Quand il sortit de son sommeil tourmenté, peuplé de hantises et de cauchemars, Nicolas Pavlovitch Sarkozy jeta autour de lui des regards égarés : il se trouvait dans une soupente poussiéreuse meublée de bric et de broc. Non sans peine, il réussit à se mettre debout et marcha jusqu'à la lucarne à travers laquelle il reconnut la rue N le long de laquelle les habitants de notre ville marchaient à vive allure à cause du froid glacial qui venait de s'abattre sur la région.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/journal-besson-de-campagne/sarkozy-et-chatiment-par-fedor-dostoievsky-12-03-2012-1440285_498.php
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