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domingo, 13 de abril de 2014

Dans Le Complexe occidental. Petit traité de déculpabilisation, Alexandre Del Valle propose un antidote au virus de la haine de soi collective, ce cancer qui ronge l'Occident de l'intérieur


L'Occident plaide non-coupable


Dans Le Complexe occidental. Petit traité de déculpabilisation, Alexandre Del Valle propose un antidote au virus de la haine de soi collective, ce cancer qui ronge l'Occident de l'intérieur, maladie de nature totalitaire qui tend à faire disparaitre notre civilisation. 

Pages après pages, l'auteur démonte avec arguments et rappels historiques les mensonges devenus lieux communs et montre que nous pouvons être fiers de notre Histoire. 

Il dénonce notamment cette culpabilisation qui a atteint même des catholiques ayant une conception pervertie du verset de l'Evangile demandant de "tendre la joue gauche" :

"Certes, un chrétien connaissant le droit canon rappellera que la charité n'a pas le même sens en grec et en latin (forme d'amour le plus noble) qu'en français courant (aide aux malheureux, compassion), et que les Pères de l'Eglise n'ont jamais invité les chrétiens à se livrer collectivement à leurs ennemis, le martyre du Christ n'étant ni une fin en soi ni une action à reproduire de façon quasi masochiste, mais seulement l'accomplissement de l'Ecriture annonçant le triomphe de l'amour sur la mort et le péché. 
Le chrétien pratiquant expliquera à juste titre que la culpabilisation collective pathologique de l'Europe n'est qu'une perversion d'une noble aptitude à reconnaître sa faute et qu'elle n'est pas le fruit doctrinal de la foi chrétienne, laquelle accorde au contraire le pardon et supprime le cercle infernal de la culpabilisation. 
Mais il est également vrai que lorsque l'enseignement et la pratique d'une religion diminuent, les attitudes psychologiques inhérentes à cette foi, qui a façonné la culture, l'histoire et donc l'âme des peuples, demeurent, certes de façon souvent édulcorée."




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