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viernes, 28 de diciembre de 2012

Les Foyers de charité sont la grande œuvre de Marthe Robin et de l’abbé Finet.


Retraite à Châteauneuf-de-Galaure



Châteauneuf-de-Galaure, c’est un endroit inconnu pour qui n’a pas eu la

chance d’y séjourner mais pour ceux qui ont eu cette bonne fortune, c’est lieu 

où la grâce s’est installée. C’est en profitant du week-end de la Toussaint que je 

me suis arrêté dans le premier foyer de charité fondé par Marthe Robin.

Qui est Marthe Robin ?
Marthe Robin est une mystique française née le 13 mars 1902, à Châteauneuf-de-Galaure (Drôme). Malade, elle restera clouée à son lit dès l’âge de 18 ans. Sa constitution fragile ne lui permet pas de rentrer au carmel et peu à peu, elle comprend qu’elle est appelée, en tant que laïque, à vivre l’offrande de toute sa vie en union avec le Christ crucifié pour l’Eglise et le monde. Le 10 février 1936, Marthe rencontre l’abbé Finet avec qui elle se met au service du Seigneur en lui demandant de créer les Foyers de Charité.
Elle est principalement connue pour avoir, une grande partie de sa vie durant, souffert tous les vendredi la Passion du Christ, recevant notamment les stigmates. Elle aurait dit un jour à l’abbé Finet : « nous sommes jeudi aujourd’hui…je ne pourrai pas »« Si », lui répondit le prêtre. Elle eut à revivre cette passion chaque vendredi jusqu’à son décès.
Elle aurait également eu des apparitions et des révélations privées du Christ et de la Sainte Vierge. Pendant le chemin de croix du vendredi, le père prêchant la retraite lisait ainsi le récit de révélations privées qui, tel un évangile apocryphe, relatait notamment le comportement de la Vierge Marie juste après la mort de Jésus.
Pendant les 50 dernières années de sa vie, Marthe ne se nourrira, selon ses proches, que d’Hosties consacrées. 
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Selon ses carnets de rendez-vous, on estime à plus de 103 000 le nombre de personnes qu’elle reçut dans sa petite chambre. Aujourd’hui sa cause en béatification est  en cours d’instruction par le Saint-Siège.
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