- In his major work on communism, the international bestseller The Passing of an Illusion, the eminent French historian François Furet devoted a lengthy footnote to German historian Ernst Nolte’s interpretation of fascism.
- Nolte responded, a correspondence ensued, and the result was the remarkable exchange presented in this volume. Fascism and Communism offers readers the rare opportunity to witness and learn from a confrontation between two of the world’s most distinguished historians over one of the most serious subjects of our time.
- Each from a different perspective, Furet and Nolte offer compelling arguments for the common genealogy of these two ideologies as well as reasons for the intellectual community’s rejection of this explosive thesis throughout the twentieth century.
- This discussion leads to a deeper understanding of the nature of totalitarianism as well as the trajectory and interpretation of modern European history.
Ernst Nolte
Ernst Nolte (11 January 1923 – 18 August 2016)[1] was a Germanhistorian and philosopher. Nolte’s major interest was the comparative studies of fascism and communism (cf. Comparison of Nazism and Stalinism). Originally trained in philosophy, he was professor emeritus ofmodern history at the Free University of Berlin, where he taught from 1973 until his 1991 retirement. He was previously a professor at the University of Marburg from 1965 to 1973. He was best known for his seminal workFascism In Its Epoch, which received widespread acclaim when it was published in 1963.[2] Nolte was a prominent conservative academic since the early 1960s and was involved in many controversies related to the interpretation of the history of fascism and communism, including theHistorikerstreit in the late 1980s. In recent years, Nolte focused on Islamismand "Islamic fascism". He was the father of legal scholar Georg Nolte. Nolte received several prizes, including the Hanns Martin Schleyer Prize and theKonrad Adenauer Prize.
Contents
1Early life
2Career
3Marriage and family
4Fascism In Its Epoch
5Methodology
6The Historikerstreit
6.1Nolte's thesis
6.2The ensuing controversy
6.3Habermas's attack
6.4War of words in the German press
6.5Der europäische Bürgerkrieg
6.6International reaction
6.7Conclusion of dispute
7Recent work
8Awards
9Work
10Footnotes
11References
12External links
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UNA VALORACIÓN DEL TOTALITARISMO: LA TESIS DE ERNST NOLTE
.....
- Según Nolte una historia construida con grandes categorías acaba siendo
- inevitablemente la fuente de una nueva teología. Algo así habría ocurrido con el concepto «Auschwitz».
- En sus propias palabras: «En esta hipótesis, ‘Auschwitz’ en tanto que acontecimiento símbolo del advenimiento del ‘mal absoluto’ ocuparía un lugar central, tomando el lugar del sacrificio de Cristo e impidiendo cualquier pensamiento que se relacione con eso.
- Cualquier tipo de crítica sobre eso sería prohibida, si no resultase directamente impensable, como sucedió con la crucifixión de Cristo en la Edad Media» (p. 21 de la trad. francesa).
- Pero la historia no es, ni puede ser, una teología laica.
- Por ello, en su (supuestamente) escandaloso artículo de 1986 «Un pasado que no quiere pasar», publicado en el Frankfurter Allgemeine Zeitung, Nolte se preguntó si: «¿El archipiélago Gulag era más original que Auschwitz? ¿El asesinato por razón de clase perpetrado por los bolcheviques es el precedente factual y lógico del asesinato por razón de raza perpetrado posteriormente por los nazis?».
- Y la pregunta sigue dando que pensar.
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Ernst Nolte vs François Furet
Spécialiste du nazisme et du fascisme, l'historien allemand Ernst Nolte (1923-2016) a très tôt cultivé l'intuition que ces régimes étaient nés en réaction à la révolution bolchévique !
Il a pu en débattre avec son contemporain l'historien français François Furet (1927-1997), spécialiste de la Révolution française et du communisme, lui-même très contesté par les intellectuels marxistes.
Après une fresque sur Le fascisme en son époque (1963, Julliard 1970), Ernst Nolte publie un article en 1986 dans le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung : « Un passé qui ne veut pas passer », dans lequel il présente sa thèse centrale selon laquelle l'archipel du Goulag précède et annonce Auschwitz. Le massacre de race aurait ainsi été précédé d'un massacre de classe. Rien de plus, rien de moins.
L'historien développe cette thèse l'année suivante dans un ouvrage de 600 pages, La guerre civile européenne (1917-1945) (éditions des Syrtes, 2000). Il s'applique à montrer en particulier que les nazis ont été amenés au pouvoir pour contrer la menace très réelle d'une prise de pouvoir communiste...
Ernst Nolte seul contre tous
Il s'ensuit une vague d'indignation dans les milieux intellectuels allemands qui y voient une façon d'excuser les nazis et de décharger l'Allemagne de la responsabilité de la Shoah.
L'opinion publique est d'autant plus vigilante sur la question que l'on est alors en pleine vague « négationniste ». Le mot désigne un courant marginal qui nie la réalité du génocide juif en dépit de toutes les évidences factuelles. Il est né avec la publication dans Le Monde, le 16 janvier 1979, du texte d'un certain René Faurisson.
Ernst Nolte se garde bien de toute parenté avec le négationnisme mais fait figure auprès de ses contempteurs de « révisionniste » par sa propension à minorer la portée de la Shoah.
Un échange à fleurets mouchetés
Boudé dans son pays suite à ce qu'il est convenu d'appeler la « querelle des historiens allemands », Ernst Nolte va débattre de ses thèses sur le tard, en 1996, avec l'historien français François Furet, lui-même auteur de deux ouvrages de référence,Penser la Révolution française (Gallimard, 1978) et Le passé d'une illusion, essai sur l'idée communiste au XXe siècle (Robert Laffont, 1995).
La correspondance a été publiée sous le titre Fascisme et communisme peu après la mort brutale de François Furet le 11 juillet 1997, à 70 ans, peu avant sa réception à l'Académie française (...).
L'historien développe cette thèse l'année suivante dans un ouvrage de 600 pages, La guerre civile européenne (1917-1945) (éditions des Syrtes, 2000). Il s'applique à montrer en particulier que les nazis ont été amenés au pouvoir pour contrer la menace très réelle d'une prise de pouvoir communiste...
Ernst Nolte seul contre tous
Il s'ensuit une vague d'indignation dans les milieux intellectuels allemands qui y voient une façon d'excuser les nazis et de décharger l'Allemagne de la responsabilité de la Shoah.
L'opinion publique est d'autant plus vigilante sur la question que l'on est alors en pleine vague « négationniste ». Le mot désigne un courant marginal qui nie la réalité du génocide juif en dépit de toutes les évidences factuelles. Il est né avec la publication dans Le Monde, le 16 janvier 1979, du texte d'un certain René Faurisson.
Ernst Nolte se garde bien de toute parenté avec le négationnisme mais fait figure auprès de ses contempteurs de « révisionniste » par sa propension à minorer la portée de la Shoah.
Un échange à fleurets mouchetés
Boudé dans son pays suite à ce qu'il est convenu d'appeler la « querelle des historiens allemands », Ernst Nolte va débattre de ses thèses sur le tard, en 1996, avec l'historien français François Furet, lui-même auteur de deux ouvrages de référence,Penser la Révolution française (Gallimard, 1978) et Le passé d'une illusion, essai sur l'idée communiste au XXe siècle (Robert Laffont, 1995).
La correspondance a été publiée sous le titre Fascisme et communisme peu après la mort brutale de François Furet le 11 juillet 1997, à 70 ans, peu avant sa réception à l'Académie française (...).
Ernst Nolte ist gestorbenDer Historiker als „Geschichtsdenker“
Er war einer der wichtigsten deutschen Historiker der Nachkriegszeit. Seine Antwort auf die Frage, was den Nationalsozialismus ausgelöst hatte, löste 1986 den Historikerstreit aus. Im Alter von 93 ist Ernst Nolte gestorben.
Der Historiker Ernst Nolte ist tot. Er starb an diesem Donnerstag im Alter von 93 Jahren nach kurzer Krankheit in einer Berliner Klinik. Das bestätigte seine Familie.
Nolte galt als einer der wichtigsten und streitbarsten Historiker seiner Generation. Mitte der achtziger Jahre löste er eine heftige Debatte über die geschichtliche Einordnung des Nationalsozialismus und seiner Verbrechen aus.
Eine philosophischere Art des Fragens
In einem im Feuilleton der F.A.Z. am 6. Juni 1986 veröffentlichten Artikel unter der Überschrift „Vergangenheit, die nicht vergehen will“(dokument pdf) vertrat Nolte die These, Hitler und der Nationalsozialismus seien eine Reaktion auf die „existenzielle Bedrohung“ Deutschlands durch die russische Revolution gewesen. Es folgte eine Welle der Empörung und der sogenannte Historikerstreit, der zu einer intensiveren Auseinandersetzung mit dem düsteren Kapitel der deutschen Geschichte führte.
In einem Porträt zum neunzigsten Geburtstag Noltes würdigte der Feuilleton-Redakteur Lorenz Jäger den Historiker in der Frankfurter Allgemeinen: „Nolte ist mindestens so sehr ein 'Geschichtsdenker', wie er ein Historiker ist. Die rein pragmatische Art der Geschichtsschreibung konnte bei dem Gegenstand, den Nolte sich wählte, angesichts seines Alters fast zwingend wählen musste – nämlich dem Zusammenhang von Krieg, Faschismus, Nationalsozialismus und Kommunismus - zu einer philosophischeren Art des Fragens drängen.“
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