Translate

sábado, 30 de noviembre de 2013

Georges Brassens: “soy un desdichado que siempre ha buscado a Dios sin encontrarlo.”


El inconformismo y la piedad



POR LUCIANO ÁLVAREZ




Paul Johnson, un crítico tenaz de los intelectuales olímpicos sostiene que “lo que aman ciertos intelectuales es la idea de la humanidad, y no a los individuos de carne y hueso que la constituyen.” Al mismo tiempo, “lejos de ser inconformistas e individualistas, son de hecho ultra-conformistas dentro de los círculos formados por aquellos cuya aprobación buscan y agradecen. […] Cuando a su pasión por las ideas se añade un ideal programático, es casi seguro que abusarán del poder que lleguen a ostentar, sea del tipo que sea.”

En esta bolsa caben los intelectuales orgánicos o los artistas “comprometidos” cuya compasión y empatía está reservada a los humanos que pertenecen al mundo de sus ideas.

Rumiando estas cosas me vino a la mente un ejemplo en contrario: Georges Brassens (1921 – 1981), uno de los mayores poetas de la lengua francesa y uno de los cantantes más influyentes. Al menos 650 artistas de todas las lenguas han interpretado sus obras más famosas; 1.600 calles, colegios, parques o centros culturales de Francia llevan su nombre y su poseía forma parte de los programas de estudio. Brassens suele ser identificado con el estereotipo del anarquista, adversario de todo orden e instituciones constituidas y de toda la “gente bien intencionada”, grandes destinatarios de sus dardos en temas como “La mala reputación” o “El gorila”.

....................




Leer aquí: www.elpais.com.uy

France: Rien de plus difficile à prévoir que le futur.


Ne confondons pas fronde et révolution…





  • Un État en faillite et qui, dans sa lamentable fuite en avant, ne cesse d’inventer de nouveaux impôts dont le rendement, malgré l’élargissement de l’assiette et la hausse des barèmes, ne cesse de décroître, tant la matière imposable se fait rare. Une dépense publique en constante augmentation. 
  • Une dette publique dont les intérêts absorbent une part croissante du budget. Une pression fiscale quintuplée en cinquante ans. 
  • Un gouvernement discrédité, bafoué, chansonné, sans prestige, sans projet, sans autorité. 
  • Le soulèvement de toutes les catégories sociales, à commencer par la classe moyenne supérieure, mais en ordre dispersé, sans mot d’ordre, sans organisation, sans but communs. 

S’ensuit une longue période – un quinquennat – d’agitation, de troubles, d’incivisme, de soulèvements locaux.

Cependant, les unes après les autres, les différentes factions en révolte font la preuve de leur égoïsme, de leur incivisme, de leur incapacité, et perdent tout crédit, déchirées et même écartelées qu’elles sont entre les querelles de personnes, de partis et de programme. 

La révolution annoncée tourne en eau de boudin. 

Bien loin d’avoir mis à bas les institutions qu’elle a ébranlées un moment, comme c’est le cas à la même époque de l’autre côté de la Manche, la révolution annoncée, remise au siècle suivant, tourne court et refonde pour 130 ans la monarchie absolue. 

Car, ne nous y trompons pas, cette histoire est celle de la Fronde qui déferle sur la France… en 1648.

..................

Lire la suite: www.bvoltaire.fr

La Chine : un géant trop ignoré ...



Les réalités 2013







La Chine : un géant trop ignoré, par l’Occident et déjà deuxième puissance économique mondiale. Championne de la croissance et des excédents.


Quelles sont ses forces et ses faiblesses ?

Notre actualité est concentrée sur nos problèmes politiques. Certes ils nous préoccupent, mais ils font oublié que la géopolitique ne les prend guère en considération, sauf sur un point : seront-nous capables d’honorer cette dette qui est en passe d’atteindre les 100% du PIB ? Et l’un de nos premiers créanciers est cette Chine mal connue et sous-estimée.

Elle compte 1 350 000 000 d’habitants, soit 20 fois la population de la France : un géant démographique voulant devenir un géant économique et qui s’en donne les moyens. Son industrie représente 50% du PIB, (contre 12% en France et 24% en Allemagne), et son taux de croissance oscille entre 7 et 10% par an.

Devant ces chiffres, retenons une première leçon : seules la production de richesses autorise une vraie croissance issue principalement de l’agriculture et de l’industrie.

Autre leçon : la priorité donnée à la production a permis à Pékin d’engranger trois mille milliards de dollars mis en réserve, puisque sa balance commerciale et sa balance des paiements sont toujours excédentaires. 


Ces remarquables performances ont des contreparties : 

  • Politiquement le pays vit sous la férule du parti communiste qui ne tolère ni opposition ni liberté s’opinion. Le président Xi Jimping a bien promis des réformes démocratiques, mais elles ne devraient avancer qu’au rythme du progrès économique et prendraient la forme de « renaissance rouge », une fort prudente avancée !
  • Economiquement, agriculteurs et propriétaires fonciers se verraient attribuer un minimum de droits mettant fin aux abus actuels.
  • Socialement, la lutte contre la corruption semble engagée, mais les réformes ne seront entreprises qu’avec beaucoup de circonspection, car aux yeux des dirigeants démocratie est synonyme d’anarchie. Reconnaissons que piloter un pays de plus d’un milliard d’habitants est une aventure qui n’a pas de référence historique.
..............................

Lire la suite: www.les4verites.com

La conversion de Napoléon Bonaparte


La conversion de Napoléon



Un aspect inconnu de la personnalité de Napoléon qui nous vient paradoxalement d'Italie, à travers un recueil de conversations impromptues avec ses compagnons d'exil, alors qu'il était à Sainte-Hélène. Le livre est préfacé par le cardinal Biffi (28/11/2013, mise à jour le 29).





Trascrizione di conversazioni improvvisate di Napoleone, 
trascrizione fedele compiuta da generali e medici, francesi e inglesi, 
credenti e miscredenti, che lo assistettero durante i sei anni di esilio

Un document-source qui va révolutionner la façon dont nous regardons Napoléon: Il s'agit de la transcription de conversations impromptues de Napoléon, transcription fidèle effectuée par des généraux et des médecins, français et anglais, croyants et non-croyants, qui l'ont assisté au cours des six années d'exil.

«Il existe un Être infini, en comparaison de qui - général Bertrand - vous n'êtes qu'un atome, en comparaison de qui moi, Napoléon, je suis un vrai rien, un simple néant, vous comprenez? Je peux sentir ce Dieu .. Je le vois ... J'en ai besoin, je crois en lui.»

Le 15 Octobre 1815, Napoléon vaincu à Waterloo, débarque à Sainte-Hélène avec quelques officiers restés fidèles. A eux, il confie ses convictions les plus intimes sur la foi, qui seront ensuite transcrites fidèlement. De ces conversations émerge une image de Napoléon totalement différente de celle qui nous a été transmise par certains historiens. Non pas un homme matérialiste et anti-clérical, mais un catholique convaincu qui a mûri sa propre foi. 


Napoléon alabore une preuve effective de l'existence de Dieu, qui se base sur sa propre expérience de vie, il réfléchit avec une âme passionnée sur la personne et la vie de Jésus-Christ, sur la Croix, sur l'Eucharistie, sur la relation entre la foi chrétienne et la religion islamique, entre la foi catholique et le protestantisme. 

Et il raconte enfin ses relations avec le pape Pie VII, pourquoi il le fit conduire en France, révèlant que «Quand le pape était en France, je lui assignai un magnifique palais à Fontainebleau, et 100 000 couronnes par mois; j'avais mis à sa disposition 15 voitures pour lui et pour les cardinaux, même s'il n'est jamais sorti. Le pape était épuisé par les calomnies qui prétendaient que je l'avais maltraités, calomnies qu'il démentit publiquement»

..................

Lire la suite: http://benoit-et-moi.fr

-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-



RECENSION DE RINO CAMILLERI


La conversion de Napoléon Bonaparte 


------

Les torts de Napoléon envers l'Eglise et la liberté des peuples sont connus des catholiques. Son épopée a dévasté l'Europe et causé des millions de morts pour rien. Il y a ceux qui l'admirent toujours et ceux qui le détestent pour ce qu'il a fait, dont nous subissons encore les fruits (centralisme d'État et bureaucratique, les codes civils «laïcs» déprédations). Mais on ne peut pas nier qu'il était un génie. Et pas seulement militaire et politique.

Une intelligence supérieure ne peut pas manquer d'être au moins piquée par la recherche de la Vérité. Et quand Napoléon à Sainte-Hélène a finalement pris le temps de réfléchir aux Grandes Questions, la Vérité, il l'a trouvée.
Certains seront donc supris de découvrir d'un Napoléon non seulement catholique, mais aussi apologiste, et des plus pointus. Ses Conversations sur le christianisme, tenues en exil avec le sceptique général Bertrand et fidèlement transcrites par Tischreden (les «discours à table» de mémoire luthérienne, mais aussi hitlérienne), montrent comment le Corse est mort dans la religion catholique, apostolique et romaine parfaitement conscient de son choix . En effet, il est mort avec les sacrements et dûment confessé. Ce qui impressionne, c'est la lucidité de son raisonnement, d'où émerge une connaissance insoupçonnées de toutes les autres religions, y compris antiques.


.............

www.lanuovabq.it/


-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-

LA PRÉFACE DU CARDINAL BIFFI

Napoléon vaincu aussi par Dieu


par Giacomo Biffi


Ce texte a été publié dans L'Avvenire du 29/10/2013
-------

Matérialiste et pilleur d'églises et de couvents, mécréant et infidèle, anticlérical et séquestreur du pape: c'est l'opinion que beaucoup ont de Napoléon Bonaparte, une opinion aussi répandue qu'aveuglément acceptée . Si nous allons aux sources, et en particulier à ces conversations, nous découvrons quelque chose d'étonnant. Napoléon s'écrie avec fierté: «Je suis catholique, et je crois ce que croit l'Eglise». 

Pendant les années d'isolement à Sainte-Hélène, Napoléon s'entretenait souvent avec quelques généraux, ses compatriotes en exil, pour parler de la foi. Il s'agit de discours improvisés qui - comme l'a révélé un de ses généraux en qui il avait le plus de confiance, le comte de Montholon - ont été fidèlement transcrits et ensuite publiées par Antoine de Beauterne en 1840. De l'authenticité et de la fidélité de la transcription, on peut être certain, car, quand de Beauterne publie ces conversations pour la première fois, beaucoup des témoins et protagonistes de ces années d'exil sont encore en vie.
Napoléon admet avec une honnêteté candide que quand il était au trône, il avait eu trop de respect humain et une prudence excessive pour «crier sa foi». Mais il dit aussi que «si quelqu'un, alors, me l'avait demandé explicitement, j'aurais répondu: "oui, je suis chrétien". Et si j'avais dû témoigner ma foi au prix de ma vie, j'aurais trouvé le courage de le faire».

Surtout, à travers ces conversations, nous apprenons que pour Napoléon, la foi et la religion étaient l'adhésion convaicue, non pas à une théorie ou à une idéologie, mais à une personne vivante, Jésus-Christ, qui a confié l'efficacité éternelle de sa mission de salut à «un signe étrange» , sa mort sur la croix. Nous ne sommes donc pas surpris si Alessandro Manzoni dans son ode "Cinque Maggio" donne la preuve qu'il connaît sa physionomie spirituelle quand il écrit:

«Bella Immortal! Benefica
Fede ai trïonfi avvezza!
Scrivi ancor questo, allegrati;
che più superba altezza
al disonor del Golgota
giammai non si chinò» 


L'empereur s'arrête longuement avec le général Bertrand, ouvertement athée et hostile aux manifestations de la foi de son supérieur, qui nous donne une preuve inédite de l'existence de Dieu, fondée sur la notion de génie , une longue conversation sur la divinité de Jésus-Christ. Dignes de notre admiration sont également des considérations sur la dernière Cène de Jésus et des comparaisons entre la doctrine catholique et les doctrines protestantes.


.........................

http://www.gliscritti.it/blog/entry/2225





El Papa que escribió estas líneas en 1937 es Pío XI y la Encíclica se llama Mit brennender Sorge. Creo que es una descripción actualísima de lo que los enemigos de la fe pretenden hacer contra la Iglesia, sus miembros y la Sociedad entera.


La increencia, fuente de corrupción moral

por Pedro Trevijano Etcheverria, sacerdote


El Papa que escribió estas líneas en 1937 es Pío XI y la Encíclica se llama Mit brennender Sorge y fue escrita contra el nazismo alemán. Queda un interrogante: ¿los enemigos de la Iglesia hoy no defienden lo mismo que los nazis y que el Papa condena en estos párrafos?

La tarea que Jesucristo encomienda a Pedro y sus sucesores es confirmar a sus hermanos en la fe (Lc 22, 32). Por ello es al Papa a quien corresponde en primer lugar defender la fe y protegernos ante los errores de los adversarios y enemigos de la Iglesia, tarea que realiza con frecuencia en documentos que llamamos Encíclicas. He aquí los párrafos que me han parecido más interesantes y actuales de una de ellas:

21. La fe en Jesucristo no permanecerá pura e incontaminada si no está sostenida y defendida por la fe en la Iglesia, columna y fundamento de la verdad (1Tim 3,15). Cristo mismo, Dios eternamente bendito, ha erigido esta columna de la fe; su mandato de escuchar a la Iglesia (cf. Mt 18,17) y recibir por las palabras y los mandatos de la Iglesia sus mismas palabras y sus mismos mandatos (cf. Lc 10,16), tiene valor para todos los hombres de todos los tiempos y de todas las regiones. La Iglesia, fundada por el Salvador, es única para todos los pueblos.

34. Sobre la fe en Dios, genuina y pura, se funda la moralidad del género humano. Todos los intentos de separar la doctrina del orden moral de la base granítica de la fe, para reconstruirla sobre la arena movediza de normas humanas, conducen, pronto o tarde, a los individuos y a las naciones a la decadencia moral. El necio que dice en su corazón: No hay Dios, se encamina a la corrupción moral (Sal 13[14],1). Y estos necios, que presumen separar la moral de la religión, constituyen hoy legión. No se percatan, o no quieren percatarse, de que, el desterrar de las escuelas y de la educación la enseñanza confesional, o sea, la noción clara y precisa del cristianismo, impidiéndola contribuir a la formación de la sociedad y de la vida pública, es caminar al empobrecimiento y decadencia moral. Ningún poder coercitivo del Estado, ningún ideal puramente terreno, por grande y noble que en sí sea, podrá sustituir por mucho tiempo a los estímulos tan profundos y decisivos que provienen de la fe en Dios y en Jesucristo.

35. Es una nefasta característica del tiempo presente querer desgajar no solamente la doctrina moral, sino los mismos fundamentos del derecho y de su aplicación, de la verdadera fe en Dios y de las normas de la relación divina. Fíjase aquí nuestro pensamiento en lo que se suele llamar derecho natural, impreso por el dedo mismo del Creador en las tablas del corazón humano (cf. Rom 2,14-15), y que la sana razón humana no obscurecida por pecados y pasiones es capaz de descubrir. A la luz de las normas de este derecho natural puede ser valorado todo derecho positivo, cualquiera que sea el legislador, en su contenido ético y, consiguientemente, en la legitimidad del mandato y en la obligación que implica de cumplirlo. Las leyes humanas, que están en oposición insoluble con el derecho natural, adolecen de un vicio original.

37. Los padres, conscientes y conocedores de su misión educadora, tienen, antes que nadie, derecho esencial a la educación de los hijos, que Dios les ha dado, según el espíritu de la verdadera fe y en consecuencia con sus principios y sus prescripciones. Las leyes y demás disposiciones semejantes que no tengan en cuenta la voluntad de los padres en la cuestión escolar, o la hagan ineficaz con amenazas o con la violencia, están en contradicción con el derecho natural y son íntima y esencialmente inmorales.

40… La prensa y la radio inundan a diario con producciones de contenido opuesto a la fe y a la Iglesia y, sin consideración y respeto alguno, atacan lo que para vosotros debe ser sagrado y santo.

48. Un saludo particularmente cordial va también a los padres católicos. Sus derechos y sus deberes en la educación de los hijos que Dios les ha dado están en el punto agudo de una lucha tal que no se puede imaginar otra mayor. La Iglesia de Cristo no puede comenzar a gemir y a lamentarse solamente cuando se destruyen los altares y manos sacrílegas incendian los santuarios. Cuando se intenta profanar, con una educación anticristiana, el tabernáculo del alma del niño, santificada por el bautismo; cuando se arranca de este templo vivo de Dios la antorcha de la fe y en su lugar se coloca la falsa luz de un sustitutivo de la fe, que no tiene nada que ver con la fe de la cruz, entonces ya está inminente la profanación espiritual del templo, y es deber de todo creyente separar claramente su responsabilidad de la parte contraria, y su conciencia de toda pecaminosa colaboración en tan nefasta destrucción.


Creo que es una descripción actualísima de lo que los enemigos de la fe pretenden hacer contra la Iglesia, sus miembros y la Sociedad entera. Pero el Papa que escribió estas líneas en 1937 es Pío XI y la Encíclica se llama Mit brennender Sorge y fue escrita contra el nazismo alemán. Queda un interrogante: ¿los enemigos de la Iglesia hoy no defienden lo mismo que los nazis y que el Papa condena en estos párrafos? Y como no quiero que ustedes me acusen de escaquearme les daré mi respuesta: En mi opinión, Sí.

Otros artículos del autor:
Pobre y humilde, entró en el cielo cargado de riquezas (19/11/13)
La Moral Sexual Bíblica (08/11/13)
Ratzinger y la ideología de género (29/10/13)

Ver más artículos del autor

Argentina: las drogas han calado hondo y el gobierno no sabe cómo resolver el problema

Argentina narcótica

por Ricardo Trotti

La Iglesia y la Justicia argentinas han pedido al gobierno detener al narcotráfico antes de que el país se transforme en un narco Estado. Pero no es fácil, las drogas han calado hondo y el gobierno no sabe cómo resolver el problema.

Lo primero que debe hacer es admitirlo, analizar su gravedad y en qué etapa está, comparar lo que se hace en Colombia, Perú, México y EE.UU., y así determinar su estrategia de lucha. El narcotráfico tiene tres estadios bien demarcados. Al principio enamora y gana las simpatías de las clases populares y después de ricas y poderosas. Luego confunde y corrompe todo. Y en su tercera etapa se vuelve incontrolable, violento y sanguinario matando todo a su paso. Es el mismo proceso que tiene la droga cuando entra en el cuerpo del adicto.

Todavía hay tiempo para hacer algo dicen obispos y jueces. Pero no es sencillo. El país tiene cuatro elementos del que se nutre y aprovecha el narcotráfico: pobreza, corrupción, debilidad institucional y una geopolítica deficiente; está pensado en y desde Buenos Aires, dejando poblaciones y fronteras a la deriva.

La cultura política argentina es proclive al clientelismo, no a crear fuentes de trabajo. Es cuando los narcos se encargan de suplir a los pobres con lo que el Estado no provee. Pablo Escobar en Colombia y el “Chapo” Guzmán en México regalaron estadios de fútbol, clínicas, escuelas, plazas y hasta generaron empleo, porque el narco también necesita de enfermeras, choferes, músicos, guardaespaldas y tintoreros.

También suplen sueños a los más jóvenes, que prefieren vivir poco pero bien, que mucho y mal. Así el vicio escala y el tráfico se hace consumo, y todo se confunde. Llega a las clases más altas de la mano de modelos y músicos con narcocorridos o cuartetos, corroe a la farándula, al deporte y más a la política.

El narco penetra y carcome, y es ilusorio pensar que se queda en el mundo de las drogas. Sus estratosféricas ganancias se usan para apoyar campañas políticas, como la de Rafael Correa; para crear diputados como Escobar en Colombia o patrocinarlos como en el México actual; para arrastrar bancos a lavar dinero; invertir en inmobiliarias y concesionarios; donar a escuelas e iglesias; comprar y extorsionar a jueces, policías y periodistas. El narco no deja nada al azar. Se nutre en la corrupción y dobla la apuesta.
...............


Leer más aquí: www.elliberal.com.ar

Argentina: Si en los meses próximos el país se ve constreñido a pagar los costos de la fiesta consumista y distribucionista que ha celebrado con la aprobación fervorosa de la mayoría, los responsables de las medidas correspondientes serán Capitanich y Kicillof.


La reinvención de Cristina

por James Neilson 

Parecería que quienes la admiran quisieran desvincularla
 del gobierno que encabeza.

Para extrañeza de muchos, los encuestadores nos informan que una proporción sustancial de los que votaron en contra de los candidatos kirchneristas en las elecciones de octubre siguen sintiendo cariño por Cristina. Parecería que quienes la admiran quisieran desvincularla del gobierno que encabeza, cuando no de la política como tal. Como la buena actriz que es, la señora ha comenzado a aprovechar la situación contradictoria en que se encuentra. Puesto que el público está harto del relato que durante años había aplaudido, le ofrecerá otro.

En lugar de desempeñar el papel de una revolucionaria popular resuelta a “profundizar el modelo”, aumentando todavía más las dimensiones de la burbuja que ha creado sin preocuparse por los estragos que provocaría una aventura tan quijotesca, dejará que sus subordinados procuren desinflarla. Mientras tanto, se mantendrá al lado, mejor dicho, por encima, del quehacer cotidiano. Acompañada por un perrito de apariencia más chejoviana que chavista, reinará sin gobernar con la esperanza de que la ciudadanía atribuya las penurias que sufrirá después de años de despilfarro politizado al liberalismo de Jorge Capitanich o al dogmatismo presuntamente marxista de Axel Kicillof.

¿El objetivo? Conservar una imagen que sea lo bastante simpática como para blindarla contra los ataques de los deseosos de asegurar que termine sus días entre rejas o exiliada en un país dispuesto a acogerla y, con suerte, abrir la posibilidad de un retorno triunfal en el futuro. Algunos ya han bautizado el operativo que según ellos tiene en mente: lo llaman “la gran Bachelet”.

Cristina ha resultado ser una experta consumada en el arte muy útil de deslindar responsabilidades. No tardó en darse cuenta de que le convenía que sus adversarios echaran a Guillermo Moreno la culpa por la evolución calamitosa de la economía nacional. Si bien todos coincidían en que ningún funcionario podría hacer nada sin el aval explícito de una presidenta de pretensiones monárquicas, muchos que la criticaban con ferocidad lograron convencerse de que Moreno actuaba con un grado de autonomía negado a los demás. Por motivos misteriosos –¿caballerosidad, respeto por la investidura presidencial?– se resistían a ver en un personaje tan pendenciero y soez el otro yo de Cristina. Antes bien, lo trataban como si lo creyeran un infiltrado, una versión contemporánea del recordado “brujo” José López Rega.

Luego de haber sacado provecho de la proximidad de un hombre que le servía de escudo, a Cristina le vino de perlas la enfermedad que la obligó a ausentarse del Gobierno por siete semanas y después moderar su ritmo de trabajo. La ayudó a soportar con ecuanimidad aparente el impacto de los resultados electorales y hacer creer que los cambios en el Gobierno no se debieron al fracaso evidente del anterior sino a sus problemas de salud.
..........


Leer más aquí: noticias.perfil.com

Aproximación al Nuevo Liberalismo Católico ...


Los Neomaritaineanos. 
Aproximación al Nuevo Liberalismo Católico 

por Fernando Romero Moreno

Agradezco a los Doctores Alfonso Santiago, Gabriel Zanotti, Roberto Bosca y Mons. Mariano Fazio, por su apoyo y/o consejos para la publicación de esta nota,a pesar de las críticas que hago respecto de alguna de sus ideas.

Artículo publicado en el número 22 del Diario de Filosofía del Derecho de la UCA - Noviembre 2011


Leer aquí: http://es.scribd.com

Chile 40 años después, nueva amenaza socialista en el horizonte


Chile 40 años después: 
elecciones, anestesias y abismo

Para bajar gratuitamente el libro-reportaje “Chile 40 años después”, basta hacer clic en el link www.cubdest.org/libros/Chile-NuevoAbismo131019.pdf

1. En vísperas de las elecciones presidenciales chilenas, los periodistas Carlos del Campo y Juan Antonio Montes acaban de lanzar un reportaje “políticamente incorrecto”: “Chile 40 años después, nueva amenaza socialista en el horizonte”.

2. El libro es una tomografía de la realidad política, social y psicológica del Chile de hoy, un país que está siendo anestesiado para que caiga una vez más, sin sobresaltos y en medio del letargo, en el abismo socialista. Los periodistas del Campo y Montes describen paso a paso cómo se crean y cómo se inyectan esas anestesias psicológicas en el público chileno.

3. Un observador extranjero que lea este reportaje “políticamente incorrecto”, no podrá dejar de comparar la situación de anestesia de sectores del público chileno con la anestesia que parece tomar cuenta de sectores de opinión de otros países de América latina, todo lo cual pavimenta el camino para nuevos y viejos populismos.

4. La radicalidad destructiva de las propuestas de la “Nueva Mayoría”, la coalición de la candidata socialista Michelle Bachelet, deja en evidencia que ellas se encuadran en el socialismo cubano-bolivariano, al estilo de Cuba comunista y de Venezuela chavista. Increíble pero cierto.

“Nueva Mayoría”, después de anestesiar a Chile, prepara un sistema de gobierno burocrático‒populista, para establecer en Chile una dictadura “democrática” en la apariencia, pero despótica en la realidad.

5. Para recibir gratuitamente por e-mail el libro-reportaje “Chile 40 años después”, basta escribir a destaque2016@gmail.com e incluir en la línea de asunto: Libro Gratuito.

6. Estos apuntes de Destaque Internacional son breves comentarios interactivos, de carácter oficioso, que no necesariamente representan la opinión de todos los miembros de su consejo de redacción. Los comentarios se destinan a llamar la atención sobre temas “políticamente incorrectos” y que suelen quedar al margen, a pesar de que son vitales para la sociedad. Nuestra finalidad es la de estimular debates y remover anestesias paralizantes.

Son bienvenidas sugerencias, opiniones y críticas.

Résistance républicaine nous invite à marcher pour défendre toutes nos traditions, la laïcité, la loi de 1905 et nos fêtes chrétiennes le 8 décembre prochain, rendez-vous place Denfert-Rochereau à 14 h.


Le 8 décembre, venez marcher pour la laïcité et la défense de nos racines chrétiennes

Christine Tasin est professeur agrégé de lettres classiques et préside l’association Résistance républicaine.



Notre patrimoine est en danger, nos traditions sont en danger :

Qu’il s’agisse des jours fériés chrétiens que d’aucuns s’acharnent à vouloir remplacer par des fêtes juives et musulmanes, depuis la Commission Stasi jusqu’à Dounia Bouzar, récemment nommée à l’Observatoire de la laïcité par François Hollande, en passant par Delanoë, Eva Joly et tant d’autres qui rêvent de voir disparaître notre peuple.

Qu’il s’agisse des fêtes chrétiennes qui devraient se faire en catimini au faux prétexte de laïcité pour, en fait, ne pas choquer les adeptes de l’islam. C’est ainsi que les crèches municipales qui marquaient Noël comme le sapin il y a encore quelques années ont disparu. C’est ainsi que le sapin, lui-même, est remis en cause dans certaines écoles et même le Père Noël que certains enseignants zélés essaient de chasser des classes de maternelle. C’est ainsi encore que le maire de Brest, début 2013, a pu interdire la couronne des rois accompagnant la galette dans les cantines parce qu’elle portait le « gros mot » « épiphanie ».

Qu’il s’agisse des fêtes votives qui ont lieu une fois par an dans un certain nombre de villages en l’honneur du saint patron du lieu que des bouffeurs de curé patentés voudraient voir interdire ou, crime suprême, du refus d’un certain nombre de municipalités de consacrer de l’argent à la restauration et à l’entretien de nos églises, notre patrimoine architectural et le témoin de notre histoire chrétienne.

Qu’il s’agisse de la loi de 1905 qui est piétinée par nos édiles, qui utilisent l’argent qui devrait financer les églises qu’ils font démolir pour permettre des constructions de mosquées en violation de la loi. C’est ainsi que Delanoë a refusé de sauver l’église Sainte-Rita mais finance l’Institut des Cultures d’islam qui va coûter plus de 30 millions aux Parisiens.

Qu’il s’agisse de la laïcité qui est piétinée dans la vie quotidienne. C’est ainsi que vos enfants en sortie scolaire sont accompagnés par des mères voilées. C’est ainsi que vos enfants, encore, mangent halal sans le savoir à la cantine, puisque nos politiques refusent l’étiquetage de la viande halal, ce qui permet aux abattoirs d’introduire dans les supermarchés, cantines et autres boucheries de la viande d’un animal tué sans étourdissement. C’est ainsi que plus de 100 enfants meurent chaque année de la contamination par Escherichia coli que favorise l’abattage rituel…

Alors il est plus que temps que chacun réagisse et dise non.

Résistance républicaine vous invite à marcher pour défendre toutes nos traditions, la laïcité, la loi de 1905 et nos fêtes chrétiennes le 8 décembre prochain, rendez-vous place Denfert-Rochereau à 14 h.

Nous sommes des laïques, pas des « bouffeurs de curé » ; la laïcité seule permet le vivre ensemble, la séparation des Églises et de l’État et fait partie de notre héritage chrétien : « rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu » ; la loi de 1905 prévoyait même dans son article 42 l’engagement de conserver les jours fériés chrétiens (article abrogé en 1973…).

Nombre de chrétiens laïques se battent à nos côtés pour conserver nos traditions, pour défendre notre pays, nos valeurs.

Nombre d’athées, dont je fais partie, ne conçoivent pas de fêter Noël sans la crèche au pied du sapin parce que, qu’on croie que Jésus est fils de Dieu ou simple quidam, il fait partie de nos héros fondateurs, comme Clovis, Jeanne d’Arc, Marianne et tant d’autres qui nous donnent ce sentiment d’appartenir à la même histoire, à la même nation.

Il nous appartient à tous, croyants ou incroyants, de dire notre fierté d’être français et de défendre nos fondamentaux au coude à coude, le 8 décembre, place Denfert-Rochereau à 14h.

Vittorio Messori: si Lourdes es verdad, entonces todo es verdad




El 14 de novimbre, Vittorio Messori presentó su libro Bernadette no nos engañó en el Foro de Apologética Benedicto XVI de la Parroquia María Virgen Madre de Madrid. Magnificat TV grabó el acto, durante el cual, con brevedad y contundencia, el escritor y periodista italiano explicó por qué las apariciones de Lourdes fueron auténticas. Y por qué, como siempre subraya, «si Lourdes es verdad, todo (la fe, la Iglesia, el catolicismo) es verdad».





Sinopsis

Vivía en la miseria, crónicamente enferma, era analfabeta, y a los 14 años aún no había hecho la Primera Comunión. Bernadette Soubirous fue, sin embargo, la elegida por la Madre de Dios en 1858 para visitarla dieciocho veces, a lo largo de varios meses, en la gruta de Massabielle, en los Pirineos franceses: «Yo soy la Inmaculada Concepción», se presentó. Y para la pequeña comenzó un duro calvario de interrogatorios eclesiásticos y civiles, con coacciones incluidas, que jamás torcieron su voluntad: «Yo solo cuento lo que he visto», repetía incansable.


Cuatro años después el obispo se rendía ante la autenticidad de la aparición, y en 1866 ingresó en un lejano convento para apartarse y desaparecer, en cuanto estuvo en su mano. Fue canonizada en 1933.


Quinientos millones de personas han visitado desde entonces el santuario de Nuestra Señora de Lourdes, donde la Iglesia ha reconocido oficialmente 69 milagros.

Eso no es, con todo, lo fundamental, sostiene Vittorio Messori, uno de los grandes apologistas católicos de nuestro tiempo. Lo importante es la sobrenaturalidad de la aparición misma, contra la cual se estrellan desde hace siglo y medio los racionalistas y materialistas de todo signo. Las páginas de Bernadette no nos engañó se consagran precisamente a rebatir sus argumentos, para que la verdad sobre Lourdes resplandezca con la misma fuerza que la santidad de Bernadette.

Book s: Benjamin Wiker’s Worshipping the State: How Liberalism Became Our State Religion


The Dogmas of Secularism

by ROBERT BRENNAN


Worshipping the State:
How Liberalism Became Our State Religion
By Benjamin Wiker
Regnery Publishing, 2013
256 pages, Hardcover

In Worshipping the State, author Benjamin Wiker takes the reader to school in the best sense of that phrase. Written with professorial exactness and supporting footnotes, the book expertly chronicles the perennial tension between state and religious interests. And in doing so, it provides the historical perspective to better understand the current rise in what the book describes as “radical secularism.”

Wiker posits that today’s secular culture has its pedigree in the materialistic pagan world, which co-existed with the Old Testament Covenant, but was subdued and tamped down by the rise of the New Testament Covenant. And although this worldview became increasing subterranean due to Christianity’s 1,500 years of transcendence in the West, nature abhors a vacuum; and with Christianity ebbing, the old ways, albeit with new language, are making a comeback.

The author locates the beginning of the resurgence of radical secularism to 500 years ago and the publication of Machiavelli’s The Prince. It was Machiavelli who, according to Wiker, erected the first wall of absolute separation of church and state in the Christian era. Ironically, the concept was nothing new, as the book instructs us so thoroughly.
................

Readmore: www.ncregister.com

Telle est la véritable histoire des Tupamaros en Uruguay : s’ils finissent par « combattre la dictature militaire », ils ont d’abord, en huit ans de violences et de crimes, rendu cette dictature inéluctable.


Gauche-caviar et terroristes : l’attraction fatale



...voici le dernier exploit de Mme Yamina Benguigui. Le week-end dernier, à Fontenay-sous-Bois, celle-ci inaugure le buste du guérillero Raúl Sendic, ex-chef des Tupamaros uruguayens, « un homme hors du commun » pour le ministre de la Francophonie. Selon l’hagiographie duParisien (24/11/2013), les Tupamaros sont un « mouvement de libération nationale né face à la dictature militaire, de 1973 à 1985″.


Avec le soutien des bobos au voyou et assassin Cesare Battisti, on pensait avoir touché le fond. Mais il est un domaine dans lequel le bobo peut toujours mieux faire : celui du soutien au terrorisme gauchiste — a posteriori, bien sûr… quand ce n’est plus dangereux.

Soyons honnête, le militantisme de pure posture, a posteriori et loin du front, n’est pas l’apanage de la gauche-caviar : il sévissait aussi en Afghanistan, vers la fin du djihad contre l’URSS. En sahariennes haute couture, de jeunes princes saoudiens visitaient les tranchées devant Khost, y tiraient deux rafales de Kalach’ puis rentraient à Riyad narrer leurs exploits. Férocement, les guerriers pachtounes les surnommaient « Gucci-Moudjahidines ».

Dans le même registre, voici le dernier exploit de Mme Yamina Benguigui. Le week-end dernier, à Fontenay-sous-Bois, celle-ci inaugure le buste du guérillero Raúl Sendic, ex-chef des Tupamaros uruguayens...

.....................

Lire la suite: www.bvoltaire.fr

On fait ses prières, mais on peut tuer pour une cigarette. On sanctifie la famille, mais on fait pleurer sa mère tous les matins.


Halal ou pas : 
islam, première religion carcérale de France


par Nicolas Gauthier


Inutile de se voiler la face, l’islam est la première religion carcérale de France, avec des taux de 70 % dans les prisons d’Île-de-France, sans compter d’autres métropoles, genre Marseille. Triste réalité que le site musulman SaphirNewsreconnaît sans ambages. Nulle islamophobie, donc, dans ce qui n’est rien qu’un simple constat.

Et Samia El Alaoui Talibi, secrétaire de l’aumônerie musulmane des prisons de rappeler à nos confrères deSaphirNews : « Malgré ses murs, la prison est une microsociété, avec ses travers, comme toute société. » La nôtre, celle du dehors, est ainsi agitée par de multiples revendications ; la tyrannie des minorités étant tout, hormis un vain mot. Militantisme religieux et alimentaire, lobbying d’ordre sexuel et sociétal touchant même jusqu’à la langue de Molière : dire « auteure » et surtout pas« mademoiselle », « personne à verticalité différée » plutôt que « nain »,« homme à compréhension contrariée » au lieu de « con », etc. Le tout sur fond de compétition victimaire et de pleurniche à tous les étages.

Cette atomisation d’une société de plus en plus fragmentée aboutissant à une sorte de chacun-chez-soi et de tout-pour-ma-gueule, avec surenchère de nouveaux droits, nouveaux droits ayant vocation à être de suite décrétés, ne pouvait évidemment pas épargner l’univers carcéral. D’où ces demandes réitérées de menus halal en prison, récemment relayées par Le Figaro. Lequel quotidien remarque : « Dans beaucoup d’écoles, la solution retenue est de proposer un deuxième menu sans viande, à base de poisson ou halal ou casher. » Mais cela coûte cher et le budget des prisons, déjà pauvre, est encore moins extensible à l’infini. Et SaphirNews de déplorer les carences alimentaires de certains de leurs coreligionnaires détenus.

Le recteur de la mosquée de Bordeaux, l’imam Tareq Oubrou, évoquait le sujet il y a peu, lors de la dernière université de printemps de l’association Fils de France : « En tant qu’aumônier de prison, je suis régulièrement confronté à ce sujet. Ces détenus qui me disent : “Je suis un bon musulman et on m’empêche de manger comme un bon musulman, etc.” Ce à quoi je réponds immanquablement : “Si vous étiez un bon musulman, vous ne seriez pas en prison !” Mais après, il faut savoir tendre la main à ces malheureux et tout mettre en œuvre pour qu’une fois sortis, ils retrouvent le droit chemin. » Fort bien. Un prêtre n’aurait pas mieux dit.

...................

Lire la suite ici:  www.bvoltaire.fr

Lo que sí dice «Evangelii Gaudium»




El padre Santiago Martín, superior de los Franciscanos de María, disecciona para Magnificat TV el segundo documento de Francisco (no el primero, insiste, porque Lumen Fidei también es suyo) focalizándolo en puntos por los que puede pasarse por alto si se hace una lectura sólo a base de titulares muchas veces interesados.

viernes, 29 de noviembre de 2013

La Légion, avec près de 150 nationalités représentées en ses rangs, appartient nolens volens au patrimoine mondial de l’humanité.


La Légion, « parfaite illustration du dénuement, de l’anonymat et de l’abnégation »

par LES4V



Editeur chez Bouquins (Robert Laffont), Christophe Parry a dirigé la publication d’un Dictionnaire de la Légion étrangère, sous la direction d’André-Paul Comor.

Les 4 Vérités : Avec le commandant Hélie Denoix de Saint Marc, ancien déporté, vétéran de l’Indochine et de l’Algérie, qui engagea le 1er régiment étranger de parachutistes dans le putsch des généraux en avril 1961, vient de disparaître l’une des figures les plus prestigieuses de la Légion. Comment se rattache-t-il à l’histoire et à l’esprit de cette troupe d’élite ?


Christophe Parry : Personne mieux que le commandant de Saint Marc, à mon avis, n’a illustré à la fois la devise de la Légion étrangère : « Honneur et Fidélité », le code d’honneur du légionnaire, qui stipule notamment que la mission est sacrée et qu’il faut l’exécuter jusqu’au bout, « s’il le faut, en opérations, au péril de [s]a vie », mais également le code d’honneur « de l’ancien légionnaire », et en particulier son article 4 : « Fidèle à mon passé à la Légion étrangère, l’honnêteté et la loyauté sont les guides permanents de ma conduite. »

C’est en son sein qu’il est parvenu à se reconstruire après Buchenwald – et ce alors qu’en Indochine nombre de ses camarades de combat parlaient la langue de ses bourreaux ; en son sein aussi qu’il a retrouvé la fraternité qui unit ceux qui mettent leur peau au bout de leurs idées, pour paraphraser un autre ancien du 1er REP, Pierre Sergent. En son sein encore, malheureusement, alors qu’il a l’ordre d’abandonner aux Viêt-minh les combattants thôs qu’il a formés, qu’il éprouve la honte de « la trahison, l’abandon, la parole bafouée » – il l’éprouvera une nouvelle fois en Algérie…

..................

Lire la suite: www.les4verites.com

Argentina: ¿Qué quería decir Cristina cuando, para asombro de sus partidarios, decidió vestirse de blanco en vez de negro?


La dama de blanco

por James Neilson


Hay que sentir simpatía por la muchachada kirchnerista, por estos jóvenes y no tan jóvenes bulliciosos que vibran de emoción y saltan toda vez que Cristina pronuncia palabras como "modelo", "profundización", "soberanía hidrocarbu- rífera" y otras que les son igualmente conmovedoras. Están desconcertados por lo que está sucediendo en el país. Luego de creerse participantes privilegiados de una gran revolución nacional y popular, una que, nos aseguran las consignas sensibleras que han garabateado en vaya a saber cuántas paredes, haría de la Argentina el país más amoroso del universo conocido, no pueden sino sospechar que la presidenta corre el riesgo de terminar como el odiado compañero Carlos Menem. Al entender que no le convendría seguir asustando a medio planeta disfrazándose del "ayatolá de las pampas" o el equivalente criollo de Muammar Gaddafi, el riojano optó por metamorfosearse en un neoliberal filoyanqui para entonces ponerse a privatizar todo a su alcance.

Pues bien: ¿cómo explicarles a los militantes lo de Repsol, las charlas amables que está celebrando Jorge Capitanich con narcosocialistas y ultraderechistas vendidos a capitalismo salvaje, la prevista reconciliación con los malignos técnicos del FMI y tantas otras aberraciones?

¿Y qué quería decirles Cristina cuando, para asombro de sus partidarios, decidió vestirse de blanco en vez de negro? Es como si un buen día Fidel apareciera ante una multitud de aplaudidores sin la barba marxista que ha ostentado durante tantas décadas irremediablemente perdidas y, para que no quedaran dudas, reemplazaran en La Habana los retratos de venerados próceres izquierdistas como el Che por otros de Adam Smith, Ronald Reagan y Margaret Thatcher, de tal modo informándoles que la Revolución entraba en una fase nueva. Los militantes rezan para que sólo haya sido cuestión de trucos ideados por los asesores de imagen K para despistar a los imperialistas hasta que desembolsen el dinero que necesita el modelo, pero algunos temen que la cosa vaya en serio.


.........................


Leer más aquí: www.rionegro.com.ar

As you look for gifts for loved ones, some recommendations by Ryan T. Anderson



As you look for gifts for loved ones, some recommendations

BY RYAN T. ANDERSON

Here are a few of my favorite titles that I read in 2013. Any would make a great gift for the special someone on your list, provided he or she is interested in ideas.

Yuval Levin is perhaps the sharpest conservative writer in Washington, D.C. His just-released book, The Great Debate: Edmund Burke, Thomas Paine, and the Birth of Right and Left, shows how a debate 200 years ago still shapes our politics today. Anyone seeking a better understanding of the philosophical differences between conservatives and liberals could do no better than look in Levin’s writings. They illuminate what’s at stake in how we understand nature and human nature — and that greatest reflection of all on human nature, government.

But can a Catholic be a conservative, and even a tea partier? Samuel Gregg’s Tea Party Catholic: The Catholic Case for Limited Government, a Free Economy, and Human Flourishing goes back to the first tea party to show how natural-law theory, Catholic social teaching, and the only Catholic signer of the Declaration of Independence, Charles Carroll of Carrollton, make the case for the American experiment in ordered liberty. Gregg is one of the best thinkers on these questions writing today, and his argument defending our form of polity, neither liberal nor libertarian, is one of the best on offer.

Of natural-law theorists, there is none greater than Princeton’s Robby George. In his new collection of essays,Conscience and Its Enemies: Confronting the Dogmas of Liberal Secularism, George shows how the best of human reason can defeat the reigning orthodoxies of liberal secularism. Amidst growing attacks on religious liberty and traditional morality, George shows how conscience has rights because it has duties, duties that the state ought never to undermine or violate.

And for the future of global Catholicism, no one does it better than George Weigel. And nowhere has he done it better than in Evangelical Catholicism: Deep Reform in the 21st-Century Church. Evangelical Catholicism isn’t a new church, but a new cultural expression of the timeless truths of Christ. Its adherents embrace faith and reason, Scripture and tradition, church authority and individual conscience, liturgical prayer and personal piety, and holiness and mission above all else.

Theology is meant to be lived, and Rod Dreher paints one picture of holiness — warts and all — in his moving tribute to his late sister, The Little Way of Ruthie Leming: A Southern Girl, a Small Town, and the Secret of a Good Life.

The religious have more babies, and as church attendance declines so too do nurseries. That’s the conventional wisdom at least. Mary Eberstadt challenges this in her fascinating book How the West Really Lost God: A New Theory of Secularization. Herein Eberstadt argues that family decline — and fertility decline — contribute to religious decline. Marshaling impressive historical and sociological evidence,Eberstadt makes a case for a “double helix” of family and faith — each dependent on the other, rising or falling together.

What the future will hold as they fall is the subject of Jonathan Last’s What to Expect When No One’s Expecting: America’s Coming Demographic Disaster. Never has demography been as entertaining to read. Last is a great writer who makes a potentially boring topic (full of data sets, charts, and graphs) come to life. The book is chock full of anecdotes and funny stories, but also meticulous and judicious: His isn’t a morality tale about society going to hell in a hand basket — he sees both the pros and the cons of contemporary fertility trends, and he points to the various positive and negative factors that likely influenced the new trends. Nevertheless, the trend is leading, as the subtitle notes, to disaster. Find out what to expect.

For the more scholarly on your gift list, let me suggest three academic titles, in history, philosophy, and theology. Brad Gregory’s intellectual tour de force The Unintended Reformation: How a Religious Revolution Secularized Society argues that today’s society is the result of the Reformation. Without intending it, the Reformers planted theological seeds that sprouted secular fruit hundreds of years later: relativism about truth, subjectivism in morality, consumerism in economics, secularism in politics, and an indifferentism to theological claims.

Indifference to theology, however, proves fatal to coherent morality, or so argues John Rist in Plato’s Moral Realism: The Discovery of the Presuppositions of Ethics. Rist argues that a close reading of the Platonic dialogues reveals a development in Plato’s thought, with the most mature dialogues pointing to the necessity of a metaphysics of morals — and a theological one at that.

The philosopher Alexander Pruss develops one such theological account in his book One Body: An Essay in Christian Sexual Ethics. This is quite simply the best, most thorough, most analytically rigorous contemporary presentation and defense of Christian sexual ethics.

Ryan T. Anderson is the William E. Simon Fellow at the Heritage Foundation and the editor of Public Discourse. He is a co-author, with Sherif Girgis and Robert P. George, of the book What Is Marriage? Man and Woman: A Defense
.

Ukraine - European Neighborhood Policy


Ukraine fiasco raises doubts about
 EU neighborhood policy


BY PAUL TAYLOR


The European Union's failure to conclude a landmark agreement with Ukraine this week raises questions about a policy designed to surround the bloc with a "ring of friends" that has done little so far to stabilize its neighborhood.

The fiasco at an Eastern Partnership summit in Vilnius has been blamed mostly on Ukrainian President Viktor Yanukovich's opaque post-Soviet governance, and on pressure from Russian President Vladimir Putin.

But some critics, including one of the architects of the European Neighborhood Policy, say EU efforts to export democracy and the market economy to countries on the bloc's eastern and southern fringes have long been hampered by an unrealistic balance between carrots and sticks.

......................

Read more: www.reuters.com

On se demande pourquoi l’Allemagne réussit quand la France échoue. C’est pourtant simple.



par Christian Vanneste



Appât artificiel (poisson d'étain, poisson nageur, devon, cuiller, mouche, etc.) employé dans la pêche au lancer.

Ce sur quoi on aurait tort de se fonder, ce qui trompe : C'est un leurre de croire qu'il peut réussir.

Objet simulant un matériel militaire, utilisé pour tromper l'ennemi.

Du nuage de fumée pour couvrir la retraite aux moyens les plus sophistiqués de détourner un missile de sa cible, le leurre fait partie des solutions utilisées lorsqu’on est en difficulté. 

La situation de l’exécutif, soutenu au grand maximum par un Français sur cinq, l’amène à multiplier les tentatives désespérées de diversion qui, une à une, échouent aux yeux d’une opinion publique à qui on ne la fait plus. 

C’est un feu d’artifices pour un public blasé : on a d’abord tenté d’agiter le vieux spectre poussiéreux de l’antiracisme. Sorti du placard, il n’était déjà plus très frais et laissait les Français indifférents. Lorsque le tueur des rédactions, de type européen et sans doute d’extrême droite puisqu’il s’était attaqué à « Libé », s’est révélé être un extrémiste de gauche au nom d’outre-méditerranée, l’indifférence est devenue critique. 

Les Français qu’on gouverne si mal ne supportent plus qu’on les accuse de fautes qu’ils n’ont pas commises. 

Or l’un des moyens habituels de détourner l’attention des Français des problèmes qui les préoccupent, le chômage, le pouvoir d’achat, la délinquance, l’immigration, consiste à les culpabiliser, ou à désigner parmi eux les boucs émissaires du moment. 

Faute de punir sérieusement les vrais criminels ou de mettre fin à l’activité politique d’élus-voyous, on va sanctionner le prétendu dérapage verbal, pénaliser les clients de la prostitution, accuser l’automobiliste d’être un tueur en puissance. 

L’image de l’école se ternit à mesure qu’elle parvient mal à apprendre à lire, écrire, compter. Le Ministère, enlisé dans la réforme bricolée des rythmes scolaires fait du harcèlement une affaire d’Etat qu’une circulaire et un retour de l’autorité des enseignants devraient régler sans qu’on en parle à la télé.

La stratégie du gouvernement relève aussi de l’illusionnisme.

Le prestidigitateur attire l’attention sur une main, tandis que l’autre, qu’on ne voit pas, fait le tour de passe-passe. 

C’est ainsi que les Français sont invités à applaudir à l’inversion de la courbe du chômage.

............................
Lire la suite: www.christianvanneste.fr

Secularism ... "Happy Thanksgiving!"


25 Charts That Will Make You Thankful
 You Live In America

By Rob Wile


Thanksgiving is when you often find yourself sitting in traffic, waiting for a delayed flight, or looking for a reason to get away from your extended family.

It's also a day when Americans remember the things they are thankful for.

So, if you're sitting in traffic, waiting for a delayed flight, or looking for a reason to get away from your extended family, here are 25 charts to make you thankful you live in the greatest country in the world.

.................


Read more: www.businessinsider.com

L’Institut Thomas More formule 30 propositions en faveur de la révolution de l’autonomie: propositions pour réinventer l’école

La révolution de l’autonomie




Rapport | Dans quelques jours, le classement PISA 2012 de l’OCDE sera rendu public et risque d’être sévère pour le système éducatif français. Il est donc urgent de s’interroger sur les raisons de son échec grandissant et de proposer des pistes de réformes enfin neuves. Depuis trente ans au moins, chaque ministre impose sa réforme mais rien ne change. Vincent Peillon ne déroge pas à la règle, avec sa loi de refondation de l’école qui insiste dans la logique centralisatrice et du toujours plus de moyens de ses prédécesseurs… De fait, l’Éducation nationale ne remplit plus ses promesses. Elle est inefficace et profondément injuste. En comparaison des performances de nos partenaires européens et de l’OCDE, elle est en outre lourdement coûteuse. C’est d’une réforme en profondeur, systémique et ambitieuse dont l’école a aujourd’hui besoin. Voilà pourquoi l’Institut Thomas More formule 30 propositions en faveur de la révolution de l’autonomie


Cette révolution, c’est celle de la liberté et de la confiance. Liberté d’innover, liberté d’expérimenter, liberté de gérer, liberté de proposer. Confiance dans les enseignants, dans les parents, dans les équipes pédagogiques, dans la communauté éducative. Ce que ces lignes proposent, c’est de donner à l’école, en confiance, la liberté d’accomplir sa mission. La réussite des élèves, qui est l’objectif même de l’école, appelle cette révolution de l’autonomie. Avec plus d’autonomie, la communauté éducative est incitée à l’innovation et à la performance. Avec plus d’autonomie, les établissements ne vivent plus de rentes mais doivent faire la preuve de leur capacité à faire réussir leurs élèves, à répondre à la demande, à participer à une saine émulation entre établissements. Avec plus d’autonomie, les éducateurs peuvent s’adapter à leurs élèves et au contexte local, et inventer les solutions qui conviennent. 


Pour donner corps à cette ambition, ce rapport identifie 5 leviers d’action :


1 | Établir le diagnostic de l’épuisement de l’école française

Il convient de commencer par poser un diagnostic lucide sur l’épuisement de l’Éducation nationale, constaté par les acteurs eux-mêmes et par une foule de rapports et d’analyses émanant de toutes parts. De fait, le système éducatif français obtient désormais des résultats médiocres en matière de formation des élèves, est trop coûteux, largement inégalitaire et injuste et enfin trop centralisé.

2 | Favoriser la liberté et l’autonomie pour tous dans le système éducatif

Le point de départ doit être la refonte de l'organisation du système éducatif sur quatre piliers : la suppression de la carte scolaire, l’instauration du chèque éducation, la création et d’« écoles autonomes » et l'autonomie complète des établissements, à la fois en termes de gestion et de pédagogie. Ils pourront choisir leur organisation, leurs enseignants, leurs pratiques. La liberté des responsables d'établissements et des équipes pédagogiques devra être reconnue, leurs performances évaluées et publiées. Le secteur privé pourra être mis à contribution pour financer les structures.

3 | Réaffirmer la transmission des savoirs comme mission fondamentale de l’école

Il conviendra de fixer solennellement l'objectif de maîtrise de la lecture, de l'écriture et du calcul pour tout enfant sortant du CM2, en étant intraitable sur l'objectif et souple sur les moyens d'y parvenir. Apprendre à apprendre et apprendre à vivre ensemble doivent également constituer des axes forts d'une politique de la transmission rénovée et ambitieuse.

4 | Mobiliser tous les acteurs de la communauté éducative pour chaque enfant

La prise en charge individualisée des élèves devra être développée, avec des enseignants formés à cette fin. Mais ce sont aussi les parcours d’orientation des élèves doivent aussi faire preuve d’une plus grande individualisation, ce qui n'est fait qu'insuffisamment à ce jour. Dans cette logique, il convient de s'engager sur la voie de la suppression du collège unique. L’individualisation de la prise en charge des élèves passera en outre par la valorisation de la communauté éducative, qui associera fortement les parents et sera au cœur du système éducatif, sera libre de développer des projets innovants. La réforme des rythmes scolaires, si on veut la faire réussir, devra associer toute la communauté éducative au projet pédagogique de chaque établissement.

5 | Revaloriser le métier d’enseignant

Bénéficiant d’une plus grande autonomie dans leur métier, ils devront pour cela être mieux formés initialement et lors de leur carrière. Leurs parcours retrouveront une dynamique nouvelle par une gestion plus souple, notamment à travers un recrutement par contrats et des allers et retours hors de l’Éducation nationale. Moins nombreux, présents plus longtemps auprès des élèves et de leurs familles, ils seront mieux payés.

.................

L'Esortazione Apostolica di papa Francesco per la chiusura dell'Anno della Fede


Evangelii gaudium

26/11/2013



1. La gioia del Vangelo riempie il cuore e la vita intera di coloro che si incontrano con Gesù. Coloro che si lasciano salvare da Lui sono liberati dal peccato, dalla tristezza, dal vuoto interiore, dall’isolamento. Con Gesù Cristo sempre nasce e rinasce la gioia. In questa Esortazione desidero indirizzarmi ai fedeli cristiani, per invitarli a una nuova tappa evangelizzatrice marcata da questa gioia e indicare vie per il cammino della Chiesa nei prossimi anni.

I. Gioia che si rinnova e si comunica

2. Il grande rischio del mondo attuale, con la sua molteplice ed opprimente offerta di consumo, è una tristezza individualista che scaturisce dal cuore comodo e avaro, dalla ricerca malata di piaceri superficiali, dalla coscienza isolata. Quando la vita interiore si chiude nei propri interessi non vi è più spazio per gli altri, non entrano più i poveri, non si ascolta più la voce di Dio, non si gode più della dolce gioia del suo amore, non palpita l’entusiasmo di fare il bene. Anche i credenti corrono questo rischio, certo e permanente. Molti vi cadono e si trasformano in persone risentite, scontente, senza vita. Questa non è la scelta di una vita degna e piena, questo non è il desiderio di Dio per noi, questa non è la vita nello Spirito che sgorga dal cuore di Cristo risorto.

3. Invito ogni cristiano, in qualsiasi luogo e situazione si trovi, a rinnovare oggi stesso il suo incontro personale con Gesù Cristo o, almeno, a prendere la decisione di lasciarsi incontrare da Lui, di cercarlo ogni giorno senza sosta. Non c’è motivo per cui qualcuno possa pensare che questo invito non è per lui, perché « nessuno è escluso dalla gioia portata dal Signore ». Chi rischia, il Signore non lo delude, e quando qualcuno fa un piccolo passo verso Gesù, scopre che Lui già aspettava il suo arrivo a braccia aperte. Questo è il momento per dire a Gesù Cristo: « Signore, mi sono lasciato ingannare, in mille maniere sono fuggito dal tuo amore, però sono qui un’altra volta per rinnovare la mia alleanza con te. Ho bisogno di te. Riscattami di nuovo Signore, accettami ancora una volta fra le tue braccia redentrici ». Ci fa tanto bene tornare a Lui quando ci siamo perduti! Insisto ancora una volta: Dio non si stanca mai di perdonare, siamo noi che ci stanchiamo di chiedere la sua misericordia. Colui che ci ha invitato a perdonare « settanta volte sette » (Mt 18,22) ci dà l’esempio: Egli perdona settanta volte sette. Torna a caricarci sulle sue spalle una volta dopo l’altra. Nessuno potrà toglierci la dignità che ci conferisce questo amore infinito e incrollabile. Egli ci permette di alzare la testa e ricominciare, con una tenerezza che mai ci delude e che sempre può restituirci la gioia. Non fuggiamo dalla risurrezione di Gesù, non diamoci mai per vinti, accada quel che accada. Nulla possa più della sua vita che ci spinge in avanti!...


Continua a leggere: www.vatican.va