Vincent Peillon(*) veut détruire
la religion catholique !
Pour que les choses soient bien claires, voici un extraits des propos de Peillon :
« On ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l’Eglise catholique. Donc il faut remplacer ça. [...] On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Comme on ne peut pas non plus acclimater le protestantisme en France comme on l’a fait dans d’autres démocraties, il faut inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine, qui doit accompagner la révolution matérielle, mais qui est la révolution spirituelle, c’est la laïcité. »
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Vincent Peillon dans son livre La Révolution française n’est pas terminée :
« La Révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi . »
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Le retour aux affaires des socialistes, après dix ans d'absence, est une excellente nouvelle pour les obédiences maçonniques, au premier rang desquelles le Grand Orient de France, qui entendent bien peser à nouveau sur le débat politique. Mais discrètement... Décryptage.
«Nous voulons refonder l'école de la République. Et nous voulons refonder la République par l'école!» En cette soirée du 16 novembre, debout derrière le pupitre de l'orateur, dans le grand temple Groussier du Grand Orient de France (GO), au siège parisien de l'obédience, rue Cadet (Paris IXe), Vincent Peillon, le ministre de l'Éducation nationale, sait que l'assistance, composée essentiellement de francs-maçons, lui est acquise.
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Vincent Peillon dans son livre La Révolution française n’est pas terminée :
« La Révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi . »
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Le nouveau pouvoir des francs-maçons
Par Vincent Nouzille
Le retour aux affaires des socialistes, après dix ans d'absence, est une excellente nouvelle pour les obédiences maçonniques, au premier rang desquelles le Grand Orient de France, qui entendent bien peser à nouveau sur le débat politique. Mais discrètement... Décryptage.
«Nous voulons refonder l'école de la République. Et nous voulons refonder la République par l'école!» En cette soirée du 16 novembre, debout derrière le pupitre de l'orateur, dans le grand temple Groussier du Grand Orient de France (GO), au siège parisien de l'obédience, rue Cadet (Paris IXe), Vincent Peillon, le ministre de l'Éducation nationale, sait que l'assistance, composée essentiellement de francs-maçons, lui est acquise.
Sans notes, ce philosophe de formation plaide durant une trentaine de minutes pour le retour d'un pouvoir spirituel républicain - celui de la connaissance et d'une certaine «morale laïque» - dont les enseignants seraient les messagers.
«L'école doit surmonter la crise de l'avenir et celle de l'identité nationale», lance le ministre avec fougue.
Dans le temple, les frères et sœurs écoutent avec ferveur ce discours d'un «profane» qui leur va droit au cœur.
Sans être franc-maçon, Vincent Peillon a beaucoup écrit sur la pensée de Ferdinand Buisson, le bras droit du frère Jules Ferry, père de l'instruction publique en France, et sur Pierre Leroux, un franc-maçon défenseur d'un socialisme fraternel et spiritualiste dans les années 1848-1870. «Peillon partage nos valeurs, c'est un maçon sans tablier», se réjouit l'un des invités de cette soirée.
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(*) Vincent Benoît Camille Peillon est issu du côté maternel d'une famille alsacienne2. Sa mère, Françoise Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), spécialiste en physiopathologiede l'hypophyse et de la prolactine, son grand-père était le professeur Léon Blum (1878-1930)3, grand spécialiste de la physiopathologie rénale à Strasbourg, initiateur de l'insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum (1847-1925) et de Jeannette Lederman, et sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985), née à Caen, fille d'un assureur de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua particulièrement le jeune Vincent4. Son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), coinventeur de la pilule RU 486, professeur honoraire de médecine auCollège de France, président de l'Académie des sciences en 2003 et 2004, et sa tante maternelle est Suzanne de Brunhoff, née en 1929, économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), belle-fille du créateur de Babar5.
Son père Gilles Peillon (1928-2007) était banquier et communiste, il fut directeur général de la première banque soviétique hors d'URSS6, la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobank, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque7.
Vincent Peillon est le frère du journaliste Antoine Peillon, né en 19598.
Il est père de quatre enfants : 2 filles, Salomé et Maya, nées de son premier mariage, et deux fils, Elie et Izaak, nés de son union en secondes noces avec la journaliste Nathalie Bensahel9, rédactrice en chef adjointe au service « Notre Époque » de l'hebdomadaire duNouvel Observateur10. http://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Peillon
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