Quatre mois avant De Gaulle,
Pétain acclamé à Paris
D’un discours à l’autre… la même foule.
De Gaulle rentre dans la capitale l’après-midi du 25 août 1944.
A la gare Montparnasse, le général Leclerc lui remet la lettre de reddition du gouverneur allemand, Von Choltitz, arrêté le matin même à l’hôtel Meurice.
Malgré les réverbères éteints, faute d’électricité et les habitants privés de bus, de métro et pratiquement de voitures, la capitale, se réveille avec ferveur de quatre années d’occupation.
Un peu partout les gens descendent dans la rue manifester leur joie.
Les drapeaux tricolores, sortis comme par miracle, fleurissent jusqu’au au sommet de la tour Eiffel.
Sur le parvis de l’Hôtel de ville, les ministres et commissaires de la République qui viennent d’être nommés attendent le chef de la Résistance.
C’est ici que ce dernier prononce sont célèbre discours : « Nous sommes ici… Nous sommes ici chez nous ! Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé mais Paris libéré ! »
Dans cette allocution l’homme de Londres à deux objectifs fondamentaux :
Démontrer qu’il faut remettre le pouvoir à un gouvernement et non installer une administration américaine, que la France ressentirait comme une deuxième occupation.
Prouver que la France après les périodes sombres de da défaite redevient une grande nation rassemblée autour de sa personne.
Démontrer qu’il faut remettre le pouvoir à un gouvernement et non installer une administration américaine, que la France ressentirait comme une deuxième occupation.
Prouver que la France après les périodes sombres de da défaite redevient une grande nation rassemblée autour de sa personne.
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