Victimes de l’ultralibéralisme, édition dépense publique
C’est entendu, la France souffre d’un excès de libéralisme. Le chômage, la stagnation du pouvoir d’achat, la désindustrialisation, les problèmes d’immigration et de « vivre ensemble », le déficit de la balance commerciale, celui du budget de l’État et la dette qui en résulte sont des conséquences directes de l’idéologie libérale dominante, de l’ultralibéralisme mondialisé et du capitalisme financier dérégulé.
De la révolution à la veille de la première guerre mondiale, on estime que la dépense publique pesait entre 10 et 13% du PIB – ce qui correspond, pour l’essentiel, au coût des fonctions régaliennes de l’État. Après la seconde guerre mondiale et avec la création de la Sécurité Sociale que les dépenses s’emballent : d’environ 36% à la fin des années 1950, elle franchit le seuil des 40% en 1967, puis celui des 50% en 1983 et dépasse le seuil des 56% du PIB pour la première fois en 2009.
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