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jueves, 25 de julio de 2013

«Ëchocophobie»: la peur maladive de l'échec à la Française

« L’échecophobie », 
gangrène de la société Française



En moyenne, 92 % des Européens ont un sentiment négatif sur l'avenir de leur pays ou sur le sort de leurs concitoyens. Dans l'Hexagone, 97 % des ménages voient les choses en noir
Ce que je dénomme par « échocophobie » c'est la peur maladive de l'échec à la Française. En effet, cette véritable phobie de l'échec que nos concitoyens ont développé depuis une trentaine d'années méritait bien un nom !
De tous les pays dans lesquels j'ai eu la chance de vivre, de travailler ou tout simplement de voyager,la France est de loin, la championne toute catégorie en matière d'échecophobie. Un récent sondage montre même que le peuple Français fait partie des peuples les plus pessimistes au monde ! Pourquoi ? Qu'est-ce-qui a bien pu se passer pour que nos concitoyens aient perdu à ce point foi en l'avenir et pour qu'ils aient développé une peur viscérale face à l'échec ?

Winston Churchill a dit un jour « le succès c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme». Je fais partie de ceux pour qui l'échec n'est pas une fin en soi mais le début de l'étape suivante dans une suite d'événements que constitue la vie. J'ai probablement développé une vision très anglo-saxonne de la vie maisje ne pense pas que l'échec soit une expérience négative à partir du moment où un individu analyse les raisons de son échec de façon à corriger les erreurs qui lui ont empêché de remporter la victoire sur un défi qu'il s'était fixé.

Le problème en France c'est que dès notre plus jeune âge, dès l'école maternelle, le système nous inculque que l'échec c'est mal et qu'il faut l'éviter à tout prix. Un peu comme si à l'image des dieux, les hommes pouvaient tout réussir du premier coup. Tenons-le nous pour dit, c'est impossible !

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