Une cour argentine renverse une décision protégeant un enfant conçu à la suite d’un viol
BY JEANNE SMITS
Susana Graciela Kauffman, l’un des juges qui ont
renversé la mesure tutélaire de protection de la vie
de l’enfant à naître. C’est elle qui a signé le commentaire
le plus vindicatif en faveur du “droit des femmes”. (1)
Une nouvelle affaire d’avortement sur une adolescente violée agite les médias argentins qui ont pris fait et cause pour la mort de l’enfant porté par une jeune fille de 14 ans, qu’une décision de justice a pourtant tenté de sauver. Vendredi, la justice argentine a mis fin à tout espoir de sauver le tout petit en ordonnant que l’avortement soit pratiqué. On n’attend plus que le passage à l’acte.
Tout éclate le 9 novembre lorsque la mère de la jeune fille, vivant dans la ville « conservatrice » (comme le disent les médias) de Salta, rentre inopunément chez elle pour trouver son concubin en train de violer sa fille. Elle le retient ; l’homme se met à frapper la mère et la fille, cette dernière si durement qu’on l’embarque à l’hôpital. Là, on apprendra que ce n’est pas le premier viol dont elle est victime de la part du concubin de sa mère : elle est enceinte de 3 semaines (de gestation) ; elle n’a rien osé dire parce que son « beau-père », 34 ans, a menacé de tuer la mère et ses trois jeunes frères âgés de 3 à 10 ans.
Depuis un arrêt de la Cour suprême argentine déclarant l’avortement non poursuivable en cas de viol, il n’est plus nécessaire d’obtenir une décision de justice autorisant l’opération. Le viol fut donc dénoncé et la jeune fille et sa mère demandèrent que l’on mette fin à cette vie innocente qui n’était pour rien dans les abominables crimes subis par la jeune fille. Victime avant tout, il faut bien le dire, de la situation familiale où elle se trouvait – combien d’affaires de ce style impliquent des viols perpétrés par des « beaux-pères » venus compenser l’absence de mari ou remplacer un mari congédié !
Devant cette demande d’avortement une assistante chargée des mineurs a interposé une action en justice afin de « défendre la vie du fœtus », chose qui lui a été accordée le 17 décembre dernier par le juge des affaires familiales Victor Soria.
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(1) SALTA LOS JUECES DEJARON SIN EFECTO LA CAUTELAR Y PIDIERON QUE SE INVESTIGUE SU DESEMPEÑO
La Corte revocó el freno al aborto no punible - 28.12.13 La Corte dice que el juez Soria se apartó de la jurisprudencia, por lo que revocó su sentencia y lo manda a investigar. Leer más aquí: www.eltribuno.info
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