EMERGENCE DE L’HUMOUR CHINOIS
Ah, l’humour anglais, c’est quelque chose. Ou plutôt c’était.
Le nonsense se cultivait dans les bonnes écoles de la high society ; il faisait de l’aristocratie british une espèce vraiment à part, capable de tisser des raisonnements absurdes avec une rationalité sans faille, capable de masquer ses sentiments vénéneux sous le fard d’une autodérision spirituelle.
Il en est résulté des œuvres immémoriales : celles de Lewis Caroll et d’Oscar Wilde, celles de Jonathan Swift, de George Bernard Shaw ou de Beckett pour la touche irlandaise.
Depuis, l’humour anglais s’est singulièrement altéré.
Le nonsense se cultivait dans les bonnes écoles de la high society ; il faisait de l’aristocratie british une espèce vraiment à part, capable de tisser des raisonnements absurdes avec une rationalité sans faille, capable de masquer ses sentiments vénéneux sous le fard d’une autodérision spirituelle.
Il en est résulté des œuvres immémoriales : celles de Lewis Caroll et d’Oscar Wilde, celles de Jonathan Swift, de George Bernard Shaw ou de Beckett pour la touche irlandaise.
Depuis, l’humour anglais s’est singulièrement altéré.
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