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domingo, 5 de agosto de 2012

« Homoparentalité »: a-t-on encore le droit de se demander si le monde n’est pas devenu complètement fou ?


Contrat de “mère porteuse” : un nouvel esclavagisme

L’un des corollaires obligatoires du « mariage » homosexuel est l’« homoparentalité », puisque qui dit mariage dit famille et donc enfants, que ce soit par voie d’adoption, de fécondation artificielle pour les lesbiennes ou de mère porteuse pour les gays. La « gestation pour autrui » s’adresse aussi aux couples hétérosexuels, en principe pour pallier une incapacité de la femme à porter l’enfant, voire – des cas sont répertoriés – pour répondre à un simple désir de confort, celui de s’éviter les désagréments d’une grossesse. 
Le Centro de Bioética basé à Buenos Aires vient d’analyser un contrat de « location de ventre » tel qu’il se pratique au Pulse Hospital à Ahmedabad en Inde, relevant qu’il s’agit bien d’une exploitation de la femme et d’une commercialisation du corps humain, alors que le débat en cours sur le nouveau code civil argentin porte notamment sur la « location de ventres » dont la légalisation est prévue en son article 562.
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Un couple gay et sourd obtient un enfant par “FIV” sur une mère porteuse…

par JEANNE SMITS 
Le site de veille bioéthique BioEdge rapporte cette information du Times of India. Une clinique de Mumbai, la clinique Rotunda spécialisée dans la fourniture de bébés aux couples homosexuels, a permis à un couple gay, Alan et Brian, d’obtenir des jumeaux grâce à une fécondation in vitro sur une mère porteuse avec des ovules fournis par une autre femme indienne et fertilisés avec les spermatozoïdes d’Alan. Un garçon et une fille sont nés le 1er mai dernier. Vu les lois indiennes, le couple n’aura aucune difficulté à faire reconnaître la paternité de l’enfant et sa nationalité américaine : les deux hommes ont pu rentrer sans encombre chez eux aux Etats-Unis avec les enfants.
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Mexique : alors,mère ou grand-mère ?

 par JEANNE SMITS
Une Mexicaine de cinquante ans a donné naissance, il y a quelques jours, à l’enfant de son fils homosexuel. Quand on dit que la fécondation in vitro  – FIV – aboutit au plus ahurissant des brouillages de cartes, on est encore en-deçà de la réalité…
Cette femme, donc, se désolait de voir son fils seul et sans enfant à 30 ans passés. Un reportage à la télévision où l’on expliquait que, comme mère porteuse, il n’y avait rien de tel que la propre grand-mère de l’enfant à « fabriquer » l’avait bouleversée. Mais oui, elle allait « prêter » son utérus à son grand fils – donnant, donnant, en quelque sorte, car celui-ci, plusieurs années auparavant, avait donné un rein à son père malade…
Ledit fils, en l’occurrence, n’était pas très enthousiaste. Mais la future grand-mère qui désespérait d’avoir jamais un petit-enfant, bien que mère de trois garçons, fit son siège.
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