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domingo, 27 de octubre de 2013

Une idéologie qui s’attaque aux repères fondamentaux en niant l’altérité et la complémentarité des sexes


Propagande : les médias relaient la théorie du genre


Dans son Programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre [1] , le gouvernement socialiste entend « s’appuyer sur la jeunesse pour faire évoluer les mentalité » [2] . Pour ce faire, le pouvoir en place n’hésite pas à s’engager à « changer les représentations » : « l’histoire du mouvement LGBT sera valorisée par le ministère de la culture, qui favorisera notamment la collecte et l’utilisation des archives portant sur les questions LGBT au sein du réseau national et territorial dont il assure le suivi interministériel et l’animation » [3] .

Un projet idéologique parfaitement réalisé dans le documentaire « Fille ou garçon, mon sexe n’est pas mon genre ». Produit et diffusé par Arte avec le soutien du Centre National du Cinéma (CNC) (c’est-à-dire avec l’argent du contribuable), le film a pour but, selon les propres termes de la réalisatrice Valérie Mitteaux, de « montrer qu’il y a autant de genres que d’individus ». [4]

A l’instar du « personnage principal » de son documentaire, Lynn Breeedlove, une femme s’étant auto-proclamée homme, Valérie Mitteaux revendique s’être appuyée sur son expérience personnelle pour faire son film : « vers 20 ans, j’ai eu une sorte de révélation, celle d’être ni femme, ni homme, d’être une sorte de terrain vague du genre […] Je me suis seulement laissée aller à mon propre genre, sans nécessité de me coller une étiquette » [5]


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Lire la suite: www.theoriedugenre.fr

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