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martes, 15 de mayo de 2018

L´Islam une stratégie militaire dissimulée


L'islam, une invasion qui ne veut pas dire son nom


Source: lesalonbeige.blogs.com



De Sarlat de la Boétie, philosophe :



Philippe Arnon qui vient de publier "L'islam, une stratégie militaire sous-couvert de religion" (*) est un homme qui habite très loin de la France et qui n' y revient que tous les deux ou trois ans. Et à chaque fois, il est effaré par la métamorphose subie par son pays : dans les grandes villes, et même dans les plus petites désormais, il voit de plus en plus de femmes toutes vêtues de noir portant le niqab, de plus en plus d'hommes portant le qamis, des mosquées qui poussent comme des champignons, des rues parfois obstruées par une multitude composée étrangement que d'hommes pratiquant une étrange gymnastique. Tout cela lui donne l'impression d' un océan qui se retire au profit d' un autre qui prend sa place. Il a alors compris que l'islam -puisque c'est de cela dont il s'agit- est devenu, l'espace d'une génération, une invasion qui bien sûr ne veut pas dire son nom. Alors, néophyte, il a voulu comprendre et il s' est mis à étudier ce raz-de-marée qui se prétend une religion. Il a lu, lu et relu. Jusque là, il croyait en la lutte du bien et du mal mais il avait toujours cru que Dieu et Satan, surtout Satan, ce n'était que des bondieuseries de vieilles bonnes femmes que la modernité des moeurs avait rangé dans le grenier du passé.

Mais quel ne fut pas son étonnement en lisant le coran et les hadiths ! Il se mit d' un seul coup à croire en l'existence de Satan tout simplement parce que Satan dont la fourberie est élément fondamental de sa nature, s'était glissé dans ces textes; que dans ces textes, il n'y avait que des injonctions, comme si ce Dieu, prenant le nom d'Allah, à l'image de ces instituteurs rigides d'autrefois, s'adressait à des enfants du cours élémentaire, dépourvus de cervelles leur infligeant une crainte obsessionnelle; mais qu' il n'y avait également dans ces mêmes textes que des appels au meurtre, contre les juifs, les chrétiens, les prosélytes, les apostats et enfin, un irrespect inimaginable pour les femmes. Mais surtout, derrière cette déchéance se faufilant dans le verbe, Philippe ARNON a découvert une immense supercherie d'une hypocrisie inouïe. Il a compris qu'en insufflant dans l'âme de ses fidèles, une crainte infinie pour leur vie puis en restreignant ici-bas leur libido mais en offrant à celle-ci, au-delà de leur mort, la possibilité d'un assouvissement débridé dans la débauche, Mahomet, le créateur de cette stratégie, pouvait lever une armée formidable au service da sa seule ambition : la conquête du monde !

Or, ce qu' il y a de surprenant, c' est que Philippe ARNON n'est pas le seul à avoir cette vision lucide de l'islam. Il y a ... mais oui ! de grands islamologues musulmans (on ne le soulignera jamais assez) comme Abdennour Bidar, Rachid Benzine, le regretté Malek Chebel, Boualem Sansal, Kamel Daoud, Ghaleb Bencheikh ... Et tous appellent à une grande lessive théologique, une lessive qui finalement s'inscrirait dans les valeurs démocratiques propres à l'Europe. Bien sûr, les fondamentalistes objecteront que le coran est incréé parce qu'il est la parole de Dieu et qu'ainsi, il est interdit de lui soustraire la moindre virgule. Mais Dieu qui est intelligence supérieure a créé les hommes et il les a créé avec l' histoire et les moeurs et les mentalités flottent sur le courant de celle-ci. Alors pourquoi se dit avec justesse Philippe ARNON, l'Europe justement qui a tout de même pour elle, la légitimité sur son sol, n'organiserait-elle pas les Etats-Généraux de l'islam, bien sûr sur des bases précises et rigoureuses ? Il y aurait toute chance alors de briser Satan et de ne laisser en retour les hommes qu'à Dieu. Certains diront qu'il s' agit là d'une sympathique utopie péchant par excès d'optimisme, comme cette autre idée de Philippe ARNON consistant pour l'Occident à revoir sa copie, concrètement, à se redéfinir un système qui serait un vrai humanisme. Après tout, l'histoire n' a toujours avancé qu' avec des utopies. Il faut lire ce livre car vraiment, il est indispensable pour conjurer notre avenir en péril."


(*)Un génie maléfique, Mahomet, a tenté de conditionner depuis des siècles l’esprit de milliards d’êtres humaines afin de faire d’eux un troupeau d’hommes et de femmes transformés en automates dévastateurs, au service de sa seule folie satanique : la domination du monde ! La violence inouïe et les appels aux meurtre égrenés dans le Coran et les hadiths sont là pour attester que si l’islam est certes une religion, c’est-à-dire la recherche sincère de spiritualité, il est avant tout une stratégie militaire dissimulée qui repose sur la connaissance puis l’exploitation des deux instincts qui traversent l’homme dans sa totalité : l’instinct de préservation, qui s’explique par la peut de mourir, et l’instinct sexuel, qui est la quête obsessionnelle du plaisir. Il faut évidemment mettre un terme à cette funeste tromperie qui assaille non seulement les musulmans mais également les occidentaux qui sont désormais touchés dans leur chair. En organisant les Etats-Généraux de l’Islam, l’Europe, sur son sol, aidera les musulmans à faire de leur religion un “islam des Lumières”. Mais cette entreprise ne réussira que si l’Occident, de son côté, procède lui aussi à une édulcoration de sa propre civilisation car il est profondément malade de son matérialisme qui lui a dérobé le sens même de la vie. Le livre de Philippe Arnon est un appel pressant pour résoudre instamment ces deux grands maux de l’humanité moderne pour parvenir enfin à la convergence harmonieuse de tous les hommes.


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L'islam est une religion vouée au service d’un projet politique universel : soumettre le monde entier à Allah et à sa Loi


Extrait du numéro 56 de la Petite Feuille Verte :
Hassan5-450x255"Contrairement à une idée répandue, selon laquelle l’islam serait indistinctement « religion et régime politique » (dîn wa-dawla), R. Brague montre que cette formule, adoptée par le mouvement islamiste des Frères musulmans, fondé en Egypte en 1928, ne se réfère qu’à une situation éphémère : les dix années (622-632) durant lesquelles une seule et même personnalité, Mahomet, a détenu à la fois les pouvoirs temporel et religieux. Autrement dit, « le principat et le pontificat », selon la formule d’Abdelwahab Meddeb (1946-2014). Même si ce précédent nourrit la nostalgie des djihadistes actuels, ceux-ci ne peuvent se référer à aucun texte sacré de l’islam (Coran, Sunna, Sîra) pour imposer une forme particulière de régime (monarchie, république, dictature, démocratie), le califat lui-même, institué par les successeurs de Mahomet, n’ayant été qu’une sorte de décalque des empires orientaux et européens.
En revanche, l’islam est une religion vouée au service d’un projet politique universel : soumettre le monde entier à Allah et à sa Loi.
  • N’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le cœur insouciant envers notre Rappel « de la vraie religion » (Coran 18, 28) ;
  • L’islam domine et ne saurait être dominé (sentence de Mahomet, contenue dans la Sunna).
De là résulte la confessionnalité qui caractérise l’organisation de l’Etat, quelle qu’en soit la forme, dans tout pays où les musulmans sont majoritaires, à l’exception du Liban. [...] L’islam est un messianisme temporel et non pas spirituel. Cette conception résulte de l’absence de salut : le Coran occulte le péché originel et ses conséquences néfastes sur le dessein initial de Dieu, sur toute la création, et donc la nécessité d’une rédemption. [...]"

Source: lesalonbeige.blogs.com

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