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jueves, 16 de mayo de 2013

La France, comme une part majeure du continent européen, est soumise au règne absolu d’une hégémonie marxiste, anticipée par le communiste italien Antonio Gramsci dans les années 1930.

La France meurt de l’hégémonie marxiste


Gramsci pensait que le capitalisme, dans la première moitié du XXe siècle, était en position hégémonique. Il préconisait une longue marche 
des adeptes du dogme marxiste dans toutes les institutions, 
jusqu’à ce que l’hégémonie capitaliste soit remplacée 
par une autre hégémonie, marxiste cel­le-là.


Voici une dizaine de jours, c’était le premier anniversaire de la présidence de François Hollande. Triste anniversaire.

Ceux qui voudraient mettre quoi que ce soit à l’actif du « Pré­sident normal » auraient bien des difficultés à trouver quoi citer. L’endettement du pays continue à se creuser. Les chiffres du chômage poursuivent leur ascension. Les pauvres se multiplient, comme toujours lorsque les socialistes sont au pouvoir. Les projets fiscaux les plus ineptes énoncés lors de la campagne électorale n’ont pas vu le jour, mais la fiscalité ne s’en est pas moins trouvée alourdie. L’ombre de la duplicité et de l’hypocrisie, qui s’est déployée avec l’affaire Cahuzac, ne cesse de projeter ses effets de délégitimation.

C’est sur ce fonds malsain que se sont déroulé les manifestations contre la seule « réforme » que François Hollande ait vraiment menée jusqu’au bout : celle du mariage.

La dimension de destruction de la famille qui s’y love a suscité un vaste mouvement de rejet qui n’aurait sans doute pas acquis cette ampleur s’il n’avait pris appui sur une inquiétude plus large.

En sa grande majorité, la population française perçoit que le pays est en déclin et que le déclin s’accentue jusqu’à ressembler à une maladie en phase terminale.
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