Le catholicisme fut le promoteur le plus efficace du développement populaire de l'intelligence humaine.
Source: lesalonbeige.blogs.com
- le 29 mars 1880 : Jules Ferry institue en France l'enseignement laïc, gratuit et obligatoire, il en profite pour faire passer deux décrets contre les congrégations.
Jules Ferry prend deux décrets : le premier contraint, dans un délai de trois mois, les Jésuites à quitter leurs établissements, alors que le second oblige les congrégations non autorisées à faire une demande d'autorisation. Le XIXe siècle est celui de l'essor des congrégations et du renouveau de la foi en France, il marque également le début d'une « persécution » de la part des gouvernements successifs aboutissant à la sécularisation forcée ou à la dispersion des congréganistes.
Républicain athée et franc-maçon, issu d'une riche famille de libres penseurs de Saint-Dié, Jules Ferry donne aux enseignants des congrégations catholiques le même délai pour se mettre en règle avec la loi nouvelle sous peine de quitter aussi l'enseignement. Cela aboutit à l'expulsion de 38 congrégations masculines soit plus de 5000 religieux.
Voulant « arracher l'âme de la jeunesse française », Jules Ferry engage la lutte contre les congrégations religieuses. La veille Jules Ferry propose une loi instituant l'obligation scolaire de 6 à 13 ans. Déjà un premier décret a imposé aux jésuites d'évacuer les établissements scolaires d'ici à trois mois. Un second va inviter les compagnies non autorisées à régulariser leur situation dans le même délai. L'application de ses décrets aboutit à la dispersion de cinq mille congréganistes.
Jean Guiraud rejoint les écrits de Renée Casin dans son livre Les Catholiques et la révolution française. En effet, avec le tome 3 de son livre Histoire partiale - Histoire vraie, au chapitre XIII, il rétablit la vérité sur l'état de l'enseignement en France avant la révolution :
« La légende révolutionnaire s'évanouit devant les constatations de la science historique. Les nombreux érudits qui, dans toutes les régions de la France, ont interrogé les archives locales, sont unanimes à proclamer qu'avant 1789, et en général pendant les deux siècles qui ont précédé la Révolution, les écoles populaires ont été multipliées dans les villes et les campagnes dispensant l'instruction aux ouvriers et aux paysans, le plus souvent gratuitement. »
Son chapitre s'appuie sur de nombreuses sources officielles entre autres les rapports alarmistes des préfets pour Napoléon Bonaparte. Beaucoup comparent la situation de l'enseignement d'avant la révolution pour la louer en comparaison du désert intellectuel d'alors. Surtout, l'enseignement, très souvent gratuit, n'était pas assumé par l'Etat mais par l'Eglise sans aucune contrepartie financière.
Et Jean GUIRAUD de conclure sur une citation du fondateur de l'école positiviste, Auguste Comte :
« Le catholicisme fut le promoteur le plus efficace du développement populaire de l'intelligence humaine. […] C'était d'ailleurs ce que lui reprochaient les philosophes du XVIIIe siècle. Dans une lettre à son ami Damilaville datée du 1er avril 1766 et se terminant par son cri habituel de guerre contre le christianisme « Ecrasons l'infâme ! » Voltaire déplore le développement de l'instruction populaire de son temps : « Je crois que nous ne nous entendons pas sur l'article du peuple que vous croyez digne d'être instruit. J'entends par peuple la populace qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire... Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir, comme moi, une terre et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n'est pas le manœuvre qu'il faut instruire, c'est le bon bourgeois, c'est l'habitant des villes ; cette entreprise est assez forte et assez grande. ». […] Un autre philosophe, le procureur général La Chalotais, reprochait aux Frères de la Doctrine chrétienne l'enseignement qu'ils donnaient au peuple : « Les Frères de la Doctrine chrétienne qu'on appelle ignorantins sont survenus pour achever de tout perdre. Ils apprennent à lire et à écrire à des gens qui n'eussent dû apprendre qu'à dessiner et à manier le rabot. Le bien de la Société demande que les connaissances du peuple ne s'étendent pas plus loin que ses occupations. Parmi les gens du peuple il n'est presque nécessaire de savoir lire et écrire qu'à « ceux qui vivent par ces arts ou que ces arts font vivre ».
Et Voltaire écrivait à La Chalotais pour le féliciter de penser ainsi. »
-.-.-.-.-.-.-.-.-.-
Quand Hollande rend hommage à un raciste, le jour de son investiture !
Source: lesalonbeige.blogs.com
- le 29 mars 1880 : Jules Ferry institue en France l'enseignement laïc, gratuit et obligatoire, il en profite pour faire passer deux décrets contre les congrégations.
Jules Ferry prend deux décrets : le premier contraint, dans un délai de trois mois, les Jésuites à quitter leurs établissements, alors que le second oblige les congrégations non autorisées à faire une demande d'autorisation. Le XIXe siècle est celui de l'essor des congrégations et du renouveau de la foi en France, il marque également le début d'une « persécution » de la part des gouvernements successifs aboutissant à la sécularisation forcée ou à la dispersion des congréganistes.
Républicain athée et franc-maçon, issu d'une riche famille de libres penseurs de Saint-Dié, Jules Ferry donne aux enseignants des congrégations catholiques le même délai pour se mettre en règle avec la loi nouvelle sous peine de quitter aussi l'enseignement. Cela aboutit à l'expulsion de 38 congrégations masculines soit plus de 5000 religieux.
Voulant « arracher l'âme de la jeunesse française », Jules Ferry engage la lutte contre les congrégations religieuses. La veille Jules Ferry propose une loi instituant l'obligation scolaire de 6 à 13 ans. Déjà un premier décret a imposé aux jésuites d'évacuer les établissements scolaires d'ici à trois mois. Un second va inviter les compagnies non autorisées à régulariser leur situation dans le même délai. L'application de ses décrets aboutit à la dispersion de cinq mille congréganistes.
Jean Guiraud rejoint les écrits de Renée Casin dans son livre Les Catholiques et la révolution française. En effet, avec le tome 3 de son livre Histoire partiale - Histoire vraie, au chapitre XIII, il rétablit la vérité sur l'état de l'enseignement en France avant la révolution :
« La légende révolutionnaire s'évanouit devant les constatations de la science historique. Les nombreux érudits qui, dans toutes les régions de la France, ont interrogé les archives locales, sont unanimes à proclamer qu'avant 1789, et en général pendant les deux siècles qui ont précédé la Révolution, les écoles populaires ont été multipliées dans les villes et les campagnes dispensant l'instruction aux ouvriers et aux paysans, le plus souvent gratuitement. »
Son chapitre s'appuie sur de nombreuses sources officielles entre autres les rapports alarmistes des préfets pour Napoléon Bonaparte. Beaucoup comparent la situation de l'enseignement d'avant la révolution pour la louer en comparaison du désert intellectuel d'alors. Surtout, l'enseignement, très souvent gratuit, n'était pas assumé par l'Etat mais par l'Eglise sans aucune contrepartie financière.
Et Jean GUIRAUD de conclure sur une citation du fondateur de l'école positiviste, Auguste Comte :
« Le catholicisme fut le promoteur le plus efficace du développement populaire de l'intelligence humaine. […] C'était d'ailleurs ce que lui reprochaient les philosophes du XVIIIe siècle. Dans une lettre à son ami Damilaville datée du 1er avril 1766 et se terminant par son cri habituel de guerre contre le christianisme « Ecrasons l'infâme ! » Voltaire déplore le développement de l'instruction populaire de son temps : « Je crois que nous ne nous entendons pas sur l'article du peuple que vous croyez digne d'être instruit. J'entends par peuple la populace qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire... Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir, comme moi, une terre et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n'est pas le manœuvre qu'il faut instruire, c'est le bon bourgeois, c'est l'habitant des villes ; cette entreprise est assez forte et assez grande. ». […] Un autre philosophe, le procureur général La Chalotais, reprochait aux Frères de la Doctrine chrétienne l'enseignement qu'ils donnaient au peuple : « Les Frères de la Doctrine chrétienne qu'on appelle ignorantins sont survenus pour achever de tout perdre. Ils apprennent à lire et à écrire à des gens qui n'eussent dû apprendre qu'à dessiner et à manier le rabot. Le bien de la Société demande que les connaissances du peuple ne s'étendent pas plus loin que ses occupations. Parmi les gens du peuple il n'est presque nécessaire de savoir lire et écrire qu'à « ceux qui vivent par ces arts ou que ces arts font vivre ».
Et Voltaire écrivait à La Chalotais pour le féliciter de penser ainsi. »
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Quand Hollande rend hommage à un raciste, le jour de son investiture !
http://www.liberation.fr/politiques/2012/05/13/une-courte-victoire-demographique_818434
Pourquoi donc prendre comme exemple cet homme, qui osait faire entendre à l’Assemblée Nationale, le 28 juillet 1885, « que les races supérieures avaient un droit sur les races inférieures » ?
http://www.dailymotion.com/video/xqtyty_l-hommage-de-hollande-a-jules-ferry-cree-la-polemique_news
Une situation rappelant les propos de Claude Guéant, qui en février dernier déclarait que toutes les « civilisations ne se valent pas ». François Hollande avait alors répondu que c’était «une provocation de dire qu’il y a une hiérarchie entre les civilisations». Et antérieurement, Jean Marie Le Pen, qui en 1996, citait Jules Ferry pour justifier une «hiérarchie entre les races».
http://www.ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/CAC96047803/entretien-avec-jean-marie-le-pen.fr.html
Souvenons-nous, c’était l’époque où on l’appelait Ferry-Tonkin. Les fondateurs de la IIIe République, dont il fut l’un des farouches colonialistes, œuvraient pour la plus grande gloire de la France, en quête, après l’humiliation de 1870, d’un empire en Afrique et en Asie. Ils étaient colonialistes et fiers de l’être comme on est aujourd’hui européen.
Il avait comme autre certitude, que la science allait remplacer la religion. Le savoir, la transmission allaient être la panacée. L’instituteur, le hussard noir de la République, allait œuvrer pour l’unité nationale, unifiant sous le même enseignement, l’écolier breton, basque ou savoyard, mais aussi annamite ou cochinchinois. Il était désormais interdit de parler le patois. On allait dorénavant lutter contre l’enseignement religieux, encore dominant à l’époque, en chassant les Jésuites et les maristes, trop indépendants par rapport au pouvoir ! On ne compte plus le nombre d’écoles se dénommant Jules Ferry ! Heureusement que dans celles-ci, l’ignorance semble primer sur le savoir, autrement de nombreux élèves français d’origine étrangère demanderaient de les baptiser d’un autre nom. Il est intéressant de remarquer, que Ferry fut aussi celui qui en janvier 1871, imposa à Paris assiégé par les Prussiens, des mesures de restriction, qui lui valurent le surnom de « Ferry la famine » ? Hollande n’aurait-il pas l’intention de laisser l’histoire l’affubler du même qualificatif « Hollande la famine » ? Il est bien parti pour ! Car Hollande commence son mandat par des gourdes, qui ne peuvent être que de mauvais présages pour l’avenir ! Et quand il choisit Jean-Marc Ayrault comme premier ministre, il s’enfonce encore plus ! N’avait-il pas été condamné à une peine de six mois de prison avec sursis et 30 000 F d’amende pour avoir octroyé de décembre 1991 à décembre 1993, sans mise en concurrence, ni avoir recours à des appels d’offres et sans réaliser de contrat, le marché d’impression du journal municipal « Nantes Passion » dont le budget d’impression s’élevait à 6 millions de francs par an ? Aidons donc Hollande à choisir son équipe, en lui donnant une liste d’élus déjà condamnés par la justice :
http://www.mdamemichu.com/hollande-prepare-son-gouvernement-exclusif/
Pourquoi donc prendre comme exemple cet homme, qui osait faire entendre à l’Assemblée Nationale, le 28 juillet 1885, « que les races supérieures avaient un droit sur les races inférieures » ?
http://www.dailymotion.com/video/xqtyty_l-hommage-de-hollande-a-jules-ferry-cree-la-polemique_news
Une situation rappelant les propos de Claude Guéant, qui en février dernier déclarait que toutes les « civilisations ne se valent pas ». François Hollande avait alors répondu que c’était «une provocation de dire qu’il y a une hiérarchie entre les civilisations». Et antérieurement, Jean Marie Le Pen, qui en 1996, citait Jules Ferry pour justifier une «hiérarchie entre les races».
http://www.ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/CAC96047803/entretien-avec-jean-marie-le-pen.fr.html
Souvenons-nous, c’était l’époque où on l’appelait Ferry-Tonkin. Les fondateurs de la IIIe République, dont il fut l’un des farouches colonialistes, œuvraient pour la plus grande gloire de la France, en quête, après l’humiliation de 1870, d’un empire en Afrique et en Asie. Ils étaient colonialistes et fiers de l’être comme on est aujourd’hui européen.
Il avait comme autre certitude, que la science allait remplacer la religion. Le savoir, la transmission allaient être la panacée. L’instituteur, le hussard noir de la République, allait œuvrer pour l’unité nationale, unifiant sous le même enseignement, l’écolier breton, basque ou savoyard, mais aussi annamite ou cochinchinois. Il était désormais interdit de parler le patois. On allait dorénavant lutter contre l’enseignement religieux, encore dominant à l’époque, en chassant les Jésuites et les maristes, trop indépendants par rapport au pouvoir ! On ne compte plus le nombre d’écoles se dénommant Jules Ferry ! Heureusement que dans celles-ci, l’ignorance semble primer sur le savoir, autrement de nombreux élèves français d’origine étrangère demanderaient de les baptiser d’un autre nom. Il est intéressant de remarquer, que Ferry fut aussi celui qui en janvier 1871, imposa à Paris assiégé par les Prussiens, des mesures de restriction, qui lui valurent le surnom de « Ferry la famine » ? Hollande n’aurait-il pas l’intention de laisser l’histoire l’affubler du même qualificatif « Hollande la famine » ? Il est bien parti pour ! Car Hollande commence son mandat par des gourdes, qui ne peuvent être que de mauvais présages pour l’avenir ! Et quand il choisit Jean-Marc Ayrault comme premier ministre, il s’enfonce encore plus ! N’avait-il pas été condamné à une peine de six mois de prison avec sursis et 30 000 F d’amende pour avoir octroyé de décembre 1991 à décembre 1993, sans mise en concurrence, ni avoir recours à des appels d’offres et sans réaliser de contrat, le marché d’impression du journal municipal « Nantes Passion » dont le budget d’impression s’élevait à 6 millions de francs par an ? Aidons donc Hollande à choisir son équipe, en lui donnant une liste d’élus déjà condamnés par la justice :
http://www.mdamemichu.com/hollande-prepare-son-gouvernement-exclusif/
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