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domingo, 17 de febrero de 2013

Libye/BHL - C'était prévu d'avance ... Et maintenant que vais-je faire ?

La Libye s’enlise dans la violence des milices




La Libye s’enlise. Deux ans après la révolution, le pays est aujourd’hui coupé en cinq zones (Misrata, Barqa, Djebel Nefusa et Zouwara, Zentan, la Zone du Sud avec les Toubous).

Les milices constituées par des éléments tribaux disposent chacune de leur propre armée dans les quatre premières zones. A cela il faut ajouter de nombreux conflits tribaux. Ainsi que des populations en déshérence.

Que veulent ces milices ? Si dès la fin de la révolte, les « Thowars » ont revendiqué la paternité de la révolution, aujourd’hui, elles entendent assurer leur mainmise sur les villes, les quartiers et les édifices publics conquis par la force des armes.


  • Les milices entre police et politique ...
  • Imposer la charia, diriger les trafics ...
  • Des gangs nés avant la révolution ...
  • En 2003, une réconciliation ...
  • L’intégration des milices dans l’armée ...
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Lire ici: www.rue89.com


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BHL se promène dans Paris 

avec six gardes du corps armés !

Par Eric MartinProtégé comme un ministre des Affaires étrangères.Selon La Lettre A du 14 février 2013, Bernard-Henri Lévyétait escorté de six gardes du corps armés et équipés d’oreillettes lorsqu’il s’est rendu mercredi 13 février matin en voiture banalisée au bar de l’hôtel Montalembert. Il devait rencontre l’ancien garde des Sceaux, Rachida Dati, qu’on ne savait pas si dangereuse. Petit détail qui interroge : les accompagnants de l’activiste n’étaient pas des gros bras d’une société de sécurité privée mais… des policiers.


Lire ici: www.ndf.fr

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La campagne libyenne de Bernard-Henri Lévy


Arrivé en retard en Égypte, BHL est un artisan important du virage diplomatique international qui vient de s'opérer vis-à-vis de la Libye.


Il y a dix-huit ans, Bernard-Henri Lévy avait déjà réussi un beau coup diplomatique en emmenant personnellement le président bosniaque Alija Izetbegovic - dont il soutenait la cause depuis le début de la guerre civile yougoslave - dans le bureau de François Mitterrand à l'Élysée. 

Mais, cette fois, notre dandy national, «ministre des Affaires étrangères» à ses heures, aura fait encore plus fort : entraîner la France - et à sa suite tout l'Occident - dans la guerre, afin de débarrasser la Libye d'un dictateur sanguinaire qui, il n'y a pas si longtemps, jouissait du privilège de planter sa tente en plein VIII e arrondissement de Paris.

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Lire ici: www.lefigaro.fr

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