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martes, 25 de febrero de 2014

Les pressions pour pénaliser « l’islamophobie » s’accentuent. La jurisprudence assimile déjà souvent toute critique de l’islam à du racisme – avec sanction pénale à la clé.


Non, critiquer l’islam n’est pas du racisme!

pár Pierre Baudouin


Mais, il faut le dire et le redire, critiquer l’islam n’est pas du racisme. 

Ne serait-ce que parce que les musulmans sont de multiples origines ethniques. 

Mais, surtout, ce n’est pas parce que l’on émet des réserves contre tel point de doctrine, que l’on appelle au meurtre des tenants de cette doctrine. 

Il y a une différence profonde entre les musulmans et l’islam. 

D’autant plus profonde que, contrairement au ca­tholicisme, personne n’est fondé à prétendre représenter l’islam. 

Il est donc impossible d’affirmer – comme le font régulièrement les politiciens français – que le « vrai » islam s’oppose au terrorisme.

La réalité, c’est que, comme le disait très justement Magdi Cristiano Al­lam, converti de l’islam au christianisme et journaliste italien, s’il y a, bien sûr, des musulmans modérés, il n’ex­iste pas d’islam modéré.

L’étude des historiens arabes des VIIe-IXe siècles 
« nous apprend que l’islam s’est répandu en 3 étapes. 

  • Dans une première étape, une infiltration pacifique de groupes arabes isolés, vivant en paix.
  • Puis une sorte d’acclimatation religieuse : on faisait pacifiquement admettre la validité de la religion coranique. Et ce qui est particulièrement instructif ici, c’est que ce sont les chrétiens qui ouvraient les bras à la religion sœur, sur le fondement du monothéisme et de la religion du Livre. 
  • Et, enfin, lorsque l’opinion publique était bien accoutumée, alors arrivait l’armée qui installait le pouvoir islamique. »

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