Mgr Luc Ravel est nommé archevêque de Strasbourg
Source: lesalonbeige.blogs.com
Lu ici :
"L’information doit paraître ce samedi matin au Journal officiel de la République françaiseainsi que dans les colonnes de l’Osservatore Romano, le journal officiel du Vatican : Mgr Luc Ravel a été nommé par le pape François nouvel archevêque de Strasbourg. Il succédera donc à Mgr Jean-Pierre Grallet, qui avait remis sa démission au printemps 2016, après avoir atteint en mai la limite d’âge fixée pour les évêques à 75 ans. Mgr Ravel deviendra ainsi le 106e évêque de Strasbourg depuis saint Amand, au IVe siècle.
Cette nomination est également publiée au Journal officiel parce que le diocèse de Strasbourg est concordataire et que le décret de nomination doit être signé par le président de la République.
Âgé de 58 ans, Mgr Ravel était depuis 2009 évêque du diocèse aux armées françaises."
Son successeur à la tête du diocèse aux armées n'est pas encore connu :
Deo Gratias
Cette nomination est également publiée au Journal officiel parce que le diocèse de Strasbourg est concordataire et que le décret de nomination doit être signé par le président de la République.
Âgé de 58 ans, Mgr Ravel était depuis 2009 évêque du diocèse aux armées françaises."
Son successeur à la tête du diocèse aux armées n'est pas encore connu :
"Fils de général, diplômé de l’École polytechnique et l’École nationale supérieure des pétroles et moteurs, il a su gagner le respect du monde militaire, tant à l’État-major que dans les régiments, promenant son treillis d’aumônier militaire en chef sur les nombreux terrains d’opérations extérieures où il s’est rendu, de l’Afghanistan au Mali en passant par le Liban, la Jordanie ou encore la Centrafrique. Grand sportif, d’approche directe et chaleureuse, il allie un regard bleu souriant à une parole sans langue de bois, suscitant parfois la polémique.
Ainsi, une longue tribune publiée en février 2015 dans la revue de l’aumônerie militaire catholique des armées, dans laquelle il écrivait le refus des chrétiens d’être pris en otage « par des bien-pensants dont l’idéologie fait chaque année 200 000 victimes dans le sein de leur mère » avait entraîné de nombreuses protestations. Le diocèse aux Armées avait alors cessé d’apposer le logo du ministère de la défense sur sa revue, l’évêque gardant ainsi sa liberté de ton, illustrée par sa devise épiscopale : « Est est », autrement dit « que votre oui soit oui ».
Deo Gratias
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