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miércoles, 30 de enero de 2013

Il va bien falloir un jour que la France choisisse, une bonne fois pour toute, entre le modèle actuel, basé sur l’ex-URSS et un système ouvert, libre, intelligent, où le sens de la responsabilité des individus l’emporte sur la médiocrité.

Que devrait-on attendre de l’Etat ?

Thierry Fourgeaud

Je ne pense pas qu’il soit possible de sortir du « merdier » dans lequel nos dirigeants nous ont installé, si, au préalable, « l’État » ne revient pas, enfin, à sa place.

Que devrait-on attendre de l’État ?

- Qu’il exerce ses fonctions régaliennes avec rigueur.

- Qu’il facilite la vie des entreprises en mettant tout en œuvre pour simplifier et supprimer toutes les paperasseries administratives, source d’exaspération du secteur privé, de pertes de temps et d’argent.

- Qu’il reste à sa place en ne s’occupant surtout pas du secteur privé qui n’a pas besoin de conseils émanant de professeurs et d’énarques incompétents puisqu’ils n’ont jamais géré d’entreprises et ne savent pas ce que veulent dire les mots équilibres financiers et excédents indispensables à toute économie.

- Qu’il soit inscrit dans la Constitution :

1) Que les prélèvements obligatoires ne devront, en aucun cas, dépasser 30 % de la richesse créée par le secteur privé, y compris la fiscalité sur les carburants et autres impôts indirects.

2) Que les collectivités locales ont l’interdiction absolue de générer des déficits.

3) Que toutes les caisses sociales ont l’interdiction absolue de générer des déficits.

4) Qu’il respecte tous les acteurs de l’économie, grâce auxquels les fonctionnaires peuvent être payés.

5) Qu’il reconnaisse l’économie libre de marché, seul remède contre la pauvreté et le chômage.

6) Qu’il justifie ses dépenses en étant contrôlé par une « cour des comptes indépendante » et composée uniquement de professionnels de la gestion du secteur privé.

7) Que ladite « cour de contrôle » ait le pouvoir de sanctions immédiates. Chaque année, comme dans une entreprise privée, un bilan et des comptes de résultats devront être présentés à la structure de contrôle, le 31 janvier au plus tard de l’année suivante.

Si le moindre déficit est constaté, les ministres responsables (finances, budget) seront immédiatement remerciés et remplacés.

Si durant deux années consécutives, le moindre déficit est constaté, c’est également le Président de la République qui sera remercié.
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