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martes, 17 de septiembre de 2013

Théorie du genre: le premier lieu où se propage cette idéologie est l’école. Et dès le plus jeune âge

Genre, vous ne le saviez pas ?!

En cette rentrée 2013-2014, la théorie du genre fait insidieusement irruption dans les établissements scolaires. On ne saurait trop recommander aux parents d’élèves, quel que soit l’établissement dans lequel leurs enfants sont scolarisés, de faire preuve de vigilance et de se mobiliser pour s’opposer à cette idéologie redoutable et perverse. 


Cet article tend à présenter les dangers liés à la théorie du genre, dangers que les enfants scolarisés (dans l’enseignement public et privé) sont les premiers à subir. Il se veut un appel à la prudence, à la vigilance et à l’engagement à l’encontre d’une idéologie révolutionnaire trouvant son énergie dans la haine de ce qui est naturel et la haine de Dieu.

Née aux États-Unis dans les années 1990, la théorie du genre est


« une position philosophique et sociologique qui affirme que l’identité sexuelle n’est qu’une construction sociale, indépendamment de toute réalité biologique comme le corps sexué. A ce titre, l’hétérosexualité est perçue comme une norme imposée par la société et discriminatoire pour les autres orientations sexuelles. » [1]

Chacun de nous aurait donc trois identités distinctes et non assimilables : le sexe biologique, l’orientation sexuelle et le sentiment intime d’appartenance à un genre. Cette idéologie veut en effet repenser les identités, en dehors de tout « clivage » homme/femme, au profit d’une identité dite « queer », à l’état instable et aux choix et pratiques sexuelles multiples.

Cette théorie du genre, ou plutôt idéologie du genre, aurait pu passer aux oubliettes, comme tant d’autres, si des maîtres à penser (Jacques Derrida, Michel Foucault, Jacques Lacan, Monica Wittig, Judith Butler, Éric Fassin [2], Catherine Vidal [3] ,…) et les gouvernements successifs (Luc Châtel, Vincent Peillon,…) ne s’étaient fait l’écho de ce courant.

Aujourd’hui, cette idéologie connait une accélération rapide. Sous couvert de lutte contre l’homophobie et de la promotion de l’égalité homme/femme, le gouvernement nous propose (notamment par le biais de la loi sur la refondation de l’école), un plan d’action pour promouvoir activement l’éducation au genre dès le plus jeune âge. Ce n’est pas manquer de respect envers les personnes ayant des tendances homosexuelles que de dénoncer énergiquement la confusion engendrée par cette idéologie dans la tête de nos enfants.

Elle sème en effet le trouble, et tend à briser l’équilibre fragile qu’un enfant construit au regard de la première société dans laquelle il vit, sa famille. Si celle-ci est déjà pour beaucoup un lieu de souffrance, combien donc l’idéologie du genre peut déconstruire ses repères au profit d’un relativisme qui n’a de socle que la mouvance des courants de pensée.

Sous la pression de lobbys, la théorie du genre se construit peu à peu un cadre institutionnel. En 1995, le mot gender (traduction de « genre ») apparaît pour la première fois dans un texte officiel (à l’occasion du sommet de Pékin, sous l’égide de l’ONU [4] ). En 2000, une directive européenne reconnaît « l’orientation sexuelle » comme critère de discrimination [5]. En 2009 ensuite, un rapport parlementaire européen introduit également l’idée de discriminations fondées sur « l’identité de genre » [6] . En 2010, l’Institut d’études politiques décide d’enseigner la théorie du genre à ses élèves. [7]

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Lire la suite: www.diocese-bayonne.org

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