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domingo, 3 de noviembre de 2013

Et si New York souivait le chemin de Detroit?


New York City la dépendante



J’y suis venu afin de revoir l’ami Piero San Giorgio qui, lui, est venu lancer à Washington, D.C., la version anglaise de son livre Survivre à l’effondrement économique.

Comme il allait aussi séjourner à NYC, j’en ai profité pour aller le rejoindre et passer deux journées avec lui. New York n’est, après tout, qu’à six heures de route de chez moi !

J’en ai bien évidemment profité pour observer les choses d’un point de vue survivaliste ! On ne se refait pas.

NY est une ville énorme. C’est un centre financier majeur et un endroit de pouvoir économique incontestable.

Il y vit une quantité incroyable de gens dont la seule fonction est de produire du fric virtuel via des activités financières. La production économique réelle de la ville est négligeable. Son seul rôle important dans l’économie réelle est l’activité du complexe portuaire New-York-Newark-Jersey City-Elizabeth et Cie, qui reçoit plus d’un million de conteneurs par année.

Ces millions de personnes : employés, cadres, entrepreneurs, bossent pour ou servent les deux ou trois milliers de personnes qui « comptent » vraiment à New York.

Tout ce rassemblement de population pour produire… rien de tangible, rien qui se mange, rien qui serve à produire ni rien de concret et d’essentiel. NYC ne produit que du fric virtuel et du rêve vial’industrie artistique et télévisuelle.

Or si/quand les choses vont/iront vraiment mal, que feront tous ces gens ? Ils devront quitter la ville.

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