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jueves, 31 de agosto de 2017

La révolution dite française parachève son oeuvre


Auxerre est passée de 27 à 3 églises : la révolution dite française parachève son oeuvre

A la recherche des racines chrétiennes de cette ville de province au passé religieux si riche :

"Des vingt-sept églises et communautés religieuses que comptait Auxerre au 18e siècle, il n'en reste plus que trois en fonction. La plupart de ces édifices religieux ont été détruits. De nombreuses églises et chapelles, souvent vieilles de plusieurs siècles, ont disparu au 18e siècle. Auxerre, riche en monuments religieux à l'époque, n'a pas fait exception.

« Après la Révolution, au moins 80% des bâtiments religieux ont été détruits ou vendus. Avant, Auxerre comptait vingt-sept édifices religieux, hors chapelles. Aujourd’hui la cathédrale Saint-Étienne, Saint-Pierre et Saint-Eusèbe sont les seules encore en fonction. Et les églises modernes de la périphérie, construites dans les années 1950. »  PATRICE WAHLEN (Historien)"

Source: lesalonbeige.blogs.com



La carte des vingt-sept églises disparues d'Auxerre


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Que reste-t-il des édifices religieux détruits dans le paysage auxerrois actuel ? Quelques noms et vestiges. Quelques bâtiments tiennent encore debout. La chapelle Sainte-Madeleine de l’hôpital des Grandes Charités abrite un coiffeur, rue Berthelot. La chapelle du Séminaire se dresse encore face au lycée Jacques Amyot. La crypte de Saint-Amâtre, quand à elle, se trouve dans le sous-sol d’un particulier, rue d’Eckmhül. Rares sont les bâtiments à avoir connu un sort aussi clément que celui de l’abbaye Saint-Germain, réaffectée en école puis en hôpital, ou du couvent des Visitandines, occupé par les Beaux-Arts.

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