Réchauffement climatique :
et si c’était le soleil ?
Si la thèse du GIEC est la bonne – l’élévation de 1 °C au cours du XXe siècle est due au taux de CO2 passé de 280 à 400 parties par million (ppm) à cause de l’industrialisation –, nous avons déclenché l’apocalypse thermique et il est parfaitement illusoire de prendre des mesures comme l’installation d’éoliennes. C’est trop tard. Nous atteindrons des températures inconnues depuis un milliard d’années, et cela très rapidement car notre excédent de CO2 actuel est deux fois plus grand que l’écart de 50 ppm qui séparait les périodes glaciaires des périodes torrides durant le dernier million d’années.
De plus, le GIEC prévoit que le gaz carbonique de l’atmosphère, qui oscillait entre 250 et 300 ppm, atteindra bientôt 700 à 800 ppm au cours du XXIe siècle. Les écarts de température qui étaient jadis d’une dizaine de degrés devraient alors s’amplifier et atteindre des dizaines de degrés !
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La plupart des climato-sceptiques se rallient à l’idée que les phases d’augmentation du nombre de taches solaires – le cycle des 11 ans –, qui engendrent des vents solaires plus puissants, perturbent les rayons cosmiques issus de la Voie lactée (notre galaxie). Or, ces rayons sont à la base des particules ionisantes qui créent les nuages. Ces derniers sont alors moins nombreux et la terre se réchauffe. La corrélation avec l’observation s’avère excellente et a pu être reproduite… en laboratoire.
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