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jueves, 24 de marzo de 2016

Une impressionnante liste de crimes et de vandalismes huguenots


Le 24 mars 1568 : les protestants font sauter les piliers de la croisée du transept de la Cathédrale d'Orléans entraînant la ruine du transept et des travées adjacentes de la nef et du chœur.


Jean Guiraud dans le tome 2 de son livre Histoire partiale - Histoire vraie, aux chapitres XV et XVI énumère une impressionnante liste de crimes et de vandalismes huguenots, de destructions d'églises de statues, de tableaux de retables dont voici un court exemple :

  • « Agen. A la suite de 1561, les huguenots pillent les couvents des Augustins, des Carmes et des Cordeliers, détruisent les autels dont les débris furent brûlés de la main du bourreau. Les jours suivants, on en fit de même aux couvents de femmes
  • Auxerre. S'étant emparés de la ville, en 1567, les huguenots pillent ou détruisent les églises. Bourges. Les huguenots saccagèrent la Sainte-Chapelle. D'Yvoy fit démolir par ses soldats un pan de mur pour pénétrer dans la chambre du trésor dont il enleva toutes les richesses qu'y avait accumulées le duc Jean. Les reliquaires, les statues, les calices d'or et d'argent, produisirent 727 marcs dont il paya ses soldats. Les pierreries, les perles, les camées d'un prix inestimable, furent perdus, brisés ou vendus.
  • Castres. Le 31 décembre 1561 et le 1er janvier 1562, les protestants détruisent les images et les autels de la cathédrale Saint-Benoît et de toutes les autres églises de la ville ; le 2 février, on brûle tous les ornements sacerdotaux de l'église des Mathurins
  • Grenoble. Le 1er mai 1562, les protestants, excités par le baron des Adrets, s'emparent de la ville, se ruent sur le couvent des Cordeliers, où, après avoir renversé les autels et les images, ils établissent leur temple. Ils font de même dans tout le Dauphiné « faisant partout la guerre aux reliques, aux croix, aux calices et aux images, jusqu'à la Grande Chartreuse qu'ils brûlent après l'avoir pillée.
  • Lyon. Pendant plusieurs mois, c'est, une suite ininterrompue de massacres, de pillages et d'incendies. Le sang coule à flots... Le 19 avril 1562, Lyon tombe au pouvoir des protestants. C'est le sac d'une ville prise d'assaut.
  • Montpellier. Le 24 septembre 1561, les protestants prennent les armes, s'emparent de Notre-Dame des Tables ; ils en inventorient les ornements et les reliquaires qui sont transportés à l'hôtel de ville ; l'église devient le temple de la Loge. Le 19 octobre suivant, ils assiègent les catholiques réfugiés dans la cathédrale Saint-Pierre. Les catholiques ayant capitulé, la cathédrale est pillée avec une fureur extrême, les autels sont renversés, les retables, tableaux, images, statues sont mis en pièces. Cette église que son fondateur, Urbain V, avait merveilleusement ornée au XIVe siècle, fut entièrement saccagée en sept heures. Toutes les églises, chapelles de Montpellier, au nombre de soixante, furent pillées.
  • les huguenots troublaient, à Toulouse, les cérémonies du culte catholique ; la veille de Noël 1547, ils faisaient irruption dans l'église Saint-Pierre en tenant un lièvre embroché et en criant à tue-tête : Christus natus est ! Le 29 mars suivant, ils empêchaient une procession et un sermon.
  • le 15 décembre1560, à Carcassonne, les calvinistes renversent et traînent dans la boue, à travers les rues de la ville, une statue de la Sainte Vierge, « la corde au cou » ; une procession expiatoire ayant été faite à cette occasion par les catholiques, une émeute a lieu mettant aux prises les deux partis. »
Les rapports afflueront vers Henri II, François II, et Charles IX, et Henri III ; quand ce dernier laisse faire la Saint Barthélemy la coupe était pleine depuis très longtemps. Et si ce massacre est inexcusable, la lecture de Jean Guiraud l'éclaire d'un jour nouveau, passé sous silence depuis trop longtemps dans « l'Histoire » qu'enseigne l'école.

Source: lesalonbeige.blogs.com




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