viernes, 17 de julio de 2015

Un professeur d’astrophysique à l’université Northumbria démolit la thèse du réchauffement climatique lié à l’activité humaine


Une nouvelle ère glaciaire se profile à l’horizon 2030 … et c’est une bonne nouvelle !



Par Bernard Martoia.

(Prudentia Politica: Valentina Zharkova n´a pas parlé d´une "nouvelle ère glaciaire", mais ... )

Alors que l’Europe connaît une canicule durable, une bonne nouvelle est parue le 9 juillet. De quoi s’agit-il ? Valentina Zharkova (*), un professeur d’astrophysique à l’université Northumbria, a présenté, ce jour-là, à la station balnéaire de Llandudno au Pays de Galles, une étude qui démolit la thèse du réchauffement climatique lié à l’activité humaine. D’ici 2030, une nouvelle ère glaciaire va succéder à la période actuelle marquée par une hausse conséquente de la température à l’échelle mondiale.

Alors que le GIEC (un groupe d’experts autoproclamés sur le changement de climat) nous assène que le réchauffement est lié à l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère, Zharkova avance que celui-ci est lié à l’activité solaire. Cette dernière obéit à un cycle d’une durée comprise entre dix et douze ans mais chaque cycle est différent du précédent et aucun modèle mathématique n’a pu jusqu’alors expliquer ces fluctuations.

Des astrophysiciens ont avancé que la cause de ces cycles provenait d’une dynamo provoquée par la convection de fluides au centre du soleil. À présent, Zharkova et son équipe ont découvert un autre champ magnétique à la surface du soleil qui complète la vision de ces physiciens. Leur modèle s’appuie sur les observations relevées à l’observatoire Willcox en Californie. À l’aune de ces données, ils ont examiné trois cycles solaires pour la période 1976-2008. Ils ont comparé ces données avec le nombre de tâches noires observées à la surface du soleil. Il existe une corrélation étroite entre ces tâches noires et l’activité magnétique. Zharkova avance une erreur de 3% sur l’interprétation de ses résultats. La résonance des champs magnétiques au centre et à la périphérie du soleil que nous connaissons à l’heure actuelle va donc se découpler progressivement. Il va en résulter une réduction très significative de l’activité solaire, de l’ordre de 60% d’ici 2030, car les deux champs magnétiques vont se neutraliser au cours du vingt-sixième cycle en question.

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(*) Valentina Zharkova is a Professor in Mathematics at Northumbria University. She has a BSc/MSc in Applied Mathematics and Astronomy, a Ph.D. in Astrophysics, certificate in project management.


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