domingo, 16 de julio de 2017

Les propriétés nanométriques des fibres de bois provenant du suaire de Turin


Preuve de l’authenticité du Saint-Suaire




Encore un coup porté au puissant lobby négationiste, refusant d’admettre la divinité du Christ et l’authenticité du Saint-Suaire. 

Cette fois-ci, la preuve semble irréfutable : selon le quotidien italien de centre-droit La Stampa, dans son numéro du 11 juillet, des chercheurs italiens ont découvert que le tissu de l’artefact comprenait des nanoparticules de créatinine avec des éléments endommagés de ferrihydrite (ocre ferreuse), inhérente à la ferritine, une protéine qui permet le stockage du fer dans le corps. 

Selon le professeur Giulio Fanti de l’Université de Padoue, ce fait a montré que la «structure particulière, la taille et la répartition des nanoparticules ne pouvaient pas être dues à des artefacts apposés au fil des siècles sur le tissu du suaire». 

Le chef d’étude Elvio Carlino, professeur à l’Institut de Cristallographie de Bari, ajoute que «À l’aide des microscopes électroniques et microscopes grand angle à rayons X, nous avons réalisé une analyse de microscopie atomique du suaire. Grâce à cela, nous avons pu examiner pour la première fois les propriétés nanométriques des fibres de bois provenant du suaire de Turin».

Cette nouvelle vient après un premier coup de boutoir à la thèse des incroyants après les révélations faites en mai et dont MPI avait déjà parlé, à savoir la découverte d’une pièce romaine à l’effigie de Tibère César déposée sur l’œil gauche du Christ, et sur l’œil droit un lepton de cuivre à l’effigie du consul Lentulus, en poste en Palestine quand Pilate était gouverneur.

Voilà de quoi fermer le clapet des négationnistes genre Sciences & Avenir qui le 23 avril 2015 osait encore prétendre que le Saint-Suaire avait été « fabriqué au Moyen-âge », mais également aux intégristes conciliaires tels le blog paroissiens-progressistes dans son article du 10 mai 2013. Rappelons qu’une étude soviétique en était arrivée aux mêmes conclusions dans les années 80.

Rappelons que le suaire est celui d’un homme, mort, d’âge moyen, taille 1.80 m environ, bien bâti, cheveux longs, barbu, moustachu, de race blanche (alors que les romains se rasaient le visage et que les juifs portaient la barbe et les cheveux longs depuis au moins l’époque de Moïse et ne se rasaient la barbe qu’en signe de deuil), ses cheveux tombant jusqu’au niveau inférieur des omoplates, détail jamais représenté sur une image du Christ et qui n’est connu que depuis 1920, coutume juive de l’antiquité. Cet homme se présente couché sur le dos, tête un peu fléchie en avant, bras tendus, mains croisées sur le pubis, genoux légèrement pliés, pieds croisés et en hyperextension ; il s’agit d’un corps pris par la rigidité cadavérique.

Cette découverte de l’authenticité du Saint-Suaire est peut-être un signe avant coureur d’évènement de portée biblique. Prions et attendons…

Hristo XIEP


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