Un « panel onusien » considère la thérapie réparatrice de l’homosexualité comme une violation des droits de l’homme
Par Rebecca Oas, Ph.D.
Les thérapies visant à aider les personnes attirées par d’autres personnes de même sexe à changer leur orientation devraient être bannies et qualifiées de violation des droits de l’homme. C’est ce qu’affirmait un panel de militants rassemblés au Church Center à New York, à quelques centaines de mètres de l’ONU.
Alors que l’événement était présenté comme « Le premier débat onusien sur les aspects juridiques, éthiques et scientifiques du mouvement [tendant à réformer l’oriention sexuelle] », il était n’était pas organisé à l’Onu, était financé par des ONG, et n’avait pas mobilisé la participation d’un seul Etat membre de l’ONU.
La chercheuse Rebecca Jordan-Young du Barnard College y déclarait qu’elle était « profondément en accord avec le principe selon lequel les efforts visant au changement de l’orientation sexuelle sont une violation des droits de l’homme et un problème ». Elle y conseillait à son public de ne pas trop s’appuyer sur les données scientifiques pour soutenir cette position. « Nous ne savons pas vraiment comment l’orientation sexuelle se développe », continuait-elle, ajoutant : « Il existe un fort courant parmi les personnes gay et lesbiennes, qui consiste à penser que l’orientation dépend de facteurs fondamentalement biologiques… Je voulais suggérer de ne pas focaliser notre travail pour les droits de l’homme là-dessus ».
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Lire ici: www.c-fam.org
Alors que l’événement était présenté comme « Le premier débat onusien sur les aspects juridiques, éthiques et scientifiques du mouvement [tendant à réformer l’oriention sexuelle] », il était n’était pas organisé à l’Onu, était financé par des ONG, et n’avait pas mobilisé la participation d’un seul Etat membre de l’ONU.
La chercheuse Rebecca Jordan-Young du Barnard College y déclarait qu’elle était « profondément en accord avec le principe selon lequel les efforts visant au changement de l’orientation sexuelle sont une violation des droits de l’homme et un problème ». Elle y conseillait à son public de ne pas trop s’appuyer sur les données scientifiques pour soutenir cette position. « Nous ne savons pas vraiment comment l’orientation sexuelle se développe », continuait-elle, ajoutant : « Il existe un fort courant parmi les personnes gay et lesbiennes, qui consiste à penser que l’orientation dépend de facteurs fondamentalement biologiques… Je voulais suggérer de ne pas focaliser notre travail pour les droits de l’homme là-dessus ».
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