par Christian Vanneste
Nous marchons sur la tête, mais comme c’est général, seul celui qui est encore sur ses pieds se sent étrangement étranger.
Certes, nous subissons un Président « normal », mais chacun le sent confusément : cette « normalité » est anormale. A cette place, il faudrait être exceptionnel.
Or, le propre de notre époque consiste à supprimer les frontières, et notamment celle qui sépare le normal de l’anormal.
Le mot lui-même, en dehors de l’exception présidentielle, est devenu d’un emploi périlleux.
Vous avez dit « normal » ? Comme c’est bizarre !
C’est même indécent, car cela implique une discrimination en défaveur de ceux qui ne sont pas « normaux ».
Alors, soit il faut sévir pour faire taire cette forme de racisme insupportable, soit il faut compenser en instaurant une discrimination positive, en donnant plus à ceux qui ont moins.
Mais, pour commencer, interdisons-nous le mot ! le normal n’existe pas.
Seules existent des différences qu’on ne peut juger inégales que par rapport à une norme instituée par la caste dominante dans le passé, dont le pouvoir, en cette aube radieuse, est heureusement révolu..............
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Le résultat de ce marxisme devenu fou, de ce canard sans tête
qui continue sa course, c’est une société sens dessus dessous où à force
de renoncer aux normes religieuses, nationales, morales, sexuelles
qui structurent notre civilisation, à force de tolérance avec les intolérants,
on voit s’imposer ici et là, du quartier sensible aux grands médias,
une absence de normalité qui précède une autre normalité beaucoup
moins souple que celle que nous devons abandonner dans la repentance.
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