par Christian Vanneste
Les Français devraient au lendemain de la rentrée gouvernementale méditer cette maxime de Sénèque : » Il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va. »
Certes, comme à chaque changement de majorité, on a droit à l’incantation sur le redressement, c’est-à-dire sur la volonté de réparer les épouvantables conséquences des fautes de l’autre camp, mais quel est l’objectif ?
Quand la France sera-t-elle debout, toute droite, si j’ose dire ?
- La politique économique et fiscale de Nicolas Sarkozy avait manqué son départ, puis elle s’était améliorée trop faiblement et trop tardivement, avec un grand emprunt étriqué et une TVA post mortem.
- On pouvait lui reprocher des gadgets, comme l’augmentation de 30% des droits à construire, mais il y avait, au moins, une conscience des problèmes et de leurs solutions.
- On est aujourd’hui passé des gadgets aux mesurettes contradictoires, de la lueur d’un jour naissant à l’obscurité d’une nuit revenue.
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