Par Christian Vanneste
« Liberté, liberté chérie, combats avec tes défenseurs ! »
C’est le sixième couplet de la Marseillaise qui devrait
accompagner les manifestants de Dimanche.
La manière dont aura été conduite la loi de dénaturation du mariage est avant tout la preuve que le système qui règne en France n’est pas une démocratie pluraliste. C’est le règne d’un pouvoir qui condense des groupes de pression, des partis politiques, et des médias. Les premiers imposent aux seconds une réforme, les seconds la mettent en oeuvre avec le soutien univoque des troisièmes, vecteurs de la pensée unique. La puissance du lobby à l’origine de l’absurde mariage entre des personnes de même sexe est considérable. Voilà un projet qui n’intéresse que très peu de personnes, puisque beaucoup d’homosexuels y sont indifférents ou opposés, dans un ensemble qui représente, au grand maximum, 2 à 3% de la population, un projet qui défie le bon sens, lequel considère le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme en vue de procréer, un projet qui va entraîner de nombreuses complications afin de satisfaire un désir d’enfant contestable, et qui parvient cependant à envahir l’espace médiatique et le champ politique au point de devenir la grande mesure du quinquennat de Hollande.
Jamais sans doute l’opposition à une loi n’aura été aussi manifeste. Des défilés et des rassemblements gigantesques, une mobilisation sans précédent, une ardeur et une inventivité sans relâche des opposants auraient dû amener le Président à écouter le Peuple et sans doute à l’interroger, avec l’appui du Parlement qui lui est dévoué, en ayant recours à la procédure référendaire prévue dans la réforme constitutionnelle de 2008 et dont la loi organique vient d’être-tardivement- votée.
Jamais sans doute l’opposition à une loi n’aura été aussi manifeste. Des défilés et des rassemblements gigantesques, une mobilisation sans précédent, une ardeur et une inventivité sans relâche des opposants auraient dû amener le Président à écouter le Peuple et sans doute à l’interroger, avec l’appui du Parlement qui lui est dévoué, en ayant recours à la procédure référendaire prévue dans la réforme constitutionnelle de 2008 et dont la loi organique vient d’être-tardivement- votée.
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