Freud et la psychanalyse :
l’escroquerie du XXe siècle ?
Entretien avec Jean du Chazaud, réalisé par Fabrice Dutilleul
Les travaux sur les glandes qu’a développés le docteur Jean Gautier, né en 1891 et mort en 1961, l’ont amené à comprendre les relations du corps et de l’esprit.
Parvenant à démontrer que les facultés supérieures et le caractère des individus sont totalement conditionnés par les actions hormonales, il créait une petite révolution scientifique en affirmant que le système glandulaire était prédominant sur le système nerveux. Celle-ci est pourtant passée inaperçue en raison de cet énorme pavé dans la mare que l’époque n’était pas encore prête à supporter. Le systématisme sexuel freudien avait, pour Jean Gautier, un caractère obsessionnel et cela lui était insupportable. Il se sentait donc d’attaque, avec les nouvelles armes qui étaient les siennes, pour défoncer la forteresse freudienne qui s’avérait finalement bastion de carton. Jean Gautier fournissait les raisons et les mécanismes psychologiques de l’entreprise freudienne de démolition systématique de la liberté humaine, de l’innocence du petit enfant, de la finalité morale de l’homme, fondamentalement ordonnée à tendre vers le bien.
Comment a été reçu ce livre à l’époque ? A-t-il dû faire face à une levée de boucliers des psychanalystes comme cela a été le cas pour Michel Onfray lorsqu’il s’est attaqué à leur idole ?
Vers la fin des années 70, le livre de Jean Gautier n’a pas fait les vagues que l’on pouvait escompter. La raison en est simplement que l’auteur n’était pas connu et a travaillé très longtemps à bas bruit. Quelques recensions ont été produites dans quelques revues. Certaines louaient la valeur heuristique de l’ouvrage, la grande compétence de l’auteur, d’autres la longueur du texte.
Comment a été reçu ce livre à l’époque ? A-t-il dû faire face à une levée de boucliers des psychanalystes comme cela a été le cas pour Michel Onfray lorsqu’il s’est attaqué à leur idole ?
Vers la fin des années 70, le livre de Jean Gautier n’a pas fait les vagues que l’on pouvait escompter. La raison en est simplement que l’auteur n’était pas connu et a travaillé très longtemps à bas bruit. Quelques recensions ont été produites dans quelques revues. Certaines louaient la valeur heuristique de l’ouvrage, la grande compétence de l’auteur, d’autres la longueur du texte.
Ainsi, l’impact a été loin de celui de Michel Onfray, auteur très médiatisé, ce qui permet de pénétrer toutes les couches de la société, et donc susciter la virulence des réactions devant une diffusion massive qui pourrait ébranler la réputation du « mage noir ».
.......................
Lire la suite: www.bvoltaire.fr
En 2010 el libro "El crepúsculo de un ídolo. La afabulación freudiana" provocó una polemica por parte de los psicoanalistas franceses en contra de las afirmaciones de Onfray en ese libro. El autor explica su objetivo de desmitificar a Freud, apartando la leyenda que lo rodea y despejar el camino hacia unas práctica terapeútica eficaz.
.......................
Lire la suite: www.bvoltaire.fr
No hay comentarios:
Publicar un comentario