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sábado, 26 de octubre de 2013

Orbán a accusé l’opposition de mentir et de faire appel à l’étranger pour déloger son gouvernement aux prochaines élections législatives


À six mois des élections législatives, la gauche hongroise n’arrive pas à mobiliser le peuple contre Viktor Orbán


Le 23 octobre à Budapest, les manifestations concurrentes marquant l’anniversaire du soulèvement hongrois de 1956 contre l’Union soviétique ont montré qu’une majorité de Hongrois se moquent bien de ce que peuvent penser les élites politico-médiatiques européennes et continuent de soutenir Viktor Orbán et son parti conservateur Fidesz.

En effet, alors que la gauche et les libéraux unis peinaient à rassembler plus de 15-20 000 manifestants, plusieurs centaines de milliers de Hongrois ont répondu à l’appel du Fidesz. Lors d’un discours prononcé devant les manifestants venus le soutenir, le premier ministre Viktor Orbán a martelé que l’ère de la colonisation de la Hongrie était révolue, rappelant que c’étaient les communistes qui avaient livré le pays et son peuple aux spéculateurs et à la finance internationale, faisant ainsi le lien entre la lutte hongroise d’hier contre les Soviétiques et celle d’aujourd’hui contre une certaine vision de l’Europe. Orbán a aussi accusé l’opposition de mentir et de faire appel à l’étranger pour déloger son gouvernement aux prochaines élections législatives qui se tiendront en avril ou en mai 2014.

Mais à vrai dire l’enjeu pour les partis de gauche n’est pas tant une victoire qui semble hors de portée, à en croire les sondages, que de réduire la majorité des deux tiers détenue par le Fidesz et ses alliés chrétiens-démocrates au parlement hongrois.

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