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lunes, 6 de diciembre de 2021

Voici une liste incomplète des idées irréelles et des politiques suicidaires que les révolutionnaires au pouvoir en Amérique ont promulguées et poursuivies


Le Parti Démocrate est devenu un promoteur des croyances et des objectifs délirants de la gauche radicale tels que la redéfinition de la nature humaine et de la famille humaine, la confession obligatoire du mal et du racisme par le peuple fondateur, et le rejet des valeurs fondatrices que sont la liberté individuelle et l’État de droit. Le Parti Républicain doit coopérer avec 50% des électeurs américains afin de mettre en échec ce programme débile et préserver les valeurs fondamentales des États-Unis.



Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Jared Peterson, paru sur le site d’American Thinker, le 4 décembre.

La contre-révolution et le Parti Républicain

Depuis près d’un an, la «présidence» Biden – quelle qu’elle soit – soumet les États-Unis à un programme révolutionnaire destructeur d’une ampleur et d’une virulence sans précédent, le tout découlant d’un désir de mort irrationnel de notre civilisation pour lequel il n’existe aucun parallèle historique.

Une petite minorité d’Américains ont sciemment voté pour cela.

S’ils étaient à l’abri de représailles, la plupart des électeurs rejetteraient à la fois ces croyances déséquilibrées sous-jacentes et les politiques et objectifs ruineux qui ont été promus depuis que Joe Biden et sa bande ont pris leurs fonctions.

Les politiques suicidaires des Démocrates

Voici une liste incomplète des idées irréelles et des politiques suicidaires que les révolutionnaires au pouvoir en Amérique ont promulguées et poursuivies depuis le 20 janvier 2021 :

  • La civilisation occidentale en général et l’Amérique en particulier sont et ont toujours été mauvaises, et doivent par conséquent être «fondamentalement transformées», c’est-à-dire abolies par une révolution, peu importe que les majorités n’aient jamais exprimé le désir d’une telle révolution.
  • Les Blancs, de par leur nature, sont congénitalement, de manière innée et permanente, racistes, et chaque enfant et étudiant de la nation doit apprendre cela comme un fait.
  • Le « racisme systémique », quel qu’il soit, est omniprésent en Amérique et constitue le principal, voire le seul, obstacle à la réussite des Noirs ; cela aussi doit être universellement enseigné et reconnu comme un fait.
  • Il existe une multiplicité de «genres» – plutôt que deux sexes biologiquement déterminés – un assortiment d’identités subjectives parmi lesquelles chaque personne, y compris chaque enfant, peut choisir ; tous les individus et institutions doivent se plier à ce choix subjectif, ou subir l’ostracisme social et professionnel ou – bientôt – pire.
  • Il est hautement souhaitable, voire essentiel, d’exposer de force, explicitement et en détail, les jeunes enfants à l’idéologie radicale du genre et aux expressions les plus bizarres et statistiquement rares de la sexualité humaine.
  • C’est du racisme, du sexisme ou un autre « isme » criminel que de baser les décisions d’admission dans les universités ou d’emploi sur les capacités, le comportement et le caractère démontrés – «l’excellence» est un complot d’hommes blancs. Le tri humain doit être fondé sur l’appartenance à un groupe (race, sexe ou orientation sexuelle), et toute sous-représentation des groupes « opprimés » dans les écoles, les carrières ou les postes souhaitables est une preuve irréfutable de discrimination injuste.
  • L’abolition permanente des frontières et l’immigration illimitée et non contrôlée en Amérique sont incontestablement bonnes. Ceux qui s’opposent à l’une ou l’autre sont des racistes, des xénophobes, des islamophobes ou des haineux généralisés, et tous méritent le même ostracisme et les mêmes sanctions professionnelles que ceux qui doutent de la réalité du multisexisme subjectif .
  • Comme conséquence souhaitable de l’ouverture des frontières et de l’immigration illimitée, l’État-nation sera aboli (en fait, uniquement les États-nations occidentaux), pour être remplacé par des pensions internationales occupées par des peuples aux valeurs et aux comportements contradictoires, aux capacités, aux intérêts et aux langues différents. Ce sera un grand bien et cela ouvrira une période de paix et de prospérité sans précédent dans l’histoire. Toute opposition à l’immigration illimitée, sous quelque forme que ce soit, est du « nationalisme blanc ».
  • La plupart des cambriolages ne sont pas des délits et ne devraient pas faire l’objet de poursuite. En cas de pillage et de destruction massive de biens, qu’ils soient ou non liés à une manifestation politique, la police et les gardes privés armés devraient toujours se retirer, et rien ne devrait jamais être fait qui puisse nuire aux pilleurs. Même les délits violents devraient être traités avec indulgence, en particulier lorsque l’auteur est membre d’un groupe « opprimé » et que la victime présumée est membre du groupe «oppresseur» (c’est-à-dire un homme blanc hétérosexuel).
  • Pour sauver notre mère la Terre du «changement climatique», il doit y avoir un ajustement radical à la baisse du niveau de vie de l’Amérique. Cela doit inclure une réduction importante de la propriété de maisons unifamiliales alors que la plupart de la population vit dans des boîtes urbaines exiguës en verre et en acier ; un accès fortement réduit aux véhicules personnels et aux voyages aériens commerciaux ; et des régimes alimentaires radicalement modifiés. (En somme, une civilisation qui offre à la grande majorité de ses citoyens beaucoup moins de plaisirs et de biens matériels qu’aujourd’hui … alors que ses élites continuent à vivre grassement, comme auparavant ).
  • Enfin, les croyances qui précèdent sont si indiscutablement vraies, et le programme qui en découle si urgemment nécessaire, qu’il est tout à fait approprié d’abolir la liberté d’expression, si c’est ce qu’il faut, pour contraindre l’acceptation universelle de ces croyances et de ce programme. L’abolition nécessaire de la liberté d’expression est déjà bien entamée par la qualification des opinions contraires ou des faits gênants comme étant des «discours de haine» ou de la «désinformation». Cette campagne permanente de suppression du Premier Amendement va se poursuivre et s’intensifier. Les personnes ainsi étiquetées se verront imposer des interdictions appropriées d’accès à Internet, ainsi que des sanctions en matière d’emploi, de carrière et autres.

Ces croyances et objectifs délirants – dont la liste n’est que partielle – constituent la plus étonnante adhésion à l’extinction garantie de la civilisation dans l’histoire du gouvernement.

Leur promulgation par les plus hautes autorités des États-Unis est passée à la vitesse supérieure depuis presque un an.

On ne dira jamais assez que la folie destructrice qui constitue actuellement l’idéologie et la politique fédérales équivaut à une révolution sans précédent, plus profondément radicale que toute autre dans l’histoire de l’humanité. Elle comprend une redéfinition de la nature humaine et de la famille humaine, la confession obligatoire du mal et du racisme par le peuple fondateur et toujours majoritaire d’une nation, le rejet des valeurs fondatrices de ce pays que sont la liberté individuelle et l’État de droit, et le remplacement du mérite et de la personnalité par l’identité de groupe comme base principale de la récompense sociale.

Robespierre, Lénine et Mao – tous auraient reculé devant cette prescription de destruction sociale assurée.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Comment l’un des deux principaux partis politiques en est-il venu à embrasser une idéologie dont l’objectif explicite est le démantèlement de son propre pays, libre et prospère, et qui ne tient pas compte de la réalité ?

Les causes sont multiples et dépassent le cadre d’une brève chronique – elles incluent la confiscation (négligée par les Américains) au profit de la gauche des écoles et universités publiques, ce qui a conduit à la transformation des grands médias et de la culture populaire en instruments de propagande gauchiste, le contrôle presque total d’Internet par la gauche (également causé directement par la confiscation des institutions éducatives) et la corruption électorale croissante de la gauche.

Quelles que soient les causes à long, moyen et court terme, le coup d’État a eu lieu et la révolution est en cours.

Nous sommes maintenant en plein dedans et la seule question qui vaille la peine d’être posée est de savoir comment, le cas échéant, une contre-révolution de bon sens peut être montée et réussir.

La contre-révolution en marche

Étonnamment, il y a un réel espoir.

Cet espoir réside dans deux centres de résistance qui subsistent : près de 50% de l’électorat américain, à en juger par les élections de 2016 et 2020 ; et le Parti Républicain.

La mention du Parti Républicain a peut-être provoqué quelques gémissements de la part des lecteurs, et je compatis.

Le Parti Républicain n’est peut-être pas grand-chose, mais, sur le plan institutionnel, c’est tout ce que nous avons.


Toutes les autres grandes institutions américaines ont soit accepté la révolution, soit y sont plongées jusqu’au cou.

1) Tout d’abord, voyons la plus encourageante des deux résistances : Les 50% d’électeurs obstinés.

Les deux dernières élections présidentielles ont établi que malgré toutes les pertes et capitulations institutionnelles, malgré la suppression d’informations et le flot ininterrompu de propagande gauchiste, près de 50 % de l’électorat américain reste activement opposé au programme de la gauche et imprégné du même bon sens et du même patriotisme de base qui prévalaient dans les deux grands partis politiques il y a 50 ans.

Ces deux élections ont révélé un énorme et constant réservoir d’immunité nationale face au monopole informationnel et à la propagande de la gauche. Les patriotes européens ne peuvent que nous regarder avec envie.
Si l’on parvient à faire comprendre au deuxième vestige de l’opposition, le Parti Républicain, la signification de cette énorme et tenace réserve de patriotisme et de bon sens, la voie sera encore ouverte à la récupération de la présidence et du congrès et, avec cela, à une réaffirmation progressive, bien que longue et pénible du bon sens national.

C’est là que le bât blesse.


2) Le Parti Républicain, le seul véhicule électoral qui peut sortir l’Amérique de ce pétrin, est le même parti qui nous y a mis. Son incapacité, depuis des décennies, à défendre les Américains contre les mensonges malveillants et les idées délirantes de la gauche remonte au moins à 1992.

Mais les conservateurs et les patriotes politiquement attentifs doivent être charitables et réalistes à l’égard du GOP.

Dans toutes les démocraties occidentales, c’est la gauche qui est politiquement aguerrie avec ses fanatiques armés de vérités utopiques qui sont hyper-mobilisés et vivent de politique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, la plupart toute leur vie.

Les Républicains et leurs cousins de centre-droit dans les autres démocraties, en tant que défenseurs de la tradition et du changement progressif plutôt que d’une révolution, sont toujours et partout des amateurs.

Cela ne changera jamais.

Ils sont les travailleurs à temps partiel qui, avant de faire de la politique, ont accompli quelque chose: comme les mères d’enfants de l’école primaire qui ne se sont jamais intéressées à la politique jusqu’à ce qu’elles regardent de près ce qu’on enseigne à leurs enfants dans les écoles publiques ; le petit homme d’affaires prospère venu de la campagne, respecté et apprécié de tous, qui se retrouve au Congrès ; le fondateur d’une nouvelle entreprise qui a fait fortune et qui croit maintenant (à tort) que son sens aigu des affaires facilitera une transition sans heurts vers la sophistication et le succès politiques.

Le Parti Républicain compte également d’autres types d’individus (y compris quelques escrocs et quelques corrompus vendus à la Chambre de commerce, mais ils sont beaucoup moins nombreux que ceux de la gauche) ; mais la plupart d’entre eux, comme la mère politisée par l’école, le petit entrepreneur, le chef d’entreprise prospère, sont beaucoup moins sophistiqués sur le plan politique et moins sûrs de leur programme que la gauche.

Beaucoup d’entre eux font des compromis alors qu’ils ne devraient pas en faire, ne sont pas sûrs de leur programme et croient en fait les avis du Washington Post et du New York Times qui leur conseillent de faire preuve de «modération» concernant des questions où la clarté et la fermeté seraient de mise.

Le travail des conservateurs d’ici aux élections législatives de 2022 est de faire comprendre au Parti Républicain, partout et à tous les niveaux, le caractère historiquement destructeur de ce qui sort actuellement de Washington et, par conséquent, l’énormité des enjeux ; et la nécessité d’une clarté et d’une fermeté résolues afin de rejeter l’intégralité de l’idéologie et du programme déments des Démocrates.

Si ce message parvient au parti – et s’il est associé cette fois à un véritable plan de bataille incluant des troupes sur le terrain pour vaincre la corruption électorale – la République américaine, autrefois libre, pourrait être en mesure d’obtenir un ancrage politique significatif afin de résister à ceux qui tentent de la remplacer par une tyrannie mondialiste.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

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