On ne change pas une équipe qui gagne…
mais une équipe qui perd ?
par Christian Venneste
C’est d’une révolution dont les Français ont besoin. Celle-ci passe par l’instauration d’une société de confiance, qu’on ne saurait espérer de la classe politique qui encombre aujourd’hui les allées du pouvoir.
Tandis qu’au Brésil, l’équipe de France retrouve des couleurs, la France réelle offre un paysage de désolation où alternent les chiffres désastreux du pouvoir et les « affaires » calamiteuses de l’opposition.
Quels que soient les résultats du Mondial et les passions qui auront animé beaucoup de Français, ces spectacles sportifs de grande qualité n’ont rien à voir avec la réalité du pays. On peut même s’inquiéter de leur capacité à détourner l’attention des vrais problèmes. Les opposants à Salazar au Portugal disaient qu’il s’appuyait sur les trois « F », Fatima, Fado et Football. On peut s’interroger sur la force du troisième y compris en France. Certains hommes politiques se donnent beaucoup de mal pour faire croire qu’ils s’intéressent au football et pour associer leur image à l’équipe nationale. La ficelle démagogique est un peu grosse.
C’est au moment où le football français collectionnait les titres que la France se lançait dans une politique suicidaire de réduction du temps de travail et faisait l’impasse sur les réformes absolument nécessaires. […]
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