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miércoles, 22 de diciembre de 2021

Zone d’éducation prioritaire (ZEP): les lycéens, le droit à la critique des religions et les formes de contestation de la laïcité à l’école

 

L’Islam au lycée : un Etat dans l’Etat ?


L’IFOP a sorti un sondage sur Les lycéens, le droit à la critique des religions et les formes de contestation de la laïcité à l’école. Les chiffres témoignent de la gangrène islamique dans les lycées, et particulièrement ceux qui sont situés en zone d’éducation prioritaire (ZEP).

Le séparatisme religieux n’est pas un phantasme d’extrême droite, c’est une réalité bien concrète que les lycéens français vivent chaque jour en cours, à la cantine ou dans les sanitaires. Le sondage que l’IFOP a réalisé pour la Licra met en lumière le séparatisme islamique, largement surreprésenté par rapport aux autres opinions religieuses, et l’environnement néfaste de la ZEP : 56% des lycéens inscrits dans un lycée prioritaire ont déjà entendu des élèves réclamer des menus conformes à leurs pratiques confessionnelles, en particulier halal et casher. Ils sont également 40% à avoir été témoins de contestations au sujet des repas de Noël, des sapins de Noël ou des galettes des rois au prétexte qu’ils auraient des références religieuses.

Les ZEP, fossoyeuses des modes de vie et de pensée français

Ce sondage donne une vision des lycées de ZEP s’enfonçant peu à peu dans une logique comparable à celle de la ségrégation : 30% des lycéens de ZEP ont constaté l’installation dans les toilettes de robinets réservés aux élèves en fonction de leur religion ! Les regroupements communautaires se manifestent également à la cantine, quand l’organisation des tables se fait en fonction des religions (33% en ZEP).

Ces comportements ont une incidence directe sur les cours puisque de nombreuses jeunes filles refusent par exemple les séances de natation (40% en lycée prioritaire) ou les cours d’éducation physique et sportive (47% en lycée prioritaire contre 24% ailleurs)., Les cours de musique aussi sont é parfois bannis : 42% des élèves de lycées prioritaires ont constaté des absences au nom de convictions religieuses.

Quant aux autres matières, sans forcément quitter la salle, certains élèves les remettent souvent en cause : toujours dans les lycées prioritaires, 58% des lycéens ont été confrontés à des protestations pendant des cours d’enseignement moral et civique ; 51%, pendant des cours ou pour des propos portant sur la mixité garçons-filles ; 54%, lorsqu’il est question de laïcité ; 58%, pendant des cours d’éducation à la sexualité ou consacrés à l’égalité garçons-filles ; 53% en histoire-géographie, 56% en sciences et vie de la Terre, 54% en lettres et philosophie, 51% en éducation artistique. Dans les autres lycées, ces pourcentages tournent autour de 25%.

Le sondage met en lumière un cocktail explosif composé de lycées qui ont un mauvais niveau, de lycées situés en ZEP, de lycéens perçus comme non-blancs et de lycéens musulmans. Les élèves issus de ces catégories manifestent un communautarisme beaucoup plus fort que la moyenne. Si on observe la proportion de lycéens ayant déjà vu des élèves récuser au moins un enseignement au nom de leur religion, on obtient 70% chez les lycéens musulmans, 74% dans les lycées prioritaires et 70% parmi les « non-blancs » ; des chiffres qui se recoupent assez bien.


Source : sondage IFOP

Un refus d’assimilation de certaines populations musulmanes

Quelles conclusions tirer de ce sondage ? Il montre sans ambiguïté que les adolescents musulmans rejettent majoritairement le modèle de civilisation que leur propose la France et auquel ils sont censés s’assimiler. Le problème ne peut que s’amplifier si l’on en croit les taux de natalité : les femmes françaises ont 1,8 enfants et les femmes immigrées algériennes en France en ont 3,6. Cela et l’immigration massive en provenance d’Afrique ont fait de la France le pays de l’Union européenne qui compte le plus grand nombre de musulmans. Une grande partie de cette population ne s’intègre pas, ou mal : l’analyste politique Jérôme Fourquet dévoile qu’un nouveau-né sur cinq porte un prénom le rattachant culturellement et familialement à l’immigration arabo-musulmane en 2016. L’observatoire de l’immigration rappelle également l’augmentation foudroyante du nombre de mosquées en France : une centaine en 1970, elles sont aujourd’hui 2500 selon les estimations convergentes de la Grande Mosquée de Paris et du Bureau des cultes du ministère de l’Intérieur.

Pour qu’un sondage tel que celui de l’IFOP ne prenne pas des proportions encore plus dramatiques dans les années à venir, des mesures s’imposent.

Lire ici  -  Source:   https://fr.irefeurope.org/

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