De la contre-culture à la subversion trotskiste
À la fin des années soixante s’est développé aux États-Unis un mouvement de contestation, auquel le sociologue Théodore Roszak a donné, en 1969, le nom de « contre-culture », fondée sur une opposition délibérée à la culture dominante.
La critique de tout système politique est porteuse de dynamisme. Ce fut le cas de la « contre-culture » dont les effets devaient se propager dans l’ensemble du monde occidental à partir des années 1970 : le courant antipsychiatrique a ouvert la voie à de nouvelles thérapies ; la « révolution sexuelle » a accentué l’émancipation des femmes et l’émergence des minorités sexuelles ; la critique du système productiviste et du gigantisme, a abouti à de nouveaux modes de production… Après le tiers-mondisme, le néo-ruralisme, le commerce dit « équitable », le développement dit « durable », l’écologie en tant qu’enjeu politique n’auraient pas vu le jour sans ces remises en cause radicales de la société de consommation.
La critique de tout système politique est porteuse de dynamisme. Ce fut le cas de la « contre-culture » dont les effets devaient se propager dans l’ensemble du monde occidental à partir des années 1970 : le courant antipsychiatrique a ouvert la voie à de nouvelles thérapies ; la « révolution sexuelle » a accentué l’émancipation des femmes et l’émergence des minorités sexuelles ; la critique du système productiviste et du gigantisme, a abouti à de nouveaux modes de production… Après le tiers-mondisme, le néo-ruralisme, le commerce dit « équitable », le développement dit « durable », l’écologie en tant qu’enjeu politique n’auraient pas vu le jour sans ces remises en cause radicales de la société de consommation.
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