miércoles, 22 de octubre de 2014

Le relativisme que dénonçait Benoît XVI: « Il faut lui laisser du temps… »


Famille : les loups prennent patience

par Maximilien Bernard

La sortie un peu rapide (voir ici et ) du lobby homosexualiste au sein de l’Eglise au cours du dernier synode montre combien le clergé est atteint par le relativisme que dénonçait Benoît XVI. 

Pour certains, ce n’est que partie remise (en attendant le synode ordinaire de 2015 ?). 

Ainsi, au sein de la paroisse Saint-Eustache à Paris, l’abbé George Nicholson rejette tout simplement le document final du synode pour lui préférer le document intermédiaire, dont il salue « l’esprit d’ouverture » !

Pour discuter de ce texte, il a convié un vicaire de sa paroisse, le père Yves Trocheris, et le pasteur de l’église protestante réformée de l’Oratoire du Louvre, Marc Pernot.

A Saint-Eustache, le baptême des enfants vivant avec une paire de personnes de même sexe n’a jamais posé aucun problème.Le vicaire explique pourquoi ils se passent de savoir si l’enfant sera éduqué chrétiennement :

« Refuser de baptiser un enfant serait un contresens. C’est un sacrement qui est dispensé au titre de la révélation. Un acte qui repose sur une liberté et certainement pas sur des conditions parentales. »

De même, la communion aux divorcés « remariés » ne pose aucun problème, même si cela se fait au mépris du droit de l’Eglise catholique. Le père Nicholson se souvient que, lorsqu’il était curé à Strasbourg, les piliers de sa paroisse étaient divorcés, voire remariés. Un de ses prédécesseurs lui avait confié ne jamais dire « vous ne pouvez pas communier« , mais plutôt « faites ce que votre conscience vous dicte« .

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