Faut-il taire le caractère désordonné
de l’acte homosexuel ?
Dans l’hebdomadaire Famille Chrétienne, nous pouvons lire
« Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et désormais président de la Conférence des évêques de France, a réaffirmé qu’il était opposé au « mariage » homosexuel. »
Et puis cette citation de l’archevêque :
« C’est la position de l’Eglise de France. Pas une position anti-homosexualité, une position de la conception du mariage dans la société depuis toujours, en particulier pour ce qui touche à la place de l’enfant ».
Que signifie « pas anti-homosexualité » ? Est-il permis, au sein de l’Eglise qui est en France, de continuer à affirmer que les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés, ainsi que l’enseigne le catéchisme de l’Eglise catholique ?
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