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lunes, 14 de octubre de 2013

Arrête ton bordel, Vincent, c’est la cata. Arrête tout. Lâche le guidon. Prends des vacances. Tu es gentil, allez : laisse-nous


Peillon, la référence éducation






Vincent, Ah, Vincent… Tu permettras que je t’appelle Vincent, après tout, c’est ton prénom et ça sera plus sympathique que répéter « Peillon, peillon » dans tout le billet, parce que payer, nous n’arrêtons pas de le faire actuellement et que ça commence à bien faire. Vincent, mon brave Vincent, je ne pensais pas qu’en prenant ce poste de ministre à l’Education Nationale, tu parviendrais, en quelques mois seulement, à mettre un bordel aussi mémorable dans une institution aussi ancienne. Vincent, mon brave Vincent, tu t’es surpassé.

On savait, avant que tu récupères l’épineux maroquin, que tu étais un dangereux laïcard prêt à toutes les bassesses pour assurer que ta philosophie passerait. Du reste, tu n’avais pris personne en traitre : tout le monde un minimum informé savait que tu utiliserais l’école pour former de bon petits citoyens, républicains, de préférence aussi laïcards que toi, délicieusement imbibés de l’importance indiscutable de l’État, qui partiraient à l’assaut de toutes les religions, boutures vindicatives d’Homme Nouveau que ne renieraient pas les plus grands communistes.

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