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domingo, 22 de septiembre de 2013

Le pape a parlé, le pape a dit… Que le présumé saint homme ouvre la bouche et voilà la société civile – comprenez les néo-bouffeurs de curés – qui entre en transes.

Non, le pape François n’a rien dit de révolutionnaire !


Le pape a parlé, le pape a dit… Que le présumé saint homme ouvre la bouche et voilà la société civile – comprenez les néo-bouffeurs de curés – qui entre en transes.

Que les catholiques tièdes, les plus chauds, les fervents, les engagés, les pratiquants soient attentifs à la parole de leur guide, c’est plus que normal.

En revanche, on ne comprend pas bien cette fébrilité qui saisit un monde d’ordinaire indifférent, voire souvent hostile à cette institution, dès lors que le chef de l’Église catholique ouvre la bouche. 

Comme si ce monde-là, gens des médias notamment, attendait la formule magique qui, d’un claquement de langue, les ferait retrouver la foi de leur enfance et se précipiter en masse derrière les portes des églises !

Oui, le pape François a parlé. Et qu’a-t-il dit cette fois ? 

  • Que l’on devait considérer avec « miséricorde » les homosexuels, les divorcés et les femmes ayant avorté. 
  • Que tous ceux-là avaient besoin non de l’opprobre indigné des professeurs de vertu mais de l’attention bienveillante de ceux qui partagent leur foi et, dès lors, doivent les « accompagner » dans leur « cheminement » et « leur complexité » .

Rien de révolutionnaire là-dedans.

Le temps de l’Église catholique et romaine n’est plus à la vente des indulgences – cette obscénité mercantile – mais à l’indulgence tout court, celle qu’on appelait dans la France d’hier « charité chrétienne ».

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