Pour protéger la nature, la solution propriétariste
Par Serge Schweitzer.
Pour protéger l’environnement, la solution étatique coulerait de source. Pourtant, croyez-moi, qu’on soit animal, plante ou toute autre espèce de la nature, il est doux d’avoir un propriétaire si l’on veut être bien traité.
La thèse dominante est que la recherche obsessionnelle du profit par des entrepreneurs cupides est la cause principale, sinon unique, qui épuiserait la planète. Cet argument se désintègre immédiatement si l’on pense que, dans ce cas, dans les économies où le profit fut évincé, la nature devrait avoir subi bien peu d’atteintes. Or, il est unanimement admis que c’est dans les pays anciennement communistes à économie de plan sans droit de propriété privée et sans entrepreneurs avides que les plus grands ravages se sont produits. La mer d’Aral est morte et de Tchernobyl aux cimetières de sous-marins nucléaires, les désastres écologiques les plus significatifs se sont produits dans des systèmes économiques où le profit était absent.
Un super article sur la solution propriétariste par le professeur Serge Schweitzer :
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