Communiqué
Le mois de janvier 2014 sera un mois de luttes !
Rendez-vous les 19 et 26 janvier prochains:
nombreux, calmes et déterminés.
Le défunt président de la République, François Mitterrand, avait, en son temps, fustigé les institutions de la Ve République en dénonçant Le coup d’État permanent. Et pourtant il n’avait pas connu la concomitance des élections présidentielles et législatives qui donne, dans les faits, les pleins pouvoirs au gouvernement et au Président de la République pendant cinq années. Plus sage que ses successeurs, il avait tenu compte, en 1984, de la formidable mobilisation populaire contre son projet de nationalisation de l’enseignement privé.
Le gouvernement de François Hollande mène quant à lui, depuis presque deux années, une politique systématique de destruction de tous les corps intermédiaires qui protègent l’individu contre l’omnipotence de l’État. La famille, l’Église catholique, les petites entreprises, le peuple de France attaché à son terroir et son clocher… sont ouvertement méprisés par le gouvernement qui multiplie à leur encontre les vexations et les mesures d’extorsion fiscale (augmentation de la TVA, baisse du quotient familial, facilitation des procédures de divorce, impunité des Femen...). La loi civile n’est plus une règle au service du bien commun mais la reconnaissance sociale de tous les comportements promus par des lobbys qui semblent d’autant plus puissants qu’ils sont plus minoritaires. La démocratie moderne dont certains avaient craint qu’elle ne débouche sur la dictature de la majorité s’avère être, en réalité, la dictature de certaines minorités.
Dans une société où s’est imposé le culte de l’individu-roi ne reconnaissant comme seule loi impérative que la satisfaction immédiate de ses envies et désirs, il est logique que les personnes les plus menacées soient les plus faibles : enfants à naître, malades en fin de vie, personnes âgées, handicapés… Ce sont eux, en effet, qui pèsent sur le budget de la Sécurité Sociale, empêchent de partir en vacances, contraignent à des visites régulières, etc.
Dans une société où s’est imposé le culte de l’individu-roi ne reconnaissant comme seule loi impérative que la satisfaction immédiate de ses envies et désirs, il est logique que les personnes les plus menacées soient les plus faibles : enfants à naître, malades en fin de vie, personnes âgées, handicapés… Ce sont eux, en effet, qui pèsent sur le budget de la Sécurité Sociale, empêchent de partir en vacances, contraignent à des visites régulières, etc.
Dès le 20 janvier 2014, un projet de loi proposera à l’Assemblée nationale de franchir une nouvelle étape dans la banalisation de l’avortement. En effet, il s’agira d’étendre le délit d’entrave à l’avortement à toute information dissuasive sur l’IVG. En clair, sera punissable par la loi (2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende) toute information qui alerterait sur les conséquences psychologiques ou physiques de l’avortement.
Même si l’ensemble de la classe politico-médiatique, du crypto-robespierriste Mélenchon (Front de Gauche) au national-républicain Philippot (Front National), est acquise au droit à l’avortement, notre résistance, à l’heure où l’Espagne s’apprête à voter une loi de progrès au service de la vie, n’est pas un baroud d’honneur mais un geste prophétique car, un jour ou l’autre, la vérité éclate et Dieu réaffirme ses droits. Dans la démocratie confisquée qui est la nôtre, la rue est le dernier espace de liberté où peuvent s’exprimer les voix dissonantes de la défense de la vie humaine innocente, de la conception à la mort naturelle. C’est à un enjeu de civilisation que nous sommes conviés par le collectif En marche pour la vie ! le dimanche 19 janvier à 14 h 30 place Denfert-Rochereau.
Même si l’ensemble de la classe politico-médiatique, du crypto-robespierriste Mélenchon (Front de Gauche) au national-républicain Philippot (Front National), est acquise au droit à l’avortement, notre résistance, à l’heure où l’Espagne s’apprête à voter une loi de progrès au service de la vie, n’est pas un baroud d’honneur mais un geste prophétique car, un jour ou l’autre, la vérité éclate et Dieu réaffirme ses droits. Dans la démocratie confisquée qui est la nôtre, la rue est le dernier espace de liberté où peuvent s’exprimer les voix dissonantes de la défense de la vie humaine innocente, de la conception à la mort naturelle. C’est à un enjeu de civilisation que nous sommes conviés par le collectif En marche pour la vie ! le dimanche 19 janvier à 14 h 30 place Denfert-Rochereau.
Dans ce combat eschatologique la prière de réparation et de demande ne saurait être oubliée. Elle se concrétisera dans la Veillée pour la Vie, le samedi 18 janvier, en l’église Saint-François-Xavier, de 20 h 30 à 21 h 45, et le chapelet médité en fin de cortège le dimanche 19 janvier avec SOS-Tout-Petits.
Nous y serons !
Le Jour de colère du dimanche 26 janvier rassemblera, quant à lui, au cri de Hollande démission, tous les Français qui se sentent menacés dans leur identité, leurs libertés, leurs convictions, leur niveau de vie, leurs responsabilités éducatives… par la dictature internationale-socialiste, caricature de la démocratie totalitaireannoncée par George Orwell dans son roman 1984. Nous serons, bien sûr, parmi les « catholiques en colère » au rendez-vous Place de la Bastille à 14 h.
Si le travail de fond qui doit permettre de passer des conséquences déplorées aux causes analysées est une nécessité absolue, tout ce qui peut contribuer au réveil de notre pays et freiner sa descente aux enfers doit être soutenu.
Rendez-vous les 19 et 26 janvier prochains nombreux, calmes et déterminés. RC
Rendez-vous les 19 et 26 janvier prochains nombreux, calmes et déterminés. RC
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