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domingo, 1 de septiembre de 2013

Nous avons voulu de cet État-providence pour toujours mieux manger sur le dos « des autres » voilà que c’est maintenant de nous qu’il se nourrit !

Les petits mensonges du grand remplacement


Les petites censures qu’on s’inflige de soi-même à soi-même sont souvent un moyen élégant d’éviter certains sujets. Le sujet des remplacements de population est justement l’un de ces sujets que les majorités prennent grand soin d’éviter : la parole est vite abandonnée aux silences étouffés de quelques groupes minoritaires. Et quand elle vient à en sortir, la place publique est bien vite nettoyée de ces sujets embarrassants. C’est pratique : « Qu’ils en parlent entre eux, et nous garderons pour nous les sujets plus faciles et plus rentables », se disent les partis de pouvoir.  Et les gens biens.

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Il est possible que les intérêts de l’État soient maintenant devenus fondamentalement différents de ceux de son propre peuple. Qu’il se soit comme animé de sa propre vitalité, et que celle-ci lui importe bien plus que la nôtre. Il est possible que ce bel État-providence, façonné à coups de petites promesses démagogiques et de bulletins de votes complices ne soit devenu une sorte d’État-Dieu dont la population ne serait plus la raison, mais au contraire la nourriture dont il a besoin : le carburant de sa propre inflation. Grossir, grossir toujours plus !

Il est possible aussi que l’État, en échangeant peu à peu sa population, ne fasse justement rien d’autre que de l’adapter à ses propres besoins futurs : dans sa composition physique tout d’abord, en lui injectant des populations nouvelles, mais aussi dans sa nature morale, par petites touches de dénaturation des valeurs ou d’élagage des différences. On verra où ça nous mène.

C’est risible presque : nous qui avons voulu de cet État-providence pour toujours mieux manger sur le dos « des autres » voilà que c’est maintenant de nous qu’il se nourrit ! C’est bien normal finalement : les autres c’était nous. Vous n’aviez pas compris ?

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