à savoir les hommes, les hétérosexuels mais aussi les Blancs » qui ne respecteraient pas « ceux qui sont considérés comme différents, c’est-à-dire les LGBTQI, les non-Blancs, les filles et les femmes », assène Gaël Pasquier, maître de conférence en sociologie, enseignant à l’ESPE de Paris Est Créteil et présentateur de ladite conférence.

Leurs aînés en âneries sont aux manettes et considèrent la langue oppressive ou l’Histoire de France dégoûtante

A lire aussi : J.K Rowling ne plie pas face aux théoriciens du genre. Bravo!

À bas l’hétérocentrisme

Après avoir critiqué l’Éducation nationale et ses « formulations problématiques » (L’École de la bienveillance, le Respect des différences, etc.) jugées trop complaisantes, Gaël Pasquier, s’aidant de diapositives écrites en écriture inclusive, arrive au cœur du sujet, c’est-à-dire l’objectif réel de cette formation destinée à « éveiller » les futurs professeurs : « Il s’agit de déconstruire un modèle social et idéologique, l’hétérosexisme qui stipule (sic) l’inégalité des sexualités et des orientations sexuelles ». Il faut donc « promouvoir à l’école des représentations positives d’autres sexualités que la sexualité hétérosexuelle » et « diversifier les représentations proposées aux élèves en termes d’agencements familiaux, sexuels ou sentimentaux », et ce dès « les premières années de la maternelle ».

A lire aussi: Elèves “transgenres”: Najat en a rêvé, Blanquer l’a fait

Après avoir évoqué à plusieurs reprises Judith Butler, Gaël Pasquier présente aux étudiants-professeurs un livre qui s’intitule “Jean a deux mamans”. Ce livre s’adresse « à des enfants de trois ans pour parler d’homoparentalité », mais il y a un hic : « la maman qui porte

Lire ici la suite  -  Source: https://www.causeur.fr


sábado, 27 de noviembre de 2021

Nace Neos, una alternativa cultural impulsada por Mayor Oreja que reivindica el humanismo cristiano

El ex ministro del Interior (1996-2001) Jaime Mayor Oreja
es el impulsor de la plataforma Neos.

ReL - 25 noviembre 2021



Este viernes 26 de noviembre se presenta en Madrid el proyecto Neos, impulsado por el ex ministro del Interior Jaime Mayor Oreja y del que participan también otros antiguos miembros de la clase política española, como Esperanza Aguirre, María San Gil y Francisco Vázquez, aunque desde el principio afirman que no pretenden ser un partido político, sino una alternativa cultural.

Neos es un acrónimo de los cuatro puntos cardinales (norte, este, oeste, sur) y se presenta como una plataforma para defender los principios del humanismo cristiano frente al proyecto de la ideología dominante que pretende, explican, "sustituir, reemplazar y destruir un orden social basado en los fundamentos cristianos, cuna de la civilización occidental".

El acto de presentación, cuya asistencia requiere acreditación, tendrá lugar a las 19.00 horas en el Hotel Novotel Madrid Center (calle O’Donnell, 53) y podrá seguirse también en streaming.

Siete principios

El proyecto Neos se articula en torno a siete principios: la vida, la Verdad, la dignidad de la persona, la familia, la libertad (singularmente la libertad religiosa), la nación y la corona.

Se trata de enfrentarse a las "amenazas globales" de la ingeniería social definida por la ideología de género y los ataques a la santidad de la vida humana y del matrimonio: "El silencio, la resignación y la incomparecencia cultural no pueden ser sus principales aliados ni deben tener cabida en nuestra sociedad", subrayan desde Neos: "Es absolutamente necesario presentar una alternativa cultural para el fortalecimiento de los fundamentos cristianos que hoy se pretenden destruir y que aporte referencias permanentes a la sociedad. Capacidad de resistencia, movilización social y perseverancia serán los atributos esenciales de nuestra iniciativa".

Los participantes en la iniciativa de Neos mantendrán el viernes un encuentro de carácter interno repartidos en grupos de trabajo correspondientes a los siete principios enunciados, a lo que seguirá una puesta en común y debate sobre las propuestas de acción para el período 2021-2022 y unas conclusiones y documento final. Posteriormente se presentará la iniciativa contando con invitados relevantes y representantes de medios de comunicación

Leer más aquí  -  Fuente: religionenlibertad.com

Frente al “todo vale”

Hoy hacemos frente a un proyecto social y político que constituye una verdadera “moda dominante”, cuyo objetivo es el de sustituir, reemplazar y destruir un orden social basado en los fundamentos cristianos, cuna de la civilización occidental. Se trata de un proyecto totalitario basado en el relativismo, donde todo es bueno o malo según interesa, y con un discurso que no admite réplica: a quien no lo acepta se le etiqueta de antidemócrata, insolidario o insensible.

En esta tendencia, que afecta a todo Occidente, España se ha puesto a la vanguardia en los últimos años, con una amplia batería de iniciativas culturales, políticas y legislativas que ponen en riesgo los verdaderos cimientos de nuestra sociedad.

Vivimos un falso progresismo que nos está llevando a un desorden social sin precedentes.

Es urgente y necesaria una respuesta

Pero no todo vale. Y ya no hay margen para seguir callados. Porque ha quedado claro que mirar a otro lado sólo ha servido para perder terreno.

Ahora bien, contestar a esta corriente no es tarea fácil. Es necesario construir una respuesta sólida, inequívoca, desacomplejada, basada en esos mismos fundamentos que están siendo atacados y de cuyo debilitamiento proviene esta crisis. Una respuesta que sirva para desmontar los argumentos relativistas y plantear una verdadera alternativa.

Esa es la razón de ser de NEOS: dotar de argumentos sólidos y servir de nexo de unión a los centenares de entidades y millones de españoles que comparten nuestras ideas y la convicción de que es preciso dar una respuesta firme ante lo que está sucediendo en España: la imposición de un proyecto de ingeniería social.


Nuestros Pilares

Desde la referencia de los cuatro puntos cardinales que conforman nuestra identidad, NEOS pretende ser esa brújula necesaria frente a la desorientación que intencionadamente genera el relativismo.

No somos ni queremos ser un partido político. Nuestra prioridad y nuestro debate se sitúan en otro ámbito -el cultural-, centrando nuestra actividad en siete ejes esenciales:
  • La Defensa de la VIDA: Porque la vida es un don, un privilegio, al que ningún ser humano puede poner fin.
  • La Defensa de la VERDAD: Porque existe una verdad incuestionable que no está sujeta al arbitrio de gobiernos ni de mayorías.
  • La Defensa de la DIGNIDAD DE LA PERSONA Y LA FAMILIA: Porque cuestionar el valor de la naturaleza humana o de la familia sólo puede conducir al suicidio de nuestra sociedad.
  • La Defensa de la LIBERTAD: Porque ningún gobierno puede imponer y ocupar espacios de decisión que sólo corresponden a las personas y familias.
  • La Defensa ESPAÑA: Porque ser español es un orgullo; porque sin nación no hay democracia ni libertad ni seguridad.
  • La Defensa de la CORONA: Porque la Monarquía Parlamentaria es la mejor garantía de estabilidad y convivencia.
  • La lucha contra las AMENAZAS GLOBALES: Porque estamos ante una crisis de civilización que trasciende el ámbito nacional.





Neos España – Porque no todo vale (xn--neosespaa-s6a.es)

viernes, 26 de noviembre de 2021

What matters most is not earth’s position in our galaxy but earth’s position with God.

Warning: This Book is Dangerous

by Austen Ruse 

Reactionary Mind
Voiced by Amazon Polly

I pushed Michael Warren Davis’ new bookThe Reactionary Mind (Regnery Publishing), on a friend of mine, a noted Catholic and academic leader. I told him a good part of the book was a defense of feudalism. I thought he’d like that. Instead, he said, “Well, recent scholarship shows that feudalism did not exist. So, he’s wrong about that.” 

Okay, fine. “You really ought to read it.” 

Finally, one evening he texted me, “I am up to page 25 and really enjoying it.” Two hours later, close to midnight, he texted, “I am at page 96, and I cannot put it down.” 

The following day at Mass, he said, “I want to sell all I own and buy a farm in New Hampshire.” Davis had spoken to my friend’s long-faded inner-distributist, a distributism my friend left when he had his fourth child and private school tuitions loomed. He said, “Just wait till Davis has his fourth.”   

As is evident, Davis’ new and first book is dangerous. And utterly fun. 

For instance, I am totally fine with anyone unloading on the Enlightenment. The Enlightenment deserves it, and Davis gives it to the Enlightenment right in the chops. But the Renaissance? Every sixth grader knows the Renaissance is sacrosanct; but man, Davis goes hammer and tongs after the Renaissance. Davis writes:

The Renaissance was subversive by its very nature, asserting the culture of the pagan, classical world against the medieval Christian order. The question, then, is: Why this revolt against the Middle Ages? Those who launched and perpetuated the Renaissance found the medieval worldview bleak, pessimistic and limiting. If life was nothing but a vale of tears, and man himself merely a sinner, then no real happiness could be found in this world, and all we could do was submit to the authorities, say our prayers, and hope we make it to heaven.

Of course, the medieval worldview wasn’t gloomy pessimism but hard-nosed realism; man is a sinner.

Davis compares Titian’s Venus of Urbino to Botticelli’s The Birth of Venus. Botticelli’s Venus is “nude, yes, but her face is kind. Her eyes shine with a sort of innocent curiosity. There’s nothing of the haughty, cruel, alluring gaze of the Urbino.” Davis writes, “I won’t deny that the Venus of Urbino is attractive. I’m sure Titian’s model turned a few heads in sixteenth-century Venice. But ask a forty-year-old man who the most beautiful woman in the world is. If he describes a sixteen-year-old girl with milky skin and curly golden hair, we’d probably call him a pervert. We certainly wouldn’t call him a humanist.” 

The difference, Davis argues, is that Botticelli was under the influence of someone we are supposed to hate: Savonarola, who espoused an aesthetic not of the burgeoning Renaissance but the Middle Ages, and he burned perfectly fine art. Davis loves him. I never felt one way or the other about Savonarola, but I’m with Davis now. 

Davis especially likes the medieval serfs. He says they were much happier than we are now, with our plethora of cereal choices, Amazon Prime, and porn. He explodes several myths about them: they were oppressed, ignorant, miserable, and therefore needed the Renaissance. Did I tell you he hates the Renaissance? He says the serf lived a life close to home, close to his work, family, and God, and in “gratitude for the blessings of his life.” The serf was “blissfully free of all the basically meaningless choices that we moderns spend the first fifty years of our lives agonizing over.” 

The reactionary looks lovingly upon the Middle Ages and rejects much of what came after—not just the Renaissance but the so-called Scientific Revolution, the Protestant Revolution, heck all the revolutions, and most especially the false god of progress. None of it has made us as happy as a peasant praying to his God, scything his hay, and listening to the wind in the trees. 

Davis writes all this with great humor and charm. For instance, he occasionally calls himself a “Young Earth Creationist,” but he doesn’t really mean it. What he means is he doesn’t really know or really care about the age of the earth. And so what? “The truth is that I haven’t the faintest idea whether the universe was created in seven days or seventy billion years. I’ve devoted no serious time or thought to the question because it doesn’t interest me. From what I know of astronomy and physics—that is, nothing at all—the Young Earth Creationist account is as plausible as any other.”

In praising the Puritans who “strove to live by the law of love,” he says, “(g)ranted, burning old women at the stake was a funny way of showing they loved them. But then I am not a Puritan.” 

He describes Puritan poet Anne Bradstreet as “a bigger man than all the dandy poets in all the decadent courts of Europe.” Davis is a monarchist but not an absolute one. He detests the soft and effeminate Court of the Bourbons with their orgies and little yapping dogs. 

Comparing Thomas Jefferson to the yeoman farmers of the North, Davis says, “Nowhere in the North would you have found a man with enough time or dough to build a neoclassical palace such as Monticello, stock it with ten thousand books, and spend his time editing all the miracles out of the Gospels.” And he likes Jefferson. 

Besides his sense of humor, Davis can also write with great beauty. For example, in defending Robert Bellarmine over against Galileo, Davis says, “What matters most is not earth’s position in our galaxy but earth’s position with God. Earth is the stage upon which God created his finest artwork: mankind. He gave us ears that we may hear the seas churn as his Spirit broods over the waters. He gave us tongues to taste the fruit trees in their season. He gave us eyes (yes) to wonder at the little fires that burn white-hot in the firmament.” 

And then there are Davis’ aphorisms. On multiculturalism, Davis says, “Anyone who tries to be Anglo on Monday, Arabian on Tuesday, Jamaican on Wednesday, and Japanese on Thursday will be nothing—nobody—on Friday.” 

Davis is a conservationist rather than an environmentalist. He says, “I can’t waste any time thinking about other people’s woods. I’m perfectly absorbed in my own.” 

He writes, “While vegetarians might like animals a whole lot, nobody can really claim to love animals unless he’s killed one.” Of course, you must eat what you kill. That is the point. 

On animals, he says, “Your dog doesn’t want to be treated humanely. He wants to be treated dogly.”

In the end, Davis believes we have become too soft. Softness is unmanly. There is a whole chapter on the “strenuous life.” And by this he does not mean working out at the gym. In fact, he hates the idea of weightlifting. He says it pumps up “toy muscles.” Manly muscles are built up by doing something outdoors and useful, like bringing in your neighbor’s hay.  

Men must get outdoors, hike, hunt, fish, and all must be accompanied by smoking and drinking. Whiskey for hunting. Beer for fishing. He says he prefers fishing on the ocean, “but lakes are probably fun, too.” 

He says, “If you’re a man, get punched in the face at some point in your life.” It’s good for you. He says there is nothing wrong with having a few beers, going into the backyard with a friend, and “throwing hands.” He actually begins a sentence with “a lot of my boxer friends….” Who has even one boxer friend, let alone a lot of them? 

He tells us to stop reading the newspapers; fear not being uninformed. Davis says his dad has to tell him what’s happening in Afghanistan and that he really does not care. Destroy your iPhone. Take cold showers. Take long hikes in the woods with a twenty-pound pack. Take your kids out of school. They don’t need trigonometry and certainly none of the propaganda they are fed every day. Move close to like-minded people and families; the bigger, the better. 

Davis says he would rather be a plumber than a writer. As a boy, he worked as a farmer. He says it’s the best job he ever had. He never wanted to go to college but ended up studying with the foremost scholar of T.S. Eliot, in Australia of all places. After that, he worked for a while with the rascally journalist Taki Theodoracopulos and then with the great John O’Sullivan. In short, Michael Warren Davis is one of the most interesting young men of letters today, though he would really hate that.

I can’t entirely agree with everything in this book. I wouldn’t be so sure about tea. I can’t say I’d rather get punched in the face than drink tea, but close. I am not much for the Benedict Option that Davis loves and says he lives. But there is much to recommend in this dangerous and remarkable book. 

I will leave you with what Davis says may be the reactionary’s motto. From St. Peter: “Honor all men. Love the brotherhood. Fear God. Honor the king.” 

And, read this book. 

Read more here  - Source: www.crisismagazine.com

Austin Ruse is a contributing editor to Crisis Magazine. His latest book, Under Siege: No Finer Time to be a Faithful Catholic, is now available from Crisis Publications.

La cosmovisión medieval no era un pesimismo lúgubre, sino un realismo duro; el hombre es un pecador


Advertencia: este libro es peligroso

por Austin Ruse
Mente reaccionaria
Expresado por Amazon Polly

Empujé el nuevo libro de Michael Warren Davis , The Reactionary Mind (Regnery Publishing), a un amigo mío, un destacado líder católico y académico. Le dije que una buena parte del libro era una defensa del feudalismo. Pensé que le gustaría eso. En cambio, dijo: “Bueno, estudios recientes muestran que el feudalismo no existía. Entonces, se equivoca en eso ". 

Bien vale. "Realmente deberías leerlo". 

Finalmente, una noche me envió un mensaje de texto: "Estoy en la página 25 y realmente lo disfruto". Dos horas después, cerca de la medianoche, envió un mensaje de texto: "Estoy en la página 96 y no puedo dejarlo". 

Al día siguiente, en la misa, dijo: "Quiero vender todo lo que tengo y comprar una granja en New Hampshire". Davis había hablado con el distributista interno de mi amigo, un distributismo que mi amigo abandonó cuando tuvo a su cuarto hijo y se vislumbraban las matrículas de la escuela privada. Dijo: "Espera a que Davis tenga su cuarto".   

Como es evidente, el nuevo y primer libro de Davis es peligroso. Y absolutamente divertido. 

Por ejemplo, estoy totalmente de acuerdo con cualquiera que se descargue en la Ilustración. La Ilustración se lo merece, y Davis se lo da directamente a la Ilustración. ¿Pero el Renacimiento? Cada alumno de sexto grado sabe que el Renacimiento es sacrosanto; pero hombre, Davis va martillo y tenazas después del Renacimiento. Davis escribe:

El Renacimiento fue subversivo por su propia naturaleza, afirmando la cultura del mundo clásico pagano  contra  el orden cristiano medieval. La pregunta, entonces, es:  ¿Por qué  esta revuelta contra la Edad Media? Aquellos que lanzaron y perpetuaron el Renacimiento encontraron la cosmovisión medieval sombría, pesimista y limitante. Si la vida no fuera más que un valle de lágrimas, y el hombre mismo simplemente un pecador, entonces no se podría encontrar verdadera felicidad en este mundo, y todo lo que podríamos hacer sería someternos a las autoridades, decir nuestras oraciones y esperar llegar al cielo. .

Por supuesto, la cosmovisión medieval no era un pesimismo lúgubre, sino un realismo duro; el hombre  es  un pecador.

Davis compara la Venus de Urbino de  Tiziano  con El nacimiento de Venus de Botticelli  La Venus de Botticelli está “desnuda, sí, pero su rostro es amable. Sus ojos brillan con una especie de curiosidad inocente. No hay nada de la mirada altiva, cruel y seductora del  Urbino ". Davis escribe: “No voy a negar que la  Venus de Urbino  es atractiva. Estoy seguro de que el modelo de Tiziano llamó la atención en la Venecia del siglo XVI. Pero pregúntale a un hombre de cuarenta años quién es la mujer más hermosa del mundo. Si describe a una chica de dieciséis años con piel lechosa y cabello dorado rizado, probablemente lo llamaríamos pervertido. Ciertamente no lo llamaríamos humanista ". 

La diferencia, argumenta Davis, es que Botticelli estaba bajo la influencia de alguien a quien se supone que odiamos: Savonarola, que abrazó una estética no del renacimiento floreciente sino de la Edad Media, y quemó perfectamente las bellas artes. Davis lo ama. Nunca me sentí de una forma u otra por Savonarola, pero ahora estoy con Davis. 

A Davis le gustan especialmente los siervos medievales . Dice que estaban mucho más felices que nosotros ahora, con nuestra gran cantidad de opciones de cereales, Amazon Prime y pornografía. Explota varios mitos sobre ellos: eran oprimidos, ignorantes, miserables y, por tanto, necesitaban el Renacimiento. ¿Te dije que odia el Renacimiento? Dice que el siervo vivió una vida cerca de su hogar, cerca de su trabajo, su familia y Dios, y en "gratitud por las bendiciones de su vida". El siervo estaba "felizmente libre de todas las elecciones básicamente sin sentido por las que los modernos pasamos los primeros cincuenta años de nuestra vida agonizando". 

El reaccionario mira con amor la Edad Media y rechaza gran parte de lo que vino después, no solo el Renacimiento, sino la llamada Revolución Científica, la Revolución Protestante, diablos todas las revoluciones, y muy especialmente al falso dios del progreso. Nada de eso nos ha hecho tan felices como un campesino rezando a su Dios, cortando su heno y escuchando el viento en los árboles. 

Davis escribe todo esto con mucho humor y encanto. Por ejemplo, ocasionalmente se llama a sí mismo un "creacionista de la Tierra Joven", pero en realidad no lo dice en serio. Lo que quiere decir es que realmente no sabe o no le importa la edad de la tierra. ¿Y qué? “La verdad es que no tengo la menor idea de si el universo fue creado en siete días o en setenta mil millones de años. No he dedicado mucho tiempo ni he pensado en la pregunta porque no me interesa. Por lo que sé de astronomía y física , es decir, nada en absoluto , el relato creacionista de la Tierra Joven es tan plausible como cualquier otro ".

Al elogiar a los puritanos que “se esforzaron por vivir según la ley del amor”, dice, “(g) despotricaron, quemar a las ancianas en la hoguera fue una forma divertida de demostrar que las amaban. Pero entonces no soy un puritano ". 

Describe a la poeta puritana Anne Bradstreet como "un hombre más grande que todos los poetas dandy en todas las cortes decadentes de Europa". Davis es un monárquico pero no absoluto. Detesta la corte dulce y afeminada de los Borbones con sus orgías y perritos ladradores. 

Comparando a Thomas Jefferson con los granjeros del norte, Davis dice: "En ningún lugar del norte habría encontrado a un hombre con suficiente tiempo o dinero para construir un palacio neoclásico como Monticello, abastecerlo con diez mil libros y pasar su tiempo editando todos los milagros de los Evangelios ". Y le gusta Jefferson. 

Además de su sentido del humor, Davis también puede escribir con gran belleza . Por ejemplo, al defender a Robert Belarmino frente a Galileo, Davis dice: “Lo que más importa no es la posición de la tierra en nuestra galaxia, sino la posición de la tierra con Dios. La Tierra es el escenario en el que Dios creó su mejor obra de arte: la humanidad. Él nos dio oídos para que podamos escuchar los mares agitarse mientras su Espíritu se mueve sobre las aguas. Nos dio lenguas para saborear los árboles frutales en su temporada. Nos dio ojos (sí) para maravillarnos de los pequeños fuegos que arden al rojo vivo en el firmamento ”. 

Y luego están los aforismos de Davis. Sobre el multiculturalismo, Davis dice: "Cualquiera que intente ser anglosajón el lunes, árabe el martes, jamaicano el miércoles y japonés el jueves no será nada, nadie, el viernes". 

Davis es un conservacionista más que un ambientalista. Él dice: “No puedo perder el tiempo pensando en los bosques de otras personas. Estoy perfectamente absorto en lo mío ". 

Él escribe: "Si bien a los vegetarianos les pueden  gustar mucho los  animales, nadie puede realmente afirmar que ama a los animales a menos que haya matado a uno". Por supuesto, debes comer lo que matas. Ese es el punto. 

Sobre los animales, dice, “su perro no quiere que lo traten humanamente. Quiere que lo traten mal ".

Al final, Davis cree que nos hemos vuelto demasiado blandos . La suavidad es poco masculina. Hay un capítulo completo sobre la "vida extenuante". Y con esto no se refiere a hacer ejercicio en el gimnasio. De hecho, odia la idea de levantar pesas. Dice que aumenta los "músculos de juguete". Los músculos varoniles se fortalecen haciendo algo al aire libre y útil, como traer el heno de su vecino.  

Los hombres deben salir al aire libre, caminar, cazar, pescar, y todo debe ir acompañado de fumar y beber. Whisky de caza. Cerveza para pescar. Dice que prefiere pescar en el océano, "pero los lagos probablemente también son divertidos". 

Él dice: "Si eres un hombre, recibirás un puñetazo en la cara en algún momento de tu vida". Es bueno para ti. Dice que no hay nada de malo en tomarse unas cervezas, ir al patio trasero con un amigo y "tirar las manos". De hecho, comienza una oración con "muchos de mis amigos boxeadores ..." ¿Quién tiene siquiera un amigo boxeador, y mucho menos muchos de ellos? 

Nos dice que dejemos de leer los periódicos; miedo a no estar desinformado. Davis dice que su padre tiene que decirle lo que está sucediendo en Afganistán y que realmente no le importa. Destruye tu iPhone. Toma duchas frías. Realice largas caminatas por el bosque con un paquete de veinte libras. Saque a sus hijos de la escuela. No necesitan trigonometría y ciertamente ninguna de la propaganda con la que se alimentan todos los días. Acérquese a personas y familias de ideas afines; cuanto más grande, mejor. 

Davis dice que preferiría ser plomero que escritor. De niño, trabajó como agricultor. Dice que es el mejor trabajo que ha tenido. Nunca quiso ir a la universidad, pero terminó estudiando con el erudito más destacado de TS Eliot, en Australia de todos los lugares. Después de eso, trabajó un tiempo con el pícaro periodista Taki Theodoracopulos y luego con el gran John O'Sullivan. En resumen, Michael Warren Davis es uno de los jóvenes de letras más interesantes de la actualidad, aunque realmente odiaría eso.

No puedo estar completamente de acuerdo con todo lo que hay en este libro. No estaría tan seguro sobre el té. No puedo decir que prefiera recibir un puñetazo en la cara que beber té, pero cerca. No estoy muy a favor de la opción Benedict que Davis ama y dice que vive. Pero hay mucho que recomendar en este libro peligroso y extraordinario. 

Los dejo con lo que Davis dice que puede ser el lema del reaccionario. De San Pedro: “Honrad a todos los hombres. Ama la hermandad. Tema a Dios. Honra al rey ". 

Y lee este libro. 

......

Austin Ruse es un editor colaborador de Crisis Magazine . Su último libro, Under Siege: No Finer Time to be a Faithful Catholic , ya está disponible en Crisis Publications.

Leer más aquí  - Fuente: www.crisismagazine.com