La déconstruction de l’identité sexuelle en Suède dès la maternelle
Le but est donc clairement affiché : la répartition des sexes chez les adultes étant une pure convention sociale inoculée dans l’esprit des gens dès l’enfance, il faut persuader les chères têtes blondes qu’elles n’appartiennent à aucun genre, comme des êtres éthérés. L’arme employée ? La structure de toute catégorie intellectuelle : le langage, évidemment. George Orwell était un visionnaire, mais hélas la réalité dépasse la fiction. Dans la «novlangue» d’Egalia, on n’emploie pas les termes sexués «garçon» et «fille» mais le terme «personne» ou «kompis» : copain, désignant un garçon ou une fille. Les pronoms personnels «han» [il] et «hon» [elle], sont progressivement remplacés par le pronom neutre «hen». Ce processus de déconstruction s’inscrit en Suède dans un mouvement de sape en profondeur, et constitue l’aboutissement de plusieurs années de pseudo expériences sociologiques sur des enfants-cobbaye et de travail d’influence sur l’opinion publique.
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