par Rosaly
Vous souvenez-vous d’Oriana Fallaci et de ses prises de position anti-islam plus que jamais d’actualité ? La vérité est rarement agréable à entendre et Oriana Fallaci en paya le prix le plus fort.
Je dédie cet article à notre ami Dreuzien Jacques Bario, qui eut le privilège de côtoyer pendant quelques mois cette grande Dame en Asie dans l’exercice de leur métier de reporter. (Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.)
Grande journaliste italienne et auteur de renom, Oriana Fallaci décéda en 2006, peu de temps après son inculpation par un juge rouge pour violation des dispositions du Code pénal italien. Quel était son crime ? Avoir «vilipendé» une religion autorisée par l’Etat, en l’occurrence et sans surprise, le doux, tolérant et pacifique islam, la seule religion qu’il soit interdit de critiquer. Cracher sur le Christianisme relève de la liberté d’expression, dire la vérité sur la véritable nature de l’islam devient un délit, passible d’une peine d’emprisonnement.
Sa trilogie d’écrits sur le danger de l’islam commença par ««La Rabbia e l’Orgoglio» en 2001 (La Rage et l’orgueil*), elle continua avec la Forza della Ragione» en 2004 (La Force de la Raison*), puis par «Oriana Fallaci intervista se stessa/L’Apocalypse» en 2004 (Entretien avec moi-même – L’Apocalypse*).
«La Rage et l’Orgueil», écrit sous le choc de l’attentat islamiste du 11 septembre 2001, fut considéré comme un brûlot anti-musulman. Oriana y dénonçait violemment la culture musulmane, jugée comme inférieure à la culture occidentale, ce qui lui valut des poursuites judiciaires.
Le message central des livres de Oriana Fallaci se focalisait, en effet, sur le danger de la colonisation musulmane de l’Europe par l’immigration et la constitution de familles nombreuses. Correspondante de guerre au Moyen-Orient, Oriana Fallaci avait été en contact direct avec la religion d’amour islamique.
Elle avait interviewé le leader de la révolution islamique de 1979, l’Ayatollhah Khomeini, l’homme par lequel l’obscurantisme islamique s’abattit sur l’Iran. Au cours de l’entrevue, Oriana réalisa que l’islam politique était revenu en force sur la scène mondiale. Alors qu’elle s’exprimait sur les droits des femmes en Iran et l’islam politique, elle arracha le tchador qui lui avait été imposé, après avoir entendu Khomeini lui dire qu’elle n’avait pas à le porter.
«C’est très aimable de votre part, imam, lui répondit-elle, je vais donc m’empresser d’ôter ce stupide chiffon médiéval.»
Le terrible attentat du 11 septembre 2001 ne fit que renforcer son opinion négative sur l’islam, ce qui l’inspira pour sa trilogie sur l’islam.
Oriana raconta qu’à la lecture de son inculpation par le juge, elle se mit à rire.
«Oui, j’ai ri, amèrement bien sûr, mais j’ai ri. Pas d’amusement, pas de surprise, car ce procès n’était rien d’autre que la confirmation de la véracité de mes écrits sur l’islam.»
Jamais, elle ne perçut sa critique de l’islam comme une trahison de ses opinions antifascistes de longue date. Elle considérait sa critique de l’islam politique comme une continuation de sa lutte contre le fascisme, car pour elle, l’islam politique était le fascisme. C’est d’ailleurs ce qu’elle dit clairement à Khomeini :
«il me semble qu’il s’agit là d’un fanatisme des plus dangereux. je veux dire un fanatisme fasciste. En fait, nombreux sont ceux qui voient une menace fasciste aujourd’hui en Iran et qui affirment même que le fascisme est déjà en train de se consolider dans ce pays.»
Son respect de la vérité allait au-delà de la critique de l’Islam. En 1973, elle déclara à Dick Cavett, un journaliste animateur d’un talk-show, que Henry Kissinger lui avait reproché de l’avoir cité hors contexte.
«C’était faux, je l’avais enregistré sur bande. Il savait que ce n’était pas vrai.»
Allumant une cigarette à l’antenne (Oriana fumait trois paquets par jour) elle poursuivit :
«La politique et la diplomatie sont la sublimation du mensonge. Parfois, ils doivent mentir, je comprends cela. Mais en tant que journaliste, il doit comprendre que je dois dire la vérité. Si je comprends qu’il doit mentir, alors il doit comprendre que je dois dire la vérité.»
Que serait-il advenu de Oriana si elle avait vécu suffisamment longtemps pour être condamnée par les tribunaux italiens ?
Serait-elle allée en prison ? Si oui, y aurait-il eu un tollé parmi les intellectuels, comme cela fut le cas pour Salman Rushdie, frappé d’une fatwa pour avoir écrit les Versets sataniques* ? Oriana, qui souffrait d’une forme grave de cancer, quand elle fut accusée de clouer l’islam au pilori, serait peut-être morte en prison. Au mieux, elle aurait peut-être été libérée sur parole d’éditeur avec une fatwa de l’UE sur sa tête lui interdisant d’écrire d’autres livres critiques de l’islam. Nous ne saurons jamais comment le scénario aurait été écrit par le tribunal, mais une chose est certaine : Oriana aurait ignoré toute intimation relative à ce qu’elle pouvait ou ne pouvait pas écrire.
Critiquer l’islam a toujours été une tradition classique parmi les grands esprits de la civilisation occidentale. La liste des critiques de l’islam est légion. De Saint-Jean de Damascène (676-749), à Voltaire (qui écrivit une satire sur la vie de Mahomet), en passant par Alexis de Tocqueville «J’ai beaucoup étudié le coran… Je suis sorti de cette étude avec la conviction que, dans l’ensemble, il y a eu peu de religions dans le monde aussi mortelles pour les hommes que celle de Mahomet.»
D’autres écrivains comme Hilaire Belloc, G. K. Chesterton, Winston Churchill, Christopher Hitchens, Daniel Pipes, Geert Wilders, Robert Spencer et David Horowitz ont émis leurs propres critiques sur l’islam et auraient sans doute été jugés coupables par les mêmes tribunaux italiens, s’ils étaient tombés sous le couperet de leur censure. Oriana décéda avant le début de ce «procès de la haine», elle n’eut pas à subir l’indignité des imbéciles, mais en raison de sa position sur l’islam, de nos jours, son héritage est mitigé.
Aujourd’hui, les critiques trouvent soit des excuses à ses livres anti-islam – le 11 septembre l’avait plongée dans une sorte de dépression permanente – soit ils divisent sa carrière en deux parties : la partie gauchiste, principalement antifasciste, et la partie anti-islam en spirale descendante, où la journaliste, autrefois célèbre pour ses interviews de célébrités et ses romans «Un homme et son livre*» et «Lettre à un enfant à naître*» semblait être devenue folle selon certains de ses détracteurs.
Cristina De Stefano – la biographe d’Oriana intitulée «Oriana Fallaci, la Journaliste, l’Agitatrice, la Légende»- admit que la dernière trilogie d’Oriana Fallaci avait presque détruit sa carrière, mais ajouta que Oriana n’était pas une commentatrice politique, mais une romancière, un écrivain. Je pense qu’en parlant de politique, elle posait souvent les bonnes questions, comme par exemple :
«Quelle est la position de l’Europe vis-à-vis de la culture islamique à l’intérieur de ses frontières ? L’Europe est-elle prête à défendre ses valeurs ?»
Si Oriana vivait encore aujourd’hui, il serait hautement probable que les options de publication de ses écrits anti-islam et ses romans seraient proches de zéro. Aux USA, elles auraient été pratiquement nulles. Seuls les sites conservateurs comme Gatestone Institute, Frontpage Mag, Newsmax et «The American Spectator» lui auraient permis de s’exprimer. Quant à la publication de ses livres, quel éditeur américain aujourd’hui accepterait de publier un livre d’un auteur qualifié d’islamophobe ?
La Rage et l’orgueil* (2001), son livre inaugural sur la montée de l’islam, fut publié par Rizzoli International Publications, Inc.
«Les Italiens ne produisent plus de bébés, les idiots», écrivait Fallaci dans «La Rage et l’Orgueil». «Nos travailleurs étrangers, au contraire, se reproduisent et se multiplient glorieusement. Au moins une des femmes musulmanes que vous croisez dans nos rues est enceinte ou entourée de flots d’enfants. Hier, à Rome, trois d’entre elles ont même accouché en public.»
Rizzoli aurait-il continué aujourd’hui à publier les œuvres de Oriana Fallaci ? Comme le monde de l’édition de nos jours s’enfonce de plus en plus dans le terrier de lapin de la censure, par rapport à l’année 2006, une réponse affirmative à cette question serait surprenante.
En outre, si Oriana était vivante aujourd’hui, elle aurait pu subir le même sort que n’importe quel autre auteur malchanceux sur Amazon : voir ses livres, comme des milliers d’autres livres sur l’entretien des voitures, l’astrophysique ou le premier roman d’amour gothique de tante Bertha, être publiés, soit sans aucune promotion ou «marketing» soit «reposer» alignés à perpétuité sur des étagères, comme des rangées interminables de pierres tombales dans un cimetière.
Les «éditeurs» d’Amazon, toujours vigilants, obligent souvent les auteurs à modifier ou à couper des passages qu’ils estiment «offensants» sinon leurs livres risquent «l’exécution» via le bouton «delete». Il est donc raisonnable de supposer que les œuvres de Oriana Fallaci auraient fait réagir les censeurs d’Amazon.
Revenons brièvement sur la vie et la carrière professionnelle de cette journaliste «Supernova» explosive et lumineuse, dont le seul but était de dire la vérité. Si rapporter la vérité la rendait impopulaire, elle était prête à l’accepter.
Née en 1930 à Florence, en Italie, elle fut élevée dans une famille anti-fasciste. Son père était un leader dans la lutte contre Mussolini. À l’âge de 14 ans, Oriana rejoignit la Résistance. Pour son travail pendant la guerre, elle reçut un prix du commandant en chef des Forces alliées en Italie. Elle fréquenta par la suite l’Université de Florence.
Elle effectuait des interviews de personnages puissants à sa façon bien personnelle, ou pour user une terminologie plus colorée, avec «ces salauds qui décident de nos vies» notamment Willy Brandt, Mouammar Kadhafi, Hali Selassie, le Shah d’Iran, Indira Gandhi, Zulfikar Ali Bhutto, Den Xiaoping, Yasser Arafat, etc.
Connue pour ses tactiques d’entrevue provocatrices, Oriana Fallaci aiguillonnait ses sujets pour que ses interlocuteurs fassent des révélations inattendues.
Le «New York Times» assimilait ses questions aux «sondes rectales». Certains critiques n’hésitaient pas à la qualifier de crâneuse et de narcissique.
Oriana Fallaci écrivit pour de nombreuses publications italiennes, européennes et américaines, y compris Il Corriere della Sera, Le Nouvel Observateur, Der Stern, Life, Look, New York Times Magazine, le Washington Post et The New Republic.
En tant que correspondante de guerre, elle couvrit les conflits majeurs de notre temps, notamment l’insurrection hongroise de 1956 à Budapest contre le régime communiste hongrois imposé par Moscou et fut même arrêtée par la même occasion.
Elle passa sept ans sur le terrain au Vietnam, tant au Nord qu’au Sud, et a fini par être expulsée du Sud.
Elle fit des reportages sur les révolutions en Amérique latine : Brésil, Pérou, Argentine, Bolivie.
Au Mexique, elle faillit mourir. Le 2 octobre 1968, plusieurs milliers d’étudiants, qui reprochaient au gouvernement mexicain, entre autres récriminations, sa décision de dépenser énormément d’argent pour les Jeux olympiques de 1968 se rassemblèrent à Mexico sur la place des Trois-cultures dans le quartier de Tlatelolco. La répression par la police, soutenue par l’armée, fut sanglante, afin que les Jeux Olympiques de Mexico, qui devaient débuter quelques jours plus tard, puissent se dérouler dans «la paix»… Elle se solda par des centaines de morts et de disparus. Les survivants furent traqués, arrêtés, torturés. Cette tragédie, rayée de la mémoire officielle, est connue comme « la matanza de Tlaltelolco ». Il s’agissait bien d’un massacre  ;, car les historiens purent prouver que l’opération avait été soigneusement planifiée par les plus hautes autorités, que les militaires avaient eu ordre de fermer les accès, que les francs-tireurs avaient été préalablement placés sur les toits des immeubles qui encadrent la place, que les étudiants étaient sans défense.
Plusieurs envoyés spéciaux de la presse étrangère, présents à Mexico pour couvrir les Jeux, suivirent les mobilisations étudiantes, furent témoins d’exécutions à bout portant et dénoncèrent la répression sanglante, notamment l’Italienne Oriana Fallaci, blessée sur la place des Trois-Cultures. Oriana fut atteinte par les coups de feu de la police et laissée pour morte… Des fragments de balles furent trouvés dans l’épaule, le dos et au genou.
Un black-out total sur l’information fut imposé par le régime, qui s’efforça de faire disparaître toute trace du massacre. Une balle ou la prison était promise à quiconque en parlerait. La «paix» étant revenue, les JO pouvaient commencer… dans la joie, la fraternité et l’amitié.
Elle couvrit également la guerre civile du Liban et la guerre du Koweït.
Dans son roman «La Force de la Raison*», édité par Rizzoli, elle soutint que la chute de l’Occident avait commencé à cause de l’Islam radical. La démocratie de style occidental, avec sa liberté, les droits de l’homme, la liberté de pensée et de religion, ne pouvait coexister avec l’islam. L’un d’eux devait périr. Elle paria sur la chute de l’Occident.
Souvent au cours de sa vie, elle se plaignit de se sentir comme une Cassandre, car les gens ne tenaient pas compte de ses avertissements.
«Cela fait des années, que telle une Cassandre, je m’époumone à crier : «Troie brûle, Troie brûle».
Des années que je hurle au vent la vérité sur le Monstre et ses complices, qui de bonne ou de mauvaise foi, lui ouvrent les portes. Ses serviteurs qui, comme dans l’Apocalypse de Saint-Jean, se jettent à ses pieds et se laissent imprimer sur le front la marque de la honte, la marque de la Bête.»
Bat Ye’or commenta le troisième livre de sa trilogie islamique «Interview de Fallaci par elle-même et l’Apocalypse» sorti en 2004 par ces mots :
«Dans ce bref chef-d’œuvre, Oriana Fallaci nous émeut aux larmes, nous secoue avec le rire, nous éclaire et transmet son amour et son désespoir pour l’Europe qu’elle a servi avec une grande dévotion et qu’elle regarde aujourd’hui avec désespoir partir à la dérive.»
Dans une interview en 2002, on l’interrogea à propos de George W. Bush.
«Nous verrons, c’est trop tôt», répondit-elle. J’ai l’impression que Bush a une certaine vigueur et une dignité qui ont été oubliées aux États-Unis pendant huit ans.»
Mais elle ne supportait pas entendre G.W. Bush dire que «l’islam était une religion de paix. »
«Savez-vous ce que je fais à chaque fois qu’il le dit à la télévision ? Je suis là seule, et je le regarde et dis:«Tais-toi ! Tais-toi, Bush ! Mais il ne m’écoute pas…»
Accusée de diffamer l’islam dans son livre «La Force et la Raison», par Adel Smith, un musulman extrémiste d’origine écossaise et considéré comme l’auteur d’un pamphlet intitulé «L’islam punit Oriana Fallaci» appelant les musulmans à «l’éliminer» et «aller mourir avec Fallaci», elle fut recherchée par la justice italienne pour «crime de diffamation. Elle se réfugia à Manhattan. Ce pieux musulman appela également à la destruction de la fresque médiévale, «Le Jugement Dernier» de Giovanni da Modena, dans la cathédrale de Bologne, car elle représente le prophète Mahomet croupissant en enfer. Mais, la criminelle, selon la «justice» de son pays natal, était Oriana Fallaci !
Ses écrits honnis par certains, mais admirés par d’autres, lui offrirent heureusement d’autres opportunités de rencontres intéressantes. Elle fut parmi les premières personnes invitées par le pape Benoît XVI pour une conversation, une rencontre d’autant plus importante qu’elle s’était déclarée publiquement athée. Avant leur rencontre, voici ce que Oriana Fallaci disait sur le nouveau pape :
«Je me sens moins seule quand je lis les livres de Ratzinger, moi qui suis athée, et si une athée et un pape pensent la même chose, il doit y avoir quelque chose de vrai. C’est aussi simple ! Il doit y avoir ici une vérité humaine qui dépasse la religion.»
Oriana était un écrivain d’une grande diversité. Par moment, elle pouvait ressembler à une collégienne pigiste pour le magazine Cosmopolitan, notamment quand elle écrivait :
«J’ai du mal à écrire quand quelqu’un traîne autour de moi. Les hommes savent comment s’isoler pour écrire, car leurs femmes n’osent pas les déranger. Mais c’est différent pour les femmes, car les hommes les interrompent toujours, soit pour demander un bisou, soit une tasse de café.»
En 1991, après avoir appris qu’elle souffrait d’un cancer, elle déclara :
«Espèce de salaud, ne songe même pas à revenir. Tu as laissé une progéniture en moi ? Je vais de tuer. Tu ne me vaincras pas.» Hélas, le «salaud» revint quelques années plus tard et Oriana perdit sa dernière bataille.
Se sachant mourante, Oriana rentra en Italie. De sa chambre, elle avait une vue sur le célèbre dôme de Brunelleschi au sommet de la cathédrale de Santa Maria del Fiore, tandis qu’un CD diffusait une douce mélodie jouée par les cloches d’une église…
Oui, Oriana Fallaci était une journaliste «Supernova» explosive et lumineuse, dont le seul but était de dire la vérité. Si rapporter la vérité la rendait impopulaire, elle était prête à l’accepter.
Elle était prête à risquer sa vie pour ce en quoi elle croyait. Elle écrivit «La Rage et l’orgueil*» en trois jours à New York, immédiatement après le 11 septembre. Sa défense de notre civilisation et sa description de l’impact de l’islam sur l’Occident sont émouvantes. On a rarement lu quelqu’un d’aussi passionné et d’aussi intrépide dans sa défense de notre mode de vie.
«Folle», c’est ainsi qu’était pourtant décrite cette courageuse et lucide journaliste et essayiste italienne décédée en 2006. L’intelligentsia pro-islam, pro-migration, soutenue par les bisounours «peace & love» était révulsée, choquée, indignée par ses idées, ses textes, ses écrits courageux et lucides.
Un courage qui dérangea l’élite bien pensante de l’époque – n’ayant rien à envier à celle d’aujourd’hui – nourrie au politiquement correct, sans aucun esprit critique, atteinte d’une cécité collective incurable, professant joyeusement et avec conviction un angélisme pro-islam, pro-immigration musulmane, tandis que l’Europe commençait déjà à brûler sous ses pieds.
Ces idiots utiles de l’islam s’imaginent-ils réellement convertir nos ennemis à nos valeurs par l’amour et la tolérance ? Ne comprennent-ils pas que ce sont nos valeurs qui sont leurs cibles ? Quand saisiront-ils que le but ultime des musulmans, à quelques exceptions près, n’est pas de cohabiter en paix parmi nous, mais de nous soumettre, de détruire nos libertés, notre façon de vivre, notre civilisation ?
Relire les écrits d’Oriana aujourd’hui, c’est accomplir un acte de justice envers cette combattante, cette patriote, cette grande amoureuse de la liberté.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources :
.«Remembering Oriana Fallaci – And How The Truth is Rarely Pleasant to Hear» FrontPage Mag
.«Appreciating Oriana Fallaci» Daniel Pipes (FrontPage Mag)
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